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Stage A du Semestre 3 ANALYSE DE PRATIQUE DU STAGE or 8 Sni* to View Je suis étudiante infirmière en deuxième année dans une unité de pédiatrie hépatologie-gastroentérologie et pneumologie. Lors de la scène décrite j’étais dans le service de consultation d’hépatologie•gastroentérologie, avec plus de 9 médecins consultants et deux infirmières. Par ce que j’ai vu mon questionnement est autour de la contention physique en pédiatrie. Mais aussi les conséquences que la contention a sur l’enfant au long terme. matériel pour la prise de sang.
La maman rentre alors dans la salle de prélèvement avec Z et la pause sur la table de soin. L’infirmière chante afin de distraire la patiente. Elle commence d’abord par caresser doucement la main puis le bras, pour enfin mettre le garrot. La patiente bouge dans tout les sens et refuse de rester en place. La mère est auprès d’elle au niveau de sa tête et essaye de la tenir en place. Z continue à se secouer et essaye de retirer le garrot. Alors je me mets en position pour tenir son bras au niveau de l’épaule et au niveau de la main afin de garder le bras le plus en place possible.
L’infirmière continue de chanter en tentant de piquer la patiente pour la première foie, sur le dos de la main, mais la veine n’a pas assez de débit elle retire donc l’éplcrânienne. La petite Z utilise alors ses pieds afin de pousser nos mains pour que nous la lâchions. Ses pleurs sont de plus en plus importants. La mère tient donc sa fille fort en se couchant sur elle et en lui tenant les pieds. une deuxième tentative est alors faite au niveau du plis du bras, mais la petite fille est forte elle arrive donc à bouger malgré la contention faites par moi même et la mère.
Alors nous avons emandé l’aide de la collègue infirmière qui est venu aidée ? tenir la patiente. Les pleurs et cris sont de plus en plus fort, et la maman semble de plus en plus mal à l’aise. Donc nous sommes 3 personnes à contenir c la maman semble de plus en plus mal à l’aise. Donc nous sommes 3 personnes à contenir cette petite fille de 18 mois pendant prés de 30 minutes, je tiens au niveau du bras pendant que la maman est couchée sur Z en lui tenant le visage et que la deuxième infirmière lui tient les jambes.
La patiente continue à pleurer et hurlé, nous avons malgré tous pu réussir ? rélever le sang nécessaire pour le bilan à la 3eme tentatives. La petite fille a mis longtemps à se calmer malgré qu’elle soit dans les bras de sa maman. Pendant cette scène je me suis posé plusieurs questions sur tout d’abord la place de la mère ou les parents lors d’un soin qui nécessite la contention ? Mais aussi réussir à savolr quand est-ce que la contention effectuée sur l’enfant devient de la maltraitance ? Qu’elle peut être la conséquence de la contention sur renfant ?
La place des parents lors d’une prise de sang qui nécessite la contention ? Petit carnet sur la prise de sang en pédiatrie par PEDIADOL Donner une place aux parents Les parents sont des partenaires indispensables, leur place est auprès de l’enfant. Mais la présence des parents peut être gênante pour le soignant lorsqu’il y a un soin nécessitant de sy reprendre à deux fois, comme la prise de sang. Les parents deviennent un témoin de l’échec, augmentant le stress de réussite du soignant. Les parents connaissait leurs enfants mieux que quiconque mais ne savent pas toujo du soignant. e savent pas toujours comment réagir donc le soignant doit les nformer et leur expliquer précisément ce que fon attend d’eux. Rôle du parent lors d’une prise de sang Pendant : s’assoie à côté de l’enfant, le distraire, lui parler et lui serrer fort la main, rester en contact visuel avec lui, l’écouter, l’encourager… Mais en aucun cas ne doit il contenir leur enfant. Après : le réconforter, le consoler… Dans cette pratique concrète on peut voir que le parent n’a pas eu la bonne place dans le soin.
En effet cette maman participe totalement à la contention physique, quelque chose qui peut être très troublant pour l’enfant. Dans le sens où celui ci voit alors sa maman comme la personne qui lui fait du mal et non comme celle qui le réconforte. De plus cette place prise par la mère est pour elle aussi une souffrance. Elle n’arrive plus à avoir sur sa fille le pouvoir de consolation à la fin du soin. Mais l’infirmiere ne communique surement pas assez bien avec la mère pour la faire participer au soin de façon adapté. En lui demandant de chanter une chanson ou en lui parlant.
En pédiatrie sa particularité est que le parent doit être totalement pris en compte lors du soin. Cela est très compliquer car il faut éussir à analyser non seulement comment renfant pourrai vivre le soin mais aussi comment le parent présent pourrai le vivre. PAGF seulement comment l’enfant pourrai vivre le soin mais aussi comment le parent présent pourrai le vivre. De plus il faut chercher la meilleur méthode pour un soin de qualité pour le patient mais le parent aussi en lui donnant un rôle correspondant a la place qu’il veut prendre.
