Avenir du composite dans l’automobile
Ill) Futur et avenir pour la grande série L’industrie automobile toujours à la recherche de gain de poids et d’économie de matières et se tourne aujourd’hui sur les matériaux composite, La réglementation impose d’alléger les véhicules. Les composites sont le matériau idéal, mais les intégrer à la production demande de relever d’importants défis.
Pourtant depuis septembre 2014 BMW c’est lancé dans une première mondiale, la production d’une nouvelle gamme de voitures la BMW i3, ( 70 citadines produites chaque jour,) qui adopte des matières plastiques renforcées par fibres de arbone (PRFC), ce q production de grand éalisation pour une OF4 p g 1) Réduire de temps de production : le travaille de grande série est basé sur sont temps de production, en moyenne une opération sur la ligne d’assemblage ne doit pas durer plus d’une minute.
Mais cela semble impossible a tenir de nos jours avec l’utilisation de matériaux composites , (pour exemple) : la fibre de verre tissée associée à la résine thermodurcissable, ( déjà utilisée pour des pièces d’intérieur), est longue à mettre en œuvre. Les thermodurcissables polymérisent en une demi-heure, ersonne n’arrive à faire descendre ce temps autour des deux minutes pour l’instant, (ce qui est déjà bien ). Les industriels utilisent pour diminuer ce temps de production : des systèmes d’injection de résine sous haute pression, des cuit pour durcir, les thermoplastiques doivent être refroidis.
Ce dernier procédé est plus rapide et donc diminue le temps de production. 2) Revoir les méthodes de production pour permettre un avenir de la grande série pour le composite a) Il faut revoir les méthodes utilisé en production (notamment dans les nappes en fibre de carbone, fibre de verre ou fibres ynthétiques) c’est a dire mettre a jour les machines les robots les outils par exemple : Le travail de la fibre de carbone est délicat, c’est un matériau sensible, il faut surveiller la température et l’hygrométrie (humidité ) dans l’usine. ) revoir l’organisation de la production: Utiliser des composites permet de concevoir moins de pièces dans le véhicule, car ils permettent d’intégrer plus de fonctions par pièce et donc influer sur le squelette du véhicule , le nombre d’opérations réalisées sur chaque voiture doit diminuer comme la taille de la production. Par exemple : la caisse en 2 ne compte plus que 130 quant à lui, colle déjà la caisse en blanc en composites des B et i8 aux parties roulantes en aluminium, mais la cadence reste très faible, avec seulement 70 citadines produites chaque jour.
Il faut travailler dans les règles de l’art, avec une distance à respecter entre les deux pièces. Le jeu de colle doit aussi être très fin pour travailler en cisaillement et non en traction. Le rivetage, très utilisé dans l’aéronautique, est une troisième option. Mais avant de riveter, il faut percer. Et donc utiliser du emps et de l’énergie en plus. 4) Faire de bon choix Les composites dans l’automobile restent cher, les composites devront être dans la même fourchette de prix par rapport l’aluminium.
Or, aujourd’hui, le prix du composite a du mal à s’approcher du prix de l’aluminium, encore moins de celui de l’acier qui se situe sous la barre de 1 euro par kilo Les composites doivent entrer dans gamme de coûts s’approchant de 3 à 5 euros le kilo pour être rentable pour la vente du constructeur. 5) Recyclage Depuis 1994, le marché mondial des matériaux composites croît de 3% par an en moyenne.
Les buts du recyclage sont de réduire les déchets déposés en décharges mais aussi de v échets en les réutilisant 3 procédé de recyclage par dépolymération chimique, Conclusion . Le procédé qui permet de produire de la grande série avec le composite n’est pas tous a fait au point. Beaucoup de techniques restent à l’étude, au niveau de l’organisation de l’industrie des recherches des matériaux , du recyclage Mais il ne faut pas oublier que BMW à ouvert une brèche dans ce nouveau mode de production qui était réservé jusqu’à présent aux voitures les plus luxueuses.