bac seconde
Critique du livre Au Bonheur des Dames Dans son livre, Emille Zola, un écrivain et journaliste Français, né à paris en 1840 et mort en 1902. Considéré comme le chef de file du naturalisme, est l’un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés au monde. Au travers de son livre, ce dernier va montrer la lutte entre les petits et gros commerces. Notons que les arguments choisis restent les mêmes, des années après la sortie de ce livre.
J’ai trouvé ce livre instructif, car il permet de faire prendre conscience de la VIe au quotidien des employés, qui, en effet ne enait qu’à un fil, l’employeur pouvait vous renvoyer du jour au lendemain, pour des raisons esthétiques, racistes… De plus, la dureté des employé commérages, les inju certains proprietaires que ces comporteme Ce roman va donc t vant, entre les ssi du refus de ‘évoluer. Notons heure actuelle. nds Magasins au travers l’histoire dun personnage féminin, Denise Baudu.
Elle va passer dune simple vendeuse modeste, à l’epouse de Directeur du grand magasin tendance » Au Bonheur des Dames ». On va donc parler d’une métamorphose commerciale, humaine, sociale, où les grands magasins deviennent des nids de la consommation, ù nous sommes tentés, poussés à l’achat. Son personnage principal, Octave Mouret, a parfaitement compris les rouages de la vente et am Sv. ‘ipe to mis tout en œuvre dans son magasin pour tenter et faire succomber ses clientes.
L’atmosphère générale et récriture de Zola m’ont tout simplement fascinée et passionnée. Zola consacre son temps à la condition humaine et surtout à celle de la femme. Zola va parler d’un système social et économique injuste. Denise se fait passer pour une personnage victime souffrant d’un destin cruel. C’est pour cette raison que le Naturalisme joue un grand ôle en montrant que Denise souffre des conséquences des moeurs, mais qui se bat pour faire valoir sa passion, ses qualités, ses capacité.
Malgré les stéréotypes,’ Seul l’amour viendra l’adoucir, en effet, grâce à son charme discret, elle fera succomber Octave. On retrouve donc le naturalisme sous deux aspects, d ‘un côté la réalité des moeurs de la socitété dans laquelle on vit, représenté par le magasin « Au bonheur des dames », et I ‘amour de Denise et Octave. Le naturalisme se voit notamment dans la fin du livre, où Zola ne s’attarde pas à finir l(histoire par un évènement qui ne urprend guère le lecteur, car ce dernier est conscient de la réalité. le mariage. ; Après avoir refermé ce livre et vibré pour l’amour qui semble impossible entre Mouret et Denise, on est littéralement stupéfait par la réalité contemporaine des pratiques des Grands Magasins décrites par Zola ; tout était déjà là en 1883 (livraison à domicile, pratiques commerciales de toutes sortes pour appâter le client et le faire acheter, la concurrence entre les enseignes, etc) Commentaire texte de Maupassan INTRODUCTION: Problématique : De ce fait, nous a 2 enseignes, etc)
Problématique : De ce fait, nous allons nous intéressez à la question suivante : Quels sont les impacts de la disparition de Pierre sur l’ensemble de la famille? Nous allons tout d’abord nous pencher sur la souffrance maternelle de Madame Roland, et dans un second temps à la réaction du reste de la famille. ( I. La souffrance de Madame Roland suite au départ de son fils pierre) Tout d’abord, nous allons nous interesser à la souffrance de Madame Roland suite au départ de son fils Pierre. Pour cela, nous étudierons dans un premier temps le bouleversement de cette dernière, et dans un second temps une pensée incontrôlable : la ort. a. Le bouleversement de la Madame Roland) En effet, suite au départ de son fils, Pierre, dans l’immense paquebot, Madame Roland se voit désemparer, et complétement anéantie. Cette dernière se sent impuissante face à la situation, et le montre par des comparaisons :[ Haut comme une montagne et rapide comme un qui rendent immense le bateau et rabaissent donc madame Roland. Elle se sent donc inférieure et sans pouvoir face à ce navire, qui lui a pris, pour ainsi dire, son De plus, le vocabulaire employé permet de dramatiser encore plus ce moment si dur pour Madame Roland.
