L effondrement de nos societes, lien a I environneme

essay B

En effet, dans son film Home il met en relation plusieurs faits de société avec des catastrophes écologiques causées par l’homme et les conséquences qu’ils peuvent ou qu’ils ont provoquées. Dans cet ouvrage, il ne s’agira pas de dénoncer, comme le fait ce photographe écologiste français, toutes les actions néfastes contre l’environnement, mais plutôt de comparer plusieurs sociétés anciennes, contemporaines ou futures et de voir comment elles protègent, respectent, partagent, exploitent, dominent, ou détruisent l’environnement dans lequel elles s’implantent.

Cette problématique prendra en compte diverses thématiques: culturelle, politique, architecturale, historique, philosophique, sociale, mises en relation avec la nature. Chacun des thèmes prendra lien a I environnement? Premier BOY nantirai amputa 23, 2011 27 pages pour exemple une société ancestrale, contemporaine ou future et tentera de faire comprendre comment les sociétés agissent, amènent à leur perte ou au contraire réussissent le pari audacieux de vivre en respectant la nature. La problématique est la suivante : En quoi la nature est-elle le fondement de nos sociétés, de nos villes ?

Les sociétés décrites ci-après ont connus, ou connaissent es déclins ou à l’inverse, réussissent très bien et cela n’est, bien évidemment, pas dû qu’au seul lien avec l’environnement : en effet, mon rapport s’appuie sur le lien fort qu’il existe entre la pérennité de ces sociétés et l’environnement mais il existe aussi des raisons politiques, religieuses, Par exemple, le cas de étaie de Pâques sera étudier mais seul le lien avec l’environnement sera décrit, même si le peuple doit sa disparition, certes à sa relation l’environnement mais aussi pour des raisons politiques, et économiques.

Par ailleurs, j’essaierai de traiter le sujet de plusieurs âneries : C’est-à-dire que le problème sera étudié plusieurs échelles. D’une part, il s’agira d’étudier comment des sociétés fonctionnent et quel rôle ont-elles eu sur (ou pour) leur environnement : échelle du peuple. D’autres parts, j’étudierai la place de la nature à échelle humaine : c’est-à-dire le rôle qu’elle peut avoir dans la vie de tous les jours et comment on peut en tirer profit, ou au contraire la détruire.

Enfin, il s’agira de donner l’hypothèse de solutions existantes, futures ou utopiques qu’elles soient à grande échelle ou non, mais que les solutions sont souvent échelle planétaire. Mon rapport d’étude traite plutôt de la relation avec la matière : Relation et appropriation des espaces urbains. La. Une mauvaise adaptation au milieu nota l. Une mauvaise adaptation au milieu naturel, quelles conséquences ? A. Exploitation des ressources naturelles, mauvaise adaptation à l’environnement. Ai. La disparition de elle de Pâques. Bu.

L’effondrement de la société des Mayas. B. En voie de disparition ! Ai. Le montant ou catastrophe contemporaine, et dupais ses trousses. Bu. La chiné: « géant qui titube ». Cc. La nature reprend le dessus au jupon actuel. AI. Accoutumance au milieu naturel est-elle synonyme de développement ? A. Une entente entre nature et société: a. L’autarcie en pleine nature: le peuple des nommais. Bu. La survie en terre d’islandaise. Des pays sous-développés qui donnent le « La ». B. Une prise de conscience nationale : la corde du Sud. Ai. Un choix corallien : le accosta ricin. . Le gibbon et l’écho-gestion. Cc. Les mégalomanes: grâce (en partie) à la nature? C. Les parcs de longées, mandata. Les forêts et lacs de née rock. (FIN HOME) Les Jardins de toc. Conscience globale. B. Une action spécifique. C. Un encrage absolu. Adaptation a l’environnement. Ai. La disparition de aie de Pâques. L’île de Pâques est probablement le lieu le plus isolé du monde. Elle se situe dans l’Océan Pacifique à 3700 kilomètres du chilien (pays dont elle dépend) et à 4000 km de tâtait. La terre la plus proche est pitchpin située à 2000 km.

