Blog de classe : un lien virtuel bien réel avec les parents
Bien que comprenant parfaitement toutes ces raisons et les respectant, je crois à l’outil informatique. Je suis résoudre que le meilleur moyen « de faire grandir » l’école c’est de l’ouvrir vers l’extérieur et notamment vers les parents. @ Difficulté de la communication avec les parents Force est de constater, dans un milieu que je connais depuis 20 ans, que la préoccupation de tous les parents c’est que leur enfant se sente bien à l’école et qu’il y réussisse.
Cela me semble honorable et légitime. Mais tous les moyens sont-ils mis en ?ouvre pour que l’école ne soit pas vécue comme une ennemie par les parents et les bien réel avec les parents premier bu débutèrent parer 15, 2009 | 9 pages enfants et que les parents et les enfants ne soient pas vécus comme des ennemis par les enseignants ?
Pour que parents, enfants et enseignants soient tous acteurs de l’école en général et du parcours scolaire d’un peut-être tout simplement « communiquer Et bien sûr, il est difficile, au vu des programmes, d’accorder à chaque enfant, à chaque parent d’une classe de 26-27 élèves en moyenne, le temps qui lui serait nécessaire afin qu’il appréhende rapidement toutes les subtilités tant des savoirs que de la pédagogie employée pour es construire.
AI est également difficile de rencontrer souvent et affaissement onguents tous les parents d’élèves pour partager leurs questionnèrent, leurs angoisses, leurs attentes. Il est peut-être encore plus difficile d’établir une vraie communication dans un lieu synonyme pour beaucoup de souffrance et d’échec, qu’ils soient encore enfants ou qu’ils l’aient été il y déjà quelques années. @ Constat des besoins J’ai, par hasard, été obligée de communiquer par émail avec des parents qui ne pouvaient assister à une réunion d’information sur la classe découverte.
Je croise régulièrement des parents en dehors de l’école et je me rends compte qu’immédiatement la communication est plus facile sur la place du marché en buvant un café, qu’assis au bureau de leur enfant en face de moi (bien que depuis longtemps je m’assoie avec eux au bureau d’un enfant). Je croise également régulièrement les parents des enfants et les intervenant d’une association d’accompagnement la scolarité et c’est souvent, trop souvent dirai-je, qu’ils dirai-je, qu’ils manifestent de l’ignorance, de l’incompréhension face au cahier de texte, au mémento, aux leçons, aux exercices…
D’autres parents, par ailleurs amis, osent les questionnèrent qui sont ceux de tous, à propos des icônes, des devoirs, du comment apprendre, comment aider au mieux mon enfant. Et je me dis pourquoi ne pas les laisser les poser pour tous ceux qui n’oseront pas le faire ou ne s’en sentiront pas capables mais qui, par contre seront enchantés d’avoir enfin des réponses. @ Pourquoi un bloc ? C’est pour toutes ces raisons que, depuis un certain temps avait germé en moi l’idée d’un nouvel outil de communication : un bloc.
Le « bébé » est arrivé en septembre 2006, dans un premier temps de manière non institutionnelle, puis au mois de février 2007, très officiellement grâce à l’outil mis à disposition par ‘Inspection Académique de la Gironde. Le bloc est le seul outil à ma connaissance qui peut-être comparé à un « cahier de vie de classe » et qui peut compenser les minutes d’accueil individualisées qui existent en maternelle mais disparaissent ensuite. Ces pratiques, plus souvent utilisées en maternelle qu’en primaire, sont reconnues, appréciées de tous (enfants, parents, enseignants… ) et regrettées quand elles n’existent plus.
Le bloc contient un panée d’outils permettant de recréer (de manière bien moins contraignante d’après moi) un cahier de vie d’une grande richesse possible de contenus. Le c moins contraignante d’après moi) un cahier de vie d’une grande richesse possible de contenus. – Le calendrier permet de connaître les activités un peu particulières proposées aux enfants : spectacles, rencontres sportives – Les albums photos donnent une vision presque « en liv. » des activités. – La page « Travail personnel » met à disposition les fiches de travail en autonomie proposées aux enfants et peuvent donc être utilisées par d’autres.
Elle permet aussi aux parents de « déposer » des informations, des documents qu’ils trouvent intéressants et qu’ils ont envie de faire connaître. Les articles des différentes catégories, souvent élaborés par des enfants, permettent de suivre, de retrouver certains travaux effectués en classe : les ??uvres d’art étudiés, les fiche-critique des livres lus, des films et des spectacles vus La catégorie « Défis à relever », des énigmes mathématiques le plus souvent, rencontre un certain succès : toute la famille se met à chercher, une nouvelle forme de jeu de société peut-être… « Aujourd’hui, j’ai… » demande à deux enfants de la classe, à tour de rôle, de refaire le film de la journée et rédiger l’article correspondant, vive le 8211 ! Mais ce qui semble vraiment beaucoup plaire, c’est la catégorie « L’école à la maison » dans laquelle je donne des renseignements sur la façon d’apprendre certaines leçons, de faire certains exercices… Catégorie indissociable de la page d’apprendre certaines leçons, de faire certains exercices… Catégorie indissociable de la page « devoirs », qui ma interpellée pendant un temps, ayant peur d’un certain « affilage » parental.