Notamment lorsque Maupassant utilise des verbes tels que : allait fuyait, disparaissait. Cela Intensifie la tragédie de cette scène ressentie par cette mère de famille. Effectivement, nous pouvons noter le fait que Madame Roland souffre de la disparition de son fils, 3 Effectivement, nous pouvons noter le fait que Madame Roland souffre de la disparition de son fils, cette situation est caractérisée par un lexique bien approprié : je pleure parce que j’ai mal, elle s’efforçait de le reconnaître…
Nous pouvons comprendre que cette femme ne se faisait pas à l’idée du départ de son fils, et voulait ne pas louper une seconde pour ‘appercevoir. Un désordre, un boulersement s’est emprise de cette maman, elle se voyait complètement souffrante par l’idée de ne pas revoir son enfant, et c’est ce dont nous allons nous interesser. (b. Une pensée incontrôlable : la mort ) Madame Roland prend effectivement conscience du changement de situation familiale suite au départ de Pierre.
Cette dernière ne pense jamais revoir son enfant, et on peut le ressentir lorsqu’elle emploie certains verbes : apercevait plus, jamais plus. De plus, cela rejoint ce sentiment lorsque le paquebot s’en va et prend le large : la paquebot diminuait de econde en seconde… ou bien sur ce bateau qu’elle n’appercevait plus tout à l’heure.. Ainsi, le vocabulaire utilisé, permet de renforcer ce sentiment de peur qu’éprouve la mère de ne plus jamais revoir son fils. Nous pourrons dire que Madame Roland vit ce départ comme un drame, une mort : Il lui semblait que sa vie était finie, son pauvre fils.
Ce lexique renforce cette pensée de souffrance, de blessure, elle voit ce départ comme une sorte de naufrage, dans lequel elle ne reverra Jamais son pauvre fils. Nous pouvons donc ressentir un lien fort entre la mère et son enfant, un lien, amour, qui se caractèrise lien fort entre la mère et son enfant, un lien, amour, qui se caractèrise dans la distance les séparants. C’est donc une scène tragique pour Madame Roland, qui vit très mal le départ de son fils Pierre. Ce sentiment va être en contradiction avec celui de son mari et de son autre fils Jean.
Nous allons donc, dans cette deuxième partie, nous penser sur la réaction de Monsieur Roland et de Jean face au départ de pierre (II. La réaction de Monsieur Roland et de Jean ) pour cela, nous allons dans un premier temps nous interesser ? la réaction de monsieur Roland, puis à celle de Jean. (a. La réaction de Monsieur Roland) La réaction de Monsieur Roland n’est pas du tout la même que sa femme, effectivement ce dernier n’a pas la même sensibilité; suite au départ de son fils. A contrario il s’émerveille pour le bateau : Cristi ça va vite, et pourquoi tu pleures?
Nous pouvons voir que ce dernier n’éprouve aucune tristesse ni déchirure face ? ce changement de situation familiale, il s’en voit même enthousiaste. Il ne voit aucune peine ou drame dans ce départ, pour lui le dénouement est heureux. Nous pouvons le ressentir, lorsque ce dernier dit : très, très bien Cest parfait. De plus, nous ouvons rajouter que le personnage de Monsieur Roland n’a pas changé, il reste fidèle à ce qu’il est, naif, et ridicule, notamment lorsqu’il dit notre Jean. Effectivement, il semble bien être le seul ? ne pas savoir ou reconnaître la réalité.
Ainsi, tandis que sa femme pleure et est totalement desemparée, le mari est apaisé et serein. Nous avons donc deux sentiments et reactions con S totalement desemparée, le mari est apaisé et serein. Nous avons donc deux sentiments et reactions contraires, un réel contraste ce fait ressentir. (b. La réaction de Jean) En ce qui concerne la réaction de Jean, elle est égale à elle- ême, il est toujours aussi complice et attaché à sa mère. Il va s’intéresser à elle, notamment lorsqu'(il dit Regarde, maman, elle approche, ou encore Tu as vu?
Il veut être le centre de l’attention de sa mère en donnant l’impression de s(interesser au départ de son frère. De plus, ce sentiment est renforcé avec son mariage futur avec Mlle Rosémilly, nous pourrions croire que ce dernier veut reproduire la vie de ses parents, c’eszt-à-dire l’adultère. Et donc capter l’attention de ces derniers. Le départ de Pierre, permet donc à Jean de passer en tête de la famille et de pouvoir accaparer l’attention, on peut le remarquer vec cette phrase : Alors Jean partit en avant avec Mme Rossémily.
Cela va permettre de rappeler l’échec de Pierre dans sa vie, et se valoriser auprès de ses parents. CONCLUSION : De ce fait, de cet extrait qui clôt le roman Pierre et Jean, nous pouvons conclure que l’impact du départ de Pierre est diffèrent pour l’ensemble des membres de la famille. En effet, il va y avoir d’un côté une tragédie pour Pierre et sa mère, et d’un autre une fin heureuse pour Jean et son père. Nous pouvons donc conclure en disant que le roman reste porter sur la souffrance de Pierre, qui a totalement bouleverser la famille Roland.