les techniques de coaching
LES TECHNIQUES DE COACHING or 8 Sni* to View Analyse du cas de Jean-Pierre : Jean-Pierre occupe le poste de responsable informatique dans un Ministère. Il a 52 ans et il est en fin de carrière, il a atteint l’échelon maximal. Il souhaite passer un concours qui contient que des épreuves orales. Cet oral ne lui apporte pas d’évolution professionnelle puisqu’il d’équipe ou de service, de faire des présentations concernant des projets informatiques.
Jean-Pierre semblerait être plus dérangé par le fait de se retrouver devant deux examinateurs. Mals lors d’un examen oral, il ya déjà le nom qui dérange, « un xamen » : nous avons [‘impression d’aller passer devant des expert médicaux qui vont nous dire si nous sommes aptes ou pas. Le rôle de ces examinateurs est mis en exacerbé dans cette situation. En effet Jean-Pierre peut avoir la sensation d’être mis sous rayon X et que les examinateurs soient là pour détecter le moindre défaut.
Il ya une différence entre parler au milieu d’une équipe qui me connalt et respecter mon échelon supérieur, mes compétences, et parler devant des inconnus. De plus la position lors d’un examen oral, et une animation de réunion ou une présentation n’est plus la même, nous sommes sous les projecteurs. Ces deux éléments font que ces deux examinateurs peuvent remettre ne cause mes compétences, l’expérience acquise, le respect de mon équipe.
A) La peur du regard de l’autre : la peur du jugement Derrière la peur du jugement de l’autre se cache souvent des incertitudes à propos de souvent : « Je suis incapable car j’ai déjà passé l’examen deux fois, et je ne suis pas sûre dy arriver cette fois encore » Le regard de l’autre nous met mal à l’aise surtout dans des situat cette fois encore » Le regard de l’autre nous met mal à l’aise surtout dans des sltuations qui ne nous semble pas à notre avantage, comme ar exemple avoir fait une tâche sur sa chemise, avoir filé ses collants.
Nous avons l’impression que l’autre a remarque ce défaut et qu’il nous juge par rapport à cela. Jean Paul Sartre a écrit « l’enfer c’est les autre » : l’enfer est effectivement dans l’autre si nous dépendant de son jugement, nous sommes emprisonnés par son regard. Nous sommes conscients du regard de l’autre, puisque ce regard est un mlroir qui reflete l’image que je sus. L’autre peut avoir vu nos imperfections, c’est même sûre il les a vus et il éprouve certainement du dédain.
Alors face au regard de l’autre nous ressentons de la pudeur, une etenue vis-à-vis de l’autre, nous ne nous comportons pas de la même manière que dans la sphère très privée. Par exemple au restaurant nous évitons de manger avec les doigts car ce n’est pas classe et pas propre. Le regard de l’autre est terrible car nous avons peur d’y voir du dédain, de la pitié, de la désapprobation. En passant devant des examinateurs à l’oral, Jean-Pierre va avoir toute l’attention portée sur lui alors qu’il préférerait être discret, voire invisible.
Le regard de l’autre peut avoir deux effets : peut avoir deux effets : Nous surestimons l’attention que les personnes nous portent, lors qu’en réalité chacun est le centre de son mande. Et surtout nous ne devons pas oublier que toutes les personnes font des erreurs, des impaires et que nous n’allons pas les condamner à la peine de mort pour autant. B) La peur de l’échec : croire que nous devons être parfaits Avoir une croyance c’est avoir une conviction à propos de soi. Cette croyance peut venir de notre enfance, de nos parents et elles peuvent être destructibles.
Les croyances sont en fait une image que nous avons de nous même (je suis belle/je suis moche, je suis capable de faire/ incapable de faire, les gens sont gentils vec moi / ils sont méfiants avec mol… J. Les croyances sont soient positives et elles nous permettent d’avancer malgré les obstacles, ou limitantes et alors nous nous creons des obstacles. Lorsque nous sommes dans le cas des croyances limitantes, pour pouvoir avancer nous dev Ier pour les transformer que nous faisons un raccourci trop important, nous assimilons le comportement avec la personne.
Une action qui n’a pas été entreprise correctement ne veut pas dire que la personne est incompétente, cela veut juste dire qu’à ce moment là elle n’avalt pas tous les éléments en main pour y arriver. Alors pour transformer les croyances négatives, il faut agir sur le cerveau et lui envoyer des pensées positives et s’il n’y a pas de déclic, c’est que la croyance cache une peur plus profonde. Pour Jean-Pierre nous sommes dans le cas d’une peur profonde car il a déjà passé son examen deux fois sans succès.
Jean-Pierre a un statut de responsable informatique, il a 52 ans, il doit se mettre beaucoup de pression pour réussir cet examen. Il doit penser qu’avec son statut et son âge il n’a pas le droit à l’erreur, ce qu’il lui confère un stress important. Il a peur de Véchec ce qui e met en situation d’échec En effet Jean-Pierre est au dernier échelon mais il est proche de la retraite et alors c’est une autre pression. Quelque part il a besoin de se prouver et de prouver aux autres qu’il est toujours là et qu’il n’est pas en fin de vie.
Jean-Pierre est peut être complètement stressé par la situation, car c’est une situation qui représente un enjeu important pour lui. Le stress se manifeste souvent lorsque la personne est divisée ? l’intérieur entre un important pour lui. Le stress se manifeste souvent lorsque la personne est divisée à l’intérieur entre un désir et une peur. Dans e cas de Jean-Pierre, il veut réussir cet examen oral car c’est un enjeu personnel mais d’un autre il a peur d’échouer, peur du jugement des examinateurs.
Le stress est un mécanisme de défense contre une situation perçue comme étant négative ou dangereuse. Le stress ne fait pas de différence entre la peur physique et la peur psychologique. Le corps réagit en se mobilisant complètement, les deux types de peur entraînent des symptômes : perte de concentration, perte de la mémoire, une perte d’intérêt et perte de motlvation. Ces symptômes pouvant aller jusqu’à la fatigue chronique et dépression voire le burn- ut. Le stress ne peut être évité, il faut raccepter et trouver une solution pour le réduire ou le transformer en stress positif.
Il) Plan daction pour réussir son examen oral La meilleure manière de réduire le stress négatif est de comprendre que faire des erreurs n’est pas un obstacle pour avancer dans la vie. Nous avons tendances à penser que faire des erreurs c’est montrer que nous sommes une erreur. Acceptez d’être faillible ne veut pas dire être profondément faillible A) Atténuer Fimportance d l’importance de l’échec L’erreur est utile pour s’améliorer, c’est un feedback sur nos ctions pour nous améliorer.
Enfin de compte être parfait ne sert pas car il nous bloque dans notre action, nous ajoute un stress, une angoisse qui nous bloque. Apprendre de ses erreurs prendre du recul et observer l’objet de ses tourments afin de retrouver son calme et trouver les ressources pour affronter la situation qui nous gêne. Laisser l’erreur derrière soi et avancer Pour mieux atténuer l’échec, Jean Pierre doit éteindre toutes les critiques et pensées négatives qui lui montent à la tête. Nous pouvons demander à Jean-Pierre d’analyser le trac perçu lors des derniers examens oraux :
Quelle émotion avez-vous ressenti lors de ces examens ? Quelle intensité entre O et 10 Quelles pensées avez-vous eu avant l’examen, pendant et après ? Quelle est la situation réelle L’objectif est de remettre les choses à leur place et de prendre de la distance avec la croyance d’être parfait et de relativiser la peur de l’échec B) Se débarrasser du stress négatif Jean-Pierre doit apprendre à mieