Bon sauvage
Mythe du bon sauvage le mythe du bon sauvage est l’ldéalisation des indigènes vivants dans la nature et n’étant pas au contact du monde civilisé. Il définit l’homme bon par nature mais ensuite pervertit par la société. Ce mythe est apparut avec avec la découverte du Nouveau Monde (l’Amérique) mais va surtout se développer durant le Swipe to page siècle des Lumières. Le sauvage vit en h a son environnemen besoins. Le sauvage cultive la désire qu’autant que ln ors Sni* to View a sut s’adapter ubvienne a ses es besoins,ils ne les leurs ordonnent.
Chez les indigènes il n’existent pas d’Homme supérieur,il pensent ue la seul supériorité que l’homme obtient est l’age,il disent que les plus âgés sont les pères des plus jeunes. Ce sont donc les ancien qui dirigent la tribu. Pour conclure on peut simplement dire que les sauvages ont un mode de vie simple avec une organisation communautaire où tout est a tout le monde. le « bon sauvage » est donc vu comme un homme libre, vivant en harmonie avec la nature, sans contraintes politiques, sociales ou religieuses.
Les philosophes s’empa s’emparent de cette vision de l’indigénes pour faire un parallèle avec la société du XVIIIe siècle où l’absolutisme, les ontraintes sociales et religieuses sont très présents : c’est le débat du XVIIIe qui oppose « nature » et la «culture » . On attribue souvent à Rousseau la paternité de ce mythe, qui aurait été développé dans son Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes et l’Émile (traité sur l’Education). elon Rousseau Chomme nait bon, c’est la société qui le déprave. Rousseau l’utilise comme une fiction théorique, afin de savoir quelle est la nature profonde de l’homme. Quand a lui Diderot exprime une pensée qui s’oppose à la voix commune. Pour lui, le « bon sauvage » n’exista pas. il pence qu’il faut juger chaque homme comme il est et dit donc : « la nature et les sauvages ne sont ni bon ni mauvais. Montaigne pense que la culture « civilisée » ne connait pas toujours la verité. t il compare les Tupinamba « naturel » et « pur » aux fruits sauvages qui sont menacés par le goût corrompu des Européens. Selon Montaigne, l’innocence des Tupinamba est plus pure que l’état social. Claude Levi-Strauss pense qu’Il n’y a pas de civilisation « primitive » ni de civilisation « évoluée » ; il n’y a que des réponses différe ivilisation « primitive » ni de civilisation « évoluée » ; il n’y a que des réponses différentes à des problèmes fondamentaux et identiques.
Non seulement les « sauvages » pensent, mais la « pensée sauvage » n’est pas inférieure à la nôtre, et elle est fort complexe ; simplement, elle ne fonctionne pas comme la nôtre. Dans le tableau de Paul Gauguin trois personnages sont représenté : deux femmes représentant des indigènes et un hommes représentant les européennes. les femmes sont représenté presque nue. l’homme quand a lui porte une robe de couleur bleue,qui serait lus destinait a une femme . il a les yeux verts et regarde le spectateur avec un regards hypnotique.
L’homme est représenter pieds nues avec des griffes a la place des doigts. Gauguin a représenté les deux femmes presque nues pour montrer leur innocence et leur pureté. Quand lui,l’Homme est représenter habiller pour montrer sa perfidie. Les trois personnages sont dans la nature,les deux femmes sont dans leur « paradis »(la nature). l’homme au regards menaçants semble invoquer la menace que le monde occidental fait peser sur leurs « paradis »:un « démons » est entrée au « Paradis »