Il est vrai que la pédiatrie est une spécialité particulière pour plusieurs raisons. Tout d’abord les soins sont effectués à un patient à qui le consentement ne peut pas toujours être donné. Donc les explications doivent se faire à deux niveaux non seulement celui de l’enfant qui est patient, mais celui de parent qui est le « décideur » pour celui ci. De plus il y a sur le soignant une pression supérieure faite par la présence du parent qui est témolns, par la fragilité et la finesse d’un enfant. ne pression qui n’est que accentué par les pleurs ou cris de l’enfant pour que le soin soit fait au plus vite et le moins douloureux possible. La contention est elle adaptée au soin ? La contention La contention dans le domaine médical est faction d’entraver la obilité d’un patient. Elle reprend un ensemble de dispositifs et de procédés destiné à immobiliser une partie ou la totalité du corps humain Pour que la contention soit adaptée au soin, il faut que au préalable tous les autres choix possibles aient été pris en considération.
Dans ce cas, l’EMLA a bien était mis en place permît surement ? l’enfant de ne pas sentir la dou cas, l’EMLA a bien était mis en place permît surement à Penfant de ne pas sentir la douleur de l’aguille, mais l’appréhension de Z est devenu plus important que la douleur pour ce patient. Peut ?tre que l’on aurait pu mettre cette petite fille sous KALINOX pour lui permettre de se détendre, donc pas pour une question de douleur mais pour son bien être. L’infirmière essaye toutefois de distraire l’enfant en chantant, une méthode qui marche souvent.
La contention de ce soin aurait pu devenir une violence de l’enfant par l’acharnement de l’infirmière. Un acharnement par le fait que l’infirmiere tente plus de 3 fois sur le patient, sans laisser à la patiente une pause de répits pour retourner dans les bras de sa maman ou se calmer un peu. Mais aussi une pause our l’infirmière qui après 2 essais pourrai passer la main à une collègue. Mais on se rend compte que la ligne entre une contention approprié et une se rapprochant de la violence est très fine.
La contention peut sembler au début du soin est nécessaire pour le bonne raison, mais c’est par le fait qu’elle dure dans le temps que celle-ci ne devient plus la meilleur méthode. Dans la contention en pédiatrie au veut l’effectué pour une questlon que le soin se passe au mieux sur une courte durée. Et pour cela une contention peut être nécessaire, mais elle doit être erme pour être le plus efficace sans être traumatisante. C’est ? ce niveau là que je pense q être ferme pour être le plus efficace sans être traumatisante.
C’est à ce niveau là que je pense que ma contention n’a surement pas été assez forte. Dans le sens où je n’aurai pas du laisser la mère tout tenir le corps et je pense que j’aurai pu tenir le bras plus efficacement pour éviter tout mouvement mais pendant un instant bref. Qu’elle peut être la conséquence de la contention sur l’enfant ? La longueur du soin et la violence que la durée de la contention ngendre est surement se qui rend le soin traumatisant pour l’enfant au long terme.
La conséquence de ce type de soin est surement celle que la petite fille a montré en arrivant en consultant, celle de l’appréhension. une appréhension qui doit surement passer non seulement par la maman mais aussi par l’enfant qui se souvient de la dernière fois. Surtout pour ces enfant avec des maladies chronique qui nécessite beaucoup de suivis souvent dans le même hôpital auprès du même service, ils reconnaissent le lieu et les personnes qui pour lui sont la pour lui faire du mal. C’est après une représentation que l’enfant se fait même en grandissant en venant à l’hôp•tal.
Cette appréhension peut surement devenir chez certains patients le « syndrome des blouse blanche En conclusion cette analyse me permet surtout de me rendre compte l’importance de cette double analyse auprès de l’enfant et du parent pour que le soin se passe le mieux possible. Mai double analyse auprès de l’enfant et du parent pour que le soin se passe le mieux possible. Mais c’est aussi un fait qui permet aussi de comprendre l’importance de l’inclusion de l’entourage ans les soins du patient mais de façon générale, auprès d’enfant ou d’adulte.
De plus pour moi la contention à pris plus de sens par le fait que je pense que le cadre pour nous permettre de faire la différence entre contention approprié et violence c’est la durée. Une durée qui doit être déterminé et expliqué à l’enfant et à la maman. Mais aussi une contention qui pour être approprié doit être efficace donc être faite par les soignants mais de façon ferme pour qu’elle ne dure pas longtemps. C’est une conclusion qui peut s’ouvrir à tout les type de contention auprès de tous les types de patients.