Ce petit bout de terre de 169 km est une île volcanique, on y trouve trois volcans dont à priori aucun n’est encore en activité (ce sont le orna akan, le orna rareté et paquetage). C’est une terre dénudée, très aride car elle est balayée de façon quasi permanente par des vents très violents. Ces conditions climatiques défavorables empêchent l’île de posséder une végétation importante (ce qui est un paradoxe car les terres d’origine volcanique sont particulièrement fertiles, l’île de Pâques n’ fait pas exception). La flore n’est guère développée, on ne trouve que très peu d’arbres.

Il n’en a pas toujours été ainsi, il semblerait même que de grandes forêts s’étendaient sur toute la surface de l’île il y a encore plusieurs siècles; mais elles ont été exploitées de façon intensive au cours des siècles, ce qui explique leur disparition Comme on la vu précédemment, l’île est d’origine salle. Ce caractère volcanique et la présence des trois volcans ont donné un aspect vallonné à l’île. Jusqu’ 5 avril 1722, jour de l’arrivée des premiers Européens, un jour de Pâques, ceux qui allaient devenir les rapatria, bâtissent sur leur île une civilisation monumentale.

Elle est considérée aujourd’hui comme l’une des plus singulières de l’histoire de inhumanité. Selon la principale légende rapatria, sept éclaireurs envoyés vers l’Est par les politiciens, ont un jour découvert l’existence de l’île. Plus tard un roi déchu, nommé hôte muta, vint s’ installer avec son épouse avérerait. Il emmena avec lui hommes, femmes et enfants, ainsi que des animaux et des plantes destinés à assurer leur subsistance. Par la suite, les râpa Nui ont immortalisé les premiers découvreurs de l’île en représentant sept mois à leur effigie.

Toujours visibles de nos jours, ils sont disposés sur l’au kif, le seul au (à connotation de temple) de l’île construit dans les terres et non sur le rivage. Orientés vers la mer, ils regarderaient symboliquement en direction de leur île politicienne natale. Toujours selon la légende, la population fut rapidement séparée en clans (12 au total). Parmi les deux principaux, les « Courtes oreilles » étaient probablement les descendants des premiers râpa Nui, issus d’hôte muta. Les « Longues oreilles », quant à eux, seraient arrivées plus tardivement sur l’île.

Encore selon la légende, au eue siècle, de violents affrontements opposèrent les deux clans et mirent Lille feu et à sang. Ces batailles rivales ont sans doute été prof clans et mirent l’île à feu et à sang. Ces batailles rivales ont sans doute été provoquées par une raréfaction des vivres et des matières premières, suite à plusieurs bouleversements climatiques et erreurs humaines. Les râpa Nui étaient entrés dans une phase de décadence, que l’arrivée des Européens allait bientôt aggraver.

Par suite, l’arrivée des Européens entraîna l’extinction définitive des passant. Mais alors pourquoi une telle extinction ? Dans ce cas-là, la réponse n’est pas évidente: en plus d’un manque de sources écrites dû à l’extinction rapide, il y a beaucoup de facteurs qui rentrent en compte dans la disparition des passant. Attardons-nous sur les raisons environnements: Selon la majorité des scientifiques, ethnologues et chercheurs, la disparition du peuple pascaux est dû à une raréfaction des ressources naturelles de aie en prime d’une hypothétique micro crise écologique.

Ici, la diminution des produits naturels est liée à des raisons géographiques d’une part : comme dit précédemment, on sait que elle de Pâque est l’île la plus éloigné de toute autre terre sur la planète. Alors en cas de besoin, et par manque de technique (les passant disposaient seulement de pirogues ou embarcations de fortune), il aurait été très difficile de pouvoir se fournir ailleurs. D’autre part, la raréfaction est due, selon jarre diamant, à une « lutte de prestige »: ce biologiste de ‘évolution et physiologiste pense que les différents clans passant se livraient une guerre des terres: ou une guerre des ressources.

