Application de pratique professionnelle
Analyse de la Pratique Professionnelle Stage numéro 2 Dans le cadre de mon stage d’Endoscopie et Hépatologie, j’ai décidé de vous présenté mon etonnement face à la nécessité controversé d’un acte de soins sur un patient. J’étais entrain de finir de prendre ma pause repas du midi quand Sni* to View je vois la famille d’un lève pour aller les voi org femme qul attendait ec fin de vie, elle voulait mère a quelques diffi aller la voir. nt l’office. Je me nt ils ont besoin.
La d’une patiente en manger et que sa l’infirmier pouvait Je lui dis qu’elle peut aller manger tranquillement je vais ‘occuper de lui signaler. Je pars ainsi à la recherche de Pinfirmier A ou se situe la patiente. En marchant dans le couloir j’aperçois au-dessus d’une porte une lumière verte qui signifie la présence d’un personnel de santé dans la chambre soit celul de clément qui est entrain de s’occuper d’un patient. je frappe à la porte pour me signaler et rentrer mais clément me dit de ne pas rentrer desuite. Je décide alors de l’attendre devant la porte.
Je n’étais pas seul à attendre il y avait aussi la femme du patient qui était juste en face de moi. Je lui dis bonjours et lui demande ce que fais clément avec vec son mari. Elle me répond qu’il est entrain de lui faire un lavement pour qu’il fasse plus de selles. puis elle continue d’une façon agressive et en colère de me parler. En me disant que c’était complètement stupide de lui faire un lavement sachant qu’il a eu des selles hier et que depuis son arrivé il a perdu 8 kilos. « Pourquoi faire des soins comme ça aussi inutile c’est de la maltraitance envers son mari. ? Elle me dit aussi qu’elle n’est pas médecin mais que d’après tout ce qu’elle a pu lire sur internet elle était assez informé pour comprendre les soins ? faire pour son mari et que cet infirmer ne connait en rien son travail puisqu’il fait cela. Elle aller attendre l’arrivé de Pinterne pour se plaindre. Devant tant d’énervement et ne connaissant pas la situation exacte je ne su trop quoi dire pour essayer de calmer un peu la dame et surtout éviter que clément en sortant de la chambre ne subisse à son tours la colère de la femme du patient.
Je lui dis que l’infirmer n’est pas celui qui prend les décisions pour les actes de soins à faire sur son mari et qu’il fallait plutôt voir cela avec l’interne. Mais elle ne voulait pas démordre de son avis. Je suis ainsi reparti à office puisque clément ne finissait pas et que je n’avais pas aussi envie de continuer cette discussion avec cette dame d’autant plus qu’elle n’avait pas vu que j’étais étudiant infirmer ce qui aurait pu être la source d’un d plus qu’elle n’avait pas vu que j’étais étudiant infirmer ce qui aurait pu être la source d’un début de colère sur moi du fait de ma futur profession.
Après que clément est fini son soins, je lui raconte ma mésaventure avec la femme du patient devant la chambre. L’infirmer me dit qu’elle n’a pas à me parler comme ça mais u’elle n’a pas forcément tort sur la nécessité de faire un lavement à son mari et que de toute manière ce n’est pas lui qui ? prescrit cet acte, c’est l’interne en médecine. Ce qui ma surpris dans cette situation c’est le fait que la femme de la patiente relativement énervée et l’infirmier était du même avis. ourtant clément qul est au courant du dossier médical et de l’évolution de l’état de santé du patient à réaliser un acte médial n’ayant pas lieu d’être pratiqué. Il était au courant mais pourtant il a fait. Sur le moment je ne comprenais pas pourquoi, pour acte elativement simple et sans grande importance vital pour moi, l’infirmier n’a pas décidé de ne pas le faire. Si je sais que c’est mal je ne devrais pas le faire mais pourtant je suis en quelque sorte obligé.
On peut ainsi se poser de multiples questions telles que DPourquoi les patients recourt de plus en plus à internet pour mieux comprendre les symptômes, les actes de soins, les traitements et les avancés médicales ? Dl_e rôle de l’infirmier face à rapplication des traitements ? CIComment réagir face médicales ? DLe rôle de l’infirmier face à l’application des traitements ? DComment réagir face à ce genre de situation ? ‘exposerai ainsi quelques notions sur les patients qui deviennent acteurs de leur santé, le rôle de l’infirmier dans les traitements et les facteurs d’influences sur les actes de soins.
Les patients acteur de leur santé De plus en plus de patients arrivent devant le médecin en ayant effectué une recherche préalable sur Internet. Ces patients posent ainsi plus de questions et pourront se montrer surpris, voire inquiets, si les pistes thérapeutiques qu’ils ont explorées ne sont pas prise en considérations. Après l’entretien, ils auront souvent recours encore une fois à Internet pour trouver es informations complémentaires sur le diagnostic produit, s’informer sur les effets secondaires du medicament prescrit, et parfois sur d’autres options de traitement.
Les professionnelles de santé face à ces patients qui utilisent Internet pour gérer leur santé sont nombreux. Beaucoup de cliniciens considèrent que la recherche d’information en ligne augmente le temps de consultation, nuit à leur image de soignant et porte atteinte à la relation de confiance qui joue un rôle central dans le processus de soins. Les « patients informés» sont perçus comme une menace, les médecins les jugeant mal informés, xagérément inquiets, et souvent trop exigeants.
