Analyser deux affiches de propagande, 2nd Guerre Mondiale
Sujet d’histoire, pl 18, « analyser deux affiches de propagande » Les deux affiches proposées datent de la Seconde Guerre Mondiale. Elles sont originaires des deux camps opposés : la première est allemande, publiée vers 1943, et destinée à la France, comme le prouve la langue utilisée ; alors que la seconde est écrite en russe, publiée en 1944 et destinée aux soviétiques. On peut alors se demander en quoi ces affiches témoignent d’une guerre d’anéantissement.
Tout dabord dans le document 1, on voit au premier plan des wipe next page corps ensanglantés. que deux militaires s éti rappés de l’étoile ro les couleurs sont so marron ainsi qu’un c un officier polonais bl à leurs uniformes d d’un charnier. Ici, ir, du gris, du , bien évidemment représentatif du sang et donc de la guerre. L’indication « Katyn » montre qu’il s’agit du lieu où les Allemands découvrirent les corps de plus de 4000 officiers polonais prisonniers des soviétiques et exécutés d’une balle dans la nuque.
Pour finir, le slogan « le paradis sous terre », traduit bien la volonté des soviétiques, selon les Allemands, à tuer tous les polonais ainsi que leurs ennemis, fin de les envoyer « sous terre » de manière à ce qu’eux puissent vivre, débarrasses, au « paradis Par ailleurs, on Swipe to Wew next page on peut voir sur le document 2, trois personnes distinctes. La plus grande, est un homme en noir, qui semble représenter un général allemand. Le plus petit, est vêtu de gris et porte un casque.
On peut donc penser qu’il fait parti de l’armée allemande, puisqu’il apparaît comme étant contrôlé par le général. Ces deux hommes sont reconnaissables grâce à la « croix gammée » qu’ils portent sur leur épaule gauche. Le soldat, cigarette à la bouche, e semble n’avoir aucun scrupule vis-à-vis de l’enfant soviétique sur lequel son fusil est posé. En effet, il s’apprête à le tuer, comme les Allemands ont exécutés le reste d’entre eux. Ici aussi, on parle de couleurs sombres, qui restent le noir, le gris mais aussi, de nouveau, le rouge.
Enfin, si l’on regarde les expressions du visage de chaque personnage, on peut clairement dire que les Allemands ont l’air contents de leurs actes, tandis que l’enfant semble terrorisé. Dès lors, ces deux affiches se rejoignent étant donné qu’elles sont toutes deux représentatives de la mort et utilisent les êmes couleurs pour décrire leurs scènes. De plus, on retrouve également un élément de distinction chez les généraux, qui se trouvent être « l’étoile rouge » chez les soviétiques et la « croix gammée » chez les Allemands. Dans un second temps, il est question de comprendre les documents.
Pour commencer, on sait que l’affiche allemande est destinée aux Français et que ces derniers sont alliés avec les soviétiques. De 2 l’affiche allemande est destinée aux Français et que ces derniers sont alliés avec les soviétiques. De fait, on en conclut que le but es Allemands est de dénoncer les soviétiques, qui ne respectent pas les lois de la guerre, en tuant des prisonniers de guerre. D’autre part, chez les russes, l’objectif est de montrer la cruauté du comportement des troupes allemandes vis-à-vis des civils et d’affirmer que ces actes ne resteront pas impunis.
L’idée d’une victoire prochaine apparait depuis la défaite allemande de Stalingrad (février 1943) et le recul des troupes allemandes devant les offensives de l’armée rouge. L’affiche est donc aussi destinée à maintenir le moral de la population. Enfin, la présence de ces couleurs, de ces corps ensanglantés, la olonté de dénoncer, et surtout le fait de vouloir tuer, non plus que des soldats, mais aussi des prisonniers et des civils, dont les enfants, nous prouvent bien qu’il s’agit ici, d’une guerre d’anéantissement total. our finir, on peut mettre en évidence les limites des documents, car même si les deux camps s’appuient sur des faits réels, le massacre de Katyn est resté longtemps assez mystérieux. De plus, les deux affiches ont pour objectif de diaboliser l’adversaire qui ne respecterait pas les lois de la guerre en éliminant des prisonniers de guerre ou des civils, témoignages 3