acquisition de la propreté

essay A+

L’acquisition de la propreté Propreté de l’enfant Généralement acquise entre 18 mois et 3 ans, la « propreté » chez le jeune enfant est un apprentissage avant d’être un cap ? franchir. Amener un enfant à utiliser le pot (ou les toilettes) est un processus qui peut être relativement long et qui exige beaucoup de patience. Définition Le terme « propreté » renvoie à un ensemble d’aptitudes acquises par le jeune enfant, qui lui permettent de faire ses besoins de manière autonome.

L’âge d’acquisition de cette capacité dépend du rythme de développement de l’ propreté n’est totale ue des « accidents » s t Quand l’enfant est-il Le bon moment pou or fi mbreux enfants, la e 4 ans, sachant qu’à l’âge de 5 ans. eté chez l’enfant est celui où il est physiologiquement et psychologiquement prêt (arrivée à la maturité). L’enfant doit aussi être prêt intellectuellement et manifester un intérêt pour cet apprentissage.

Il saura alors solliciter ses parents ou son entourage de lui même quand il commencera à sentir des « envies » en disant un vocabulaire s’y rapportant (pipi, caca, popo) ou en se manifestant pas des grimaces ou des attitudes (sert les ambes, touche sa cou Swipe to View next page couche). Maturité Plusieurs conditions doivent être réunies pour que l’enfant soit capable de falre ses besoins de manière autonome car la propreté nécessite l’arrivée à maturité sur différents points .

Maturité physiologique : liée à la maîtrise du sphincter anal (? partir de 18 21 mois). Pour maîtriser le besoin d’uriner, l’enfant doit contrôler le sphincter vésical (autour de 2 ans), qui nécessite une conscience active. Maturité des nerfs sensitifs : correspond à la sensation de « plein », réalable à la nécessité de faire ses besoins, et qui est ressentie aux alentours de 2 ans.

Maturité intellectuelle : l’enfant doit comprendre de lul-même la relation logique unissant la sensation (envie de faire ses besoins), le pot, et le résultat de la sensation initiale (urines, matière fécale). Maturité physique : correspond au moment où le cerveau de l’enfant parvient à exercer une commande (rétention ou expulsion) sur ses sphincters par l’intermédiaire des fibres nerveuses qui atteignent leur maturité vers l’âge de 18 mois.

Maturité affective : elle correspond au désir de grandir de l’enfant, et à sa capacité à comprendre ce que ses parents attendent de lui. Les étapes clefs pour l’enfant avant l’acquisition de la propreté Savoir marcher Etre stable et équilibré quand il est assis sur le pot S’asseoir et se relever seul Suivre des directives simples Dire quand il est souillé Désirer Désirer l’indépendance On dit aussi que « lorsqu’un enfant arrive à monter et descendre des escaliers seuls, il est en âge d’être propre » Les préceptes de base pour l’apprentissage de la propreté

Il est recommandé d’utiliser le petit pot plutôt que la toilette pendant les premieres étapes, parce que l’enfant s’y sent plus en sécurité et plus stable. Ne pas lui demander d’attendre lorsqu’il manifeste l’envie d’uriner ; il est normal qu’à 3 ans l’envie soit urgente. Ne pas le forcer à regarder ses matières évacuées par la chasse d’eau, il pourrait avoir peur. Ne pas l’humilier en lui disant que ça sent mauvais, que c’est dégoûtant pendant que vous le nettoyez. Ne pas le forcer et ne pas le réprimander.

Il n’est pas question de lui plonger le nez dedans. Ne pas instaurer un système irrégulier : essais de propreté le matin, remise de couches l’après-midi. Ne pas essayer de le rendre propre le week-end pour le laisser vivre en couches la semaine (d’où l’importance de communiquer entre parents et crèche). Féliciter l’enfant mais pas exagérément. Choisir des vêtements simples. Respecter sa pudeur car même tout jeune, votre enfant à droit à un peu d’intimité et de respect.