En effet, au départ, es passant s’étaient une guerre des terres: ou une guerre des ressources. En effet, au départ, les passant s’étaient partagé des terres suivant les ressources différentes qu’elles proposaient : la pêche vers une certaine zone côtière, la chasse dans une zone plutôt arborée, l’agriculture dans les terres les plus propices à la culture, mais au fil du temps, et pour cause d’une démographie florissante (synonyme de toute société rosière), les ressources vinrent à manquer, à être distribuer, à être partager…

Une sorte de jalousie et de guerre se mit en place. Chacun produisait plus pour garder plus, (prémices d’une société actuelle? ). Et selon J. diamant, cette guerre fût symbolisée par la fabrication et la disposition de ces statues (mois) toujours plus grande pour marquer l’importance de son clan : ce utilisant toujours plus de ressources pour nourrir ouvriers, femmes, enfants… Ta pour développer le matériel adéquate à la réalisation de statues de plus en plus grandes : la défenestration de cette île serait selon lui la conséquences e la fabrication de ces statues: des rondins nécessaires sous les statues pour les faire parvenir jusqu’ km de leur lieu de fabrication. L’auteur de « Effondrement’ dit même : « pourquoi aurait-ils ramené les rondins alors qu’ils en avaient à disposition sur le lieu de fabrication ? La nature fainéante de l’homme a eu raison de son propre pécheur ».

Il pense que cela justifie le fait que des statues encore en chantier aient été retrouvées. Ajouté à cela, une situation climatique très austère à la civilisation et l’agriculture: vents violée civilisation et l’agriculture: vents violents, tempêtes très éleveuses, une mauvaise infiltration de l’eau dans les sols et les terres deviennent rapidement stériles, les hommes découragés. Dans le cas de Lille de Pâques on peut voir que la situation environnement n’était pas favorable aux passant. De plus, ils n’ont pas su s’adapter, ni faire face aux problèmes qui leur arrivaient.

Tout ceci montre que dans certains cas, la nature domine un milieu et que l’homme n’ a peut-être pas sa place; et même s’il y arrive, il faut sûrement avoir l’esprit qu’une société a à prendre en compte le milieu dans lequel elle veut s’implanter ou bien le milieu dans lequel elle vit pour pouvoir obtenir de la terre ou du milieu dans lequel elle vit le plus possible et ce le plus longtemps et respectueusement possible. La civilisation maya est une civilisation présélectionner du groupe mésestimerais, s’étalant sur tout une partie du musique, bélière, gutturale, moudras et solvable actuels.

Apparue à la fin du elle millénaire av. J. -C. Avec les statiques et les Incas, elle fait partie des trois grandes civilisations ayant marqué le Nouveau Monde avant l’arrivée des Européens. Son héritage est principalement architectural, comme en témoignent les imposantes ruines de palais et amples pyramidaux dispersés à travers la jungle. Elle est aussi connue pour avoir développé d’impressionnants savoirs en mathématiques et en astronomie, ainsi que le seul système d’écriture d »impressionnants savoirs en mathématiques et en astronomie, ainsi que le seul système d’écriture intégral de l’marquée présélectionner.

Les premiers explorateurs à approcher les vestiges de la civilisation maya au sexe siècle ont contribué à lui forger une image romantique mais bien différente de la réalité : « qui n’ pas entendu parler, par exemple, d’un ancien Empire maya, véritable âge d’or durant lequel un peuple barbarie et éminemment pacifique se serait adonné, dans le calme de ses cités protégées par la forêt dense, à la seule contemplation des astres?  » t]. De nos ?ours l’évolution des connaissances a permis de renverser cette vision simpliste et sans nuance.

Car si les anciens Mayas étaient bâtisseurs, artistes et savants, ils n’en étaient pas moins résolument guerriers. Vers 800, 900: effondrement des Mayas; la cause du dépeuplement quasi total des puissantes cités mayas l’aube du ex siècle reste mal connue. Des hypothèses ont été avancées pour expliquer la chute brutale de la violations maya classique en plein âge d’or, les spécialistes n’étant toujours pas d’accord sur les causes d’un bouleversement aussi radical.