Or, outre le fait de pouvoir mieux s’organiser, les enfants sachant que papa ou maman peut effectivement « savoir », se montrent, d’après certains arènes, beaucoup plus responsables. Et les parents jouent le jeu, sauf cas rarissime (un seul l’an passé a voulu se servir de cette page comme s’il s’agissait des renseignements généraux mais le problème s’est réglé à la suite d’une rencontre) ! Le bloc offre de plus l’avantage d’une communication plus « directe » et plus universelle, favorise la communication donc la connaissance et, de ce fait, la reconnaissance de chacun qu’il soit parent, enseignant ou enfant.
Les retours permettent une réelle remise en question de chacun mais aussi des méthodes employées, des contraintes posées… Eu parcours scolaire d’un enfant devient donc un édifice que l’on construit ensemble. Le bloc ne nécessite aucune compétence technique particulière. Il ne s’agit plus de maîtriser le langage propre la communication sur internée. Tout le monde peut écrire « son commentaire» qui peut être modéré donc vérifié par l’enseignant : l’orthographe ne fait plus frein à l’écriture quand on sait qu’elle est corrigée.
Par contre la confiance établie avec le modérateur (ici l’enseignant) doit être sans faille. @ voir la confiance établie avec le modérateur (ici l’enseignant) doit être sans faille. Virtuel ou réel Attention, je reste néanmoins extrêmement attachée à la communication réelle. J’ai d’ailleurs été longtemps particulièrement rétive à la communication par messagerie. Je m’ suis mise par obligation dans le milieu associatif. C’est là que j’ai eu la surprise de constater le gain de temps lorsqu’ communique par émail au lieu de faire des réunions et la multitude des rencontres possibles.
Contrairement aux idées préconçues, on ne se retrouve pas coupé du monde réel lorsqu’ navigue dans le virtuel. Au contraire, cela favorise la rencontre et notamment de résonner qui n’auraient eu que peu, voire aucune chance de se rencontrer un jour et d’échanger leur point de vue. Par exemple, certains parents, qui ne sont pas équipés d’ordinateur, se rendent chez un autre parent ou au accaparées de la commune ou dans la classe pour consulter le bloc… Et le « prétexte bloc » devient lien social réel.
Jamais la seule communication virtuelle n’atteindra la richesse d’une rencontre, ne permettra de lire les émotions du visage d’un enfant ou d’un parent, n’autorisera à tout dire puisqu’ faut l’écrire… Mais la rencontre physique est ravoir aussi une barrière infranchissable (je pense notamment à des parents issus de milieux sociaux très éloignés de l’école ce qui est fréquent dans notre commune), elle devient beaucoup plus facile si un commune), elle devient beaucoup plus facile si une approche virtuelle a eu lieu, car celle-ci donne envie de connaître l’autre.
Ce bloc reste néanmoins un lieu accessible aux seules personnes autorisées (les enfants et les parents de la classe). AI n’est pas référence sur internée. C’est aussi la garantie d’une certaine liberté pour les parents, les enfants et l’enseignant. Par contre, tous les parents ont signé l’autorisation de diffusion des images et se sont engagés respecter les mesures imposées par la loi concernant entre autre des propos malveillants. Je crois que le bloc est une ?ouvre de patience car il demande des changements fondamentaux dans le mode de communication parents / élèves / enseignants.
Il peut sûrement être vécu comme une véritable « agression » par certains car il s’agit bien d’ouvrir un lieu « sacraliser », l’école, et de bousculer une image du maître encore vivace, lui, seul détenteur du savoir. Avant que n’arrive de façon institutionnelle les E. N. T. (espace numérique de travail) ce genre de bloc se veut avant tout un lieu de partage, d’échanges de savoirs et ? tout le monde sait des choses, nous sommes tous capables ! @Témoignages de parents De l’intérêt d’un bloc de classe pour les parents D’une part d’un point de vue pratique, il ha tout ce que ‘on veut !!
Les explications sur le mode de fonctionnement de la maîtresse ; l’emploi du t que l’on veut !! Maîtresse ; l’emploi du temps (lorsqu’ veut prendre un rendez-vous c’est très pratique si on ne veut pas que notre enfant manque une sortie ou une activité particulière) ; et enfin, les fameux devoirs si souvent source de conflit ; là on sait tout ou presque et on peut aider notre enfant dans l’apprentissage du « gérer son travail » ; on peut s’amuser aussi à faire soi-même certains devoirs (des révisions dans certains domaines sont intéressantes I) ou même participer avec nos enfants à des énigmes « mathématiques »…