Analyse De Re Sultats

essay B

Analyse de résultats Les données brutes : L’analyse des résultats bruts nous indiquent une proportion de femmes de 66,5 96. La moyenne d’âge des participants est d’environ 25 ans et la moitié des participants ont un âge inférieur ou égal à 20 ans. Et au moins 2596 ont 19 ans et mons et seulement un quart des participants ont plus de 24 ans. La catégorie socio-professionnelle la plus représentée est l’étudiant pour 62. 2 % suivi des employés avec 20. 3%. Le questionnaire a été passé 286 fois en ligne soit des passations. Il a été passé 39 fois en face à face.

Ces données brutes nous permettent aussi de dire que 59. 1% to page des participants dor dorment eux de 8 à 1 pour un temps de so recense uniquement ne dorment que 2 ? plus de 12 heures. or7 Svir* to . puis 26. 5 % nt de 4 à 6 heures. heures, on ne . 0. 6% d’entre eux ent quant à eux L’activité la plus fréquente de nos participants avant de dormir est l’ordinateur dans 53. 2 % des cas. Suivi de près par la télévision dans 32. 9 % des cas. Le caractère reposant du sommeil sur les six derniers mois est plutôt partagé. En effet, pour 55. % des participants il n’était pas reposant alors qu’il l’était pour les autres. Au niveau de la qualité de leur sommeil, 41. 8% ont donné une note de 3 sur 5. 31. 7% ont donné une note de 2 sur 5. pour la note de 4 sur 5, elle a été donnée par 16% des participants. Et finalement les notes d de 5 sur 5 et O sur 5 ont été respectivement données par 2. 2% et 1. 2 gt. De plus, 62. 8% de nos participants dorment seuls en général. En ce qul concerne leurs représentations, on peut noter que les 3 mots les plus fréquents sont peur (228/325), angoisse (21 +33+21 /325) et mort (34/325).

On peut rajouter que le premier mot le plus souvent évoqué est peur, il est aussi le second mot le lus fréquent. En revanche, le plus fréquent pour le troisième mot est une absence de mot mais en dehors de cela, le plus fréquent est aussi peur. Sur les 33 fois où le mot angoisse intervient en second mot, il est pour 24 fois précédé du mot peur. Dans les 50 fois où le mot peur internent en second mot, il est pour 11 fos précédé du mot angoisse. Ainsi on remarque que ces deux mots sont les plus associés par les participants.

De plus, 79. 7% des participants sont de plutôt d’accord à tout ? fait d’accord en ce qui concerne la proposition « Il faut 8 heures de sommeil minimum par nuit. » De même en ce qui concerne la proposition « La saison influence la qualité du sommeil » où 68. 9% les participants disent être plutôt d’accord ou tout à fait d’accord. En ce qul concerne la proposition « pendant l’enfance le cauchemar est plus fréquent », 60% des participants sont plutôt ou tout à fait d’accord. Alors que le reste pense davantage le contraire.

Finalement, les conséquences du cauchemar sur la journée suivante proposée par l’affirmation « le cauchemar influence la journée suivante », séparent les participants en deux groupes, ceux qui sont relativement d’accord pour 48. 9% et ceux relati PAG » rif 7 séparent les participants en deux groupes, ceux qui sont relativement d’accord pour 48. 9% et ceux relativement pas d’accord pour 51 % des participants. Alors qu’en ce qui concerne l’influence de la journée sur le cauchemar à travers la proposition « le cauchemar est influencée par les évènements de la journée les participants s’accordent ? 67. % à dire qu’ils sont relativement d’accord. Toujours en ce qui concerne leurs représentations, seulement 23. 4% des individus tendent à penser que le cauchemar doit rester personnel. Pour la capacité du cauchemar à évacuer les sentiments refoulés, es résultats ne permettent pas de dire quoi que ce soit de probant. Même SI les indivldus pensant que le cauchemar permet effectivement d’évacuer ses sentiments refoulés sont plus nombreux (44% contre 18. 2%) que ceux pensant que ce n’est pas le cas.