Les séances pipi devant les proches, la famille ou les voisins, photo à l’appui pour l’album souvenir sont à éviter. Bien choisir la saison : IJ voisins, photo à l’appui pour l’album souvenir sont à éviter. Un facteur aussi important que l’âge. Cest la saison qui va décider du moment où vous allez proposer d’enlever les couches. Car il faut réunir une condition : une période de chaleur. On ne peut pas demander à l’enfant d’être propre du jour au lendemain, mieux vaut donc proposer d’enlever les couches à 2 ans en plein été !

Si l’enfant circule en culotte et fait pipi dedans, ce ne sera pas dramatique. Laisser vivre l’enfant sans couche pendant une quinzaine de jours d’affilée. Nous pouvons ui proposer le pot environ 2 heures après qu’il ait fait. Parce qu’il est assis, on peut le distraire avec une histoire ou une chanson sans lui demander expressément d’uriner ; l’enfant fera au début ses urines ou selles par hasard, sans les effets de sa propre volonté, mais il sera alors heureux de sentir que c’est bien. Cela arrive rarement qu’un enfant acquiert la propreté en hiver.

Seulement 1 enfant sur IO demande spontanément d’enlever sa couche et faire dans le pot le jour ou il a décidé. Ce qu’il faut éviter Les parents sont généralement anxieux lorsque leur enfant tarde ? devenir propre. La réprimande, ou le fait de forcer l’enfant à utiliser le pot, sont des comportements déconseillés car ils peuvent favoriser l’apparition de certains troubles de la personn PAGF comportements déconseillés car ils peuvent favoriser l’apparition de certains troubles de la personnalité.

Il est fortement déconseillé de l’y laisser trop longtemps. Rester plus de 10 minutes sur le pot serait vécu chez renfant comme une contrainte, l’empêchant de vaquer à des occupations plus intéressantes, et l’en dégoûterait. Aller à la selle doit rester quelque chose de spontané, car on isque sinon de le priver de la notion de besoin. L’enfant ne doit pas aller sur le pot parce qu’on lui dit de le faire, mais parce qu’il en a envie. La routine à mettre en place doit donc plutôt ressembler à un rituel. Évolution de la propreté: les petits loupés…

L’enfant commence en général par être propre dans la journée, puis ensuite la nuit (parfois, 6 mois d’intervalle sont nécessaire). La propreté diurne (en journée) est acquise lorsque l’enfant se retient, va chercher son pot (ou va aux toilettes) et se déshabille seul. Cela peut prendre plusieurs mois voire 1 an. Le contrôle des intestins (1 ere étape en général) ne coïncide pas toujours avec celui de la vessie. Il faut s’attendre à des « accidents ». Les accidents occasionnels et la rétention d’urine et des selles sont habituels et font parties du processus d’apprentissage.

Au début, les accidents sont fréquents, et normaux. Tant que le réflexe du pot n’est pas acquis, il arrivera sans doute qu’il oublie de réclamer ou le fasse un peu trop tard. Pas pas acquis, il arrivera sans doute qu’il oublie de réclamer ou le fasse un peu trop tard. Pas besoin d’en faire toute une histoire ! Il aut juste s’armer de patience et continuer d’encourager l’enfant. Car même si l’on est stressé par féchéance de l’entrée à l’école, lui ne doit pas se sentir pressé.

On peut lui expliquer qu’il faut être propre pour devenir écolier (cela en motive certains), mais sans lui mettre la pression. Il est aussi possible qu’il rechute après plusieurs jours de maîtrise ; il n’était peut être pas encore prêt ou réagit à un bouleversement dans sa vie (naissance d’un cadet, absence d’un parent… ). L’enfant « refuse » la propreté Si l’enfant se désintéresse totalement du pot et ne manifeste pas ‘envie de se débarrasser de ses couches, il semble préférable d’interrompre le processus et d’attendre encore un peu (1 à 3 mois).

La plupart des enfants sont ensuite prêts à entreprendre l’apprentissage de la propreté. Cependant, si des tentatives répétées échouent ou si l’enfant a plus de 4 ans, il peut être nécessaire de consulter un pédiatre généraliste ou du développement. Cette consultation peut permettre d’explorer les aspects de la relation entre les parents et l’enfant et d’écarter les anomalies physiques ou neurodéveloppementale.