Analyse des divergences et des convergences theoriq
Les économistes vont d’une part se mettre d’accord sur les politiques économistes conjoncturelles et l’arbitrage inflation/chômage. Le modèle SI-ULM met définitivement fin à l’analyse dichotomie et ce modèle de juger de l’efficacité des politiques de relance kinesthésie. D’après les résultats de ce modèle, ces politiques ont une certaine efficacité. Notamment la relance est max lorsque les pouvoirs publics mènent conjointement une politique budgétaire et monétaire.
Dans ce cas, la PP n’entraîne pas l’effet d’éviction (le fait que le taux d’intérêt augmente suite au convergences théoriques premier boy examen parapha 18, 2009 4 pages I. Le courant de la synthèse classais-kinesthésie (J hachis, P financement de la dépense public de l’état). Saumonées met en évidence une relation négative entre le taux d’inflation et le taux de chômage. Soit il décide de réduire le ch. chômage en menant une politique monétaire expansionniste qui engendre de l’inflation.
Soit ils choisissent la rigueur monétaire et donc l’instabilité des prix au détriment d’une hausse du chômage. 2. Les fondements microscopiques de la macroscopique : la nouvelle économie kinesthésie Les auteurs de la NICE, a l’encontre de censés adopte une proche micro économique. En effet ils expliquent la rigidité des prix a partir d’une analyse du déséquilibre sur les marchés. Malmenais va distinguer 2 types de chômage – le chômage consigne provient d’une insuffisance de la demande sur les marchés des biens. Le chômage classique provient d’une insuffisance de la demande du travail à cause du salaire qui est fixé à un niveau supérieur à son niveau d’équilibre. Il. Les divergences théoriques 1. Le courant inaliénable : le monétarisme et la théorie de l’offre. Ai) L’analyse de M. FRIAND : la critique radicale des élitistes kinesthésie. Les politiques kinesthésie perdent de leurs efficacité cause de l’ouverture des économies. Par ailleurs elles entraînent des dysfonctionnements. Parmi ses derniers FRIAND met en évidence l’effet d’éviction.
L’effet d’éviction est une conséquence du mode de financement des dépenses publiques. Les dépenses publiques sont augmentation de la demande de capitaux. Ce qui crée un excès de demande de capitaux (hausse du taux d’intérêt). Cette hausse du taux d’intérêt réduit les dépenses privées. Ainsi les dépenses de l’état se sont substituées aux dépenses privées. La dépense publique évince la dépense privée. FRIAND explique que l’arbitrage des pouvoirs publics entre l’inflation et le chômage n’existe qu’ court terme.
A long terme les agents ne sont plus trompés par une politique monétaire expansionniste, ils savent que le résultat n’est qu’un regain d’inflation et que le chômage revient à sa position initiale. Le chômage ne doit être compris comme un phénomène conjoncturel mais comme un phénomène structurel et frictionnée. Le chômage résulte des imperfections sur le marché du travail (mouvement aléatoire de l’offre et de la demande de travail, autres imperfections coût de collecte de l’information, imparfaite mobilité de la main d’?ouvre).