Pourtant des cliniciens co PAGF informés, exagérément inquiets, et souvent trop exigeants. Pourtant des cliniciens considèrent au contraire que l’utilisation d’Internet peut être bénéfique pour le patient et l’aider à prévenir et à mieux vivre les problématiques de santé auxquelles il est confronté. Le recours à Internet permettrait surtout au patient de jouer un rôle plus actif dans le processus de soins. Le recours à internet pour toutes les questions que nous nous posons est devenu presque inévitable. Il est normal de l’utiliser our notre santé.
Mais internet peut aussi bien avoir un effet positif en permettant au patient de mieux comprendre ce qui lui arrive, qu’un effet négatif en faisant tomber le patient dans une exagération des risques ainsi qu’une perte de confiance dans le personnel de santé. L’infirmier est l’application des traitements. D’après l’article R. 4311-1 à R. 4311-15 du code de la santé publique. L’infirmier dans le cadre de son rôle propre accomplit les actes ou dispense les soins visant à identifier les risques, à assurer le confort et la sécurité de la personne et de son environnement.
L’infirmier ne peut donc pas prescrire des traitements. par contre l’infirmier est habilité à pratiquer les actes en application d’une prescription médicale (Exemple : le lavement) Dans le cadre de son rôle propre l’infirmier n’est pas prescripteur mais exécuteur. Les possibilités de refus d’exécution d’un l’infirmier n’est pas prescripteur mais exécuteur. Les possibilités de refus d’exécution d’un soin. Si l’infirmier ne peut pas exécuter certains soins sans prescription médicale, il a l’obligation de les exécuter quand ces soins sont prescrits.
Ce qui signifie que si l’infirmière peut émettre un avis u moment ou est envisagée la décision d’exécuter tel ou tel soin, une fois la décision prise et formulée en une prescription précise, l’infirmier doit la réaliser Cependant, on peut se poser la question de savoir s’il est des circonstances ou rinflrmier peut refuser d’exécuter une prescription médicale Quand l’infirmier estime que le soin prescrit peut nuire au malade.
Il faut évidemment que le soin soit manifestement dangereux, que l’avis de l’infirmier soit fondé sur des arguments vérifiables et que le prescripteur maintienne sa prescription malgré des mises en garde. Ce cas ne peut être qu’exceptionnel t traduirait une certaines inconscience de la part du prescripteur. Quand le soin prescrit n’est pas de la compétence de l’infirmier. Nous avons vu que la compétence nécessitait deux conditions : être habilité à faire et savoir faire. Pour refuser d’accomplir un acte, l’infirmier peut-elle invoquer une de ces conditions seulement et laquelle ?
En d’autres termes, peut-il dire : a) je refuse parce que je ne sais pas faire quoique je puisse faire (parce que facte demandé est parce que je ne sais pas faire quoique je puisse faire (parce que l’acte demandé est un soin prévu par le décret). ) Je refuse quoique je sache faire, parce que l’acte ne consiste pas en un soin infirmier. Dans le premier cas de figure(a), me refus de l’infirmier n’est pas recevable. Car si le soin prescrit est prévu dans le décret, l’infirmier, par sa formation, est supposé savoir l’exécuter.
Dans le cas de figure (b) la réponse est moins évidente L’infirmier tel que le précise l’article du décret du 16 février 1993 ne doit faire que les sons prévus dans les dlvers artlcles du décret. Même si il est fréquent qu’un infirmier pratique des actes ne relevant pas de sa compétence, sur un plan strictement légal, ela n’est pas autorisé. En conclusion, je sais qu’il est vrai que rinflrmier à un rôle d’exécuteur et non celui de prescripteur. pourtant je sais aussi que l’infirmier est peut être celui qui connaît le mieux son patient. e celui qui va l’accueillir a son arrivé dans le service, celui qui va venir le voir pour lui expliquer comment son séjour va se dérouler, celui qui va répondre à ses questions, celui qui va lui dire bonne appétit le midi et le soir, celui qui va le suivre jours apres jours dans son traitement, celui qui va être la dans les moments de confession du patient, celui qui va être la dans les oments de joie et de tristesse, celui qui va venir dire bonne nuit va être la dans les moments de joie et de tristesse, celui qui va venir dire bonne nuit au patient à la fin de son serv’ice du soir et celui qui sera la pour plein d’autres moments.
Je connais ainsi mon patient du fait de son dossier médical mais aussi du fait de mon rapport soignant/soigné. Il est donc ainsi normal que grâce a mon cursus professionnel dans la connaissance médicale et à ma vision de mon patient dans un ensemble vaste que je puisse savoir si un traitement peut être utile ou non. Pourtant devant une prescription médicale je suis obligé de ‘exécuter d’après le code de la santé publique sauf dans certaines conditions.
Seul sans médecin je ne peux décider en toute légalité de ne pas faire un soin. Je pense que dans ma futur profession je me retrouverai dans plusieurs situations ou je serai que ce que je fais ne sera pas forcement le meilleur pour mon patient mais je serai obligé de le faire. Mais je sais aussi que si je ne peux refuser d’exécuter un acte prescrit je peux par contre en discuter avec le médecin comme par exemple lors des staffs avec l’équipe médicale pour essayer de trouver une solution ensemble pour la suite du traitement.