Cependant on peut voir que plus d’un tiers (37. 8%) des participants disent ne pas le savoir. Maintenant, en qui concerne l’expérience personnelle, 41. 2 % des individus ne se rappellent pas avoir fait un cauchemar au cours des 7 derniers jours précédant la passation du questionnaire. Parmi ceux qui disent en avoir fait, ils en ont fait en moyenne 2 ur cette pér10de de 7 jours. Cependant, seulement 28. 3% des participants disent avoir un cauchemar récurrent. Cauchemar récurrent dont les thèmes principaux sont angoisse, peur et mort.

En ce qui concerne la fréquence de leurs cauchemars, pour la majorité des individus (42. 2%), ils en font une fois par mois. Cependant on remarque que pour un quart des individus ils en font une fois PAGF3C,F7 par mois. Cependant on remarque que pour un quart des individus ils en font une fois par semaine et toujours pour un quart des participants ils n’en font qu’une fois par an. our le souvenir qu’ils ont de ces cauchemars, on remarque que 37. 8% s’en souviennent souvent et 39. 1 % s’en souviennent parfois.

De plus, pour des individus, leurs cauchemars ont évolués depuis leur enfance. Confrontation des résultats aux hypothèses en lien avec la problématique : Notre hypothèse générale étant que les représentations sociales qu’un indlvidu possède sur le cauchemar sont forgées par son expérience. une de nos hypothèses secondaire pouvant illustré noter hypothèse générale est que les représentations sociales sont influencées par la catégorie socioprofessionnelle. Or la surreprésentation des étudiants dans notre échantillon rend difficile l’interprétation des résultats.

On peut dire que les premiers mots le plus employé par les étudiants sont peur et angoisse alors que pour les employés par exemple seul le mot peur se distingue des autres. Il n’y a que pour les étudlants que la notion d’angoisse est présente de façon importante dès le premier mot. On retrouve cette particularité à l’évocation du second mot où pour la quasi-totalité des catégories socioprofessionnelles, le second mot est peur mais il y a encore une présence importante e la notion d’angoisse au sein du deuxième mot chez les étudiants que l’on ne retrouve pas dans les autres catégories socioprofessionnelles.

En revanche pour le troisième mot, la notion d’angoisse apparait première pour les employés, d première pour les employés, de façon plus importante que chez les étudiants. Cependant, pour les autres catégories l’angoisse garde une place minoritaire. On remarque donc à ce sujet, que le mot peur est bien le mot le plus utilisé par toutes les catégories socioprofessionnelles. Mais que l’importance du mot angoisse (évocation en première ou euxième position) est plus vraie chez les étudiant.

Néanmoins, l’angoisse a une certaines importance pour les employés qu’ils l’utilisent tout de même majoritairement en troisième position. Pour l’hypothèse que les participants dormant moins de 8 heures par nuit sont ceux qui sont les plus susceptibles d’être en désaccord avec la proposition « il faut 8 heures de sommeil par nuit Y, on remarque que les 233 participants sur les 325 qui dorment en moyenne moins de 8 heures par nuit disent être sont plus nombreux à être pas du tout et plutôt d’accord.

Ainsi, on emarque que leur quantité de sommeil quotidien influe sur leur perception du besoin de sommeil d’un individu en général. Nous avons aussi postulé que les personnes faisant régulièrement des cauchemars (soit de 1 fois par jour à une fois par semaine) pensaient davantage que le contenu de leurs cauchemars devait rester personnel. Au contralre, on remarque que ces individus pensent davantage que le contenu de leurs cauchemars doit effectivement rester personnel. En effet, 76% d’entre eux répondent non à la question : Selon-vous le cauchemar doit-il rester personnel ? Cette tendance à ne pas penser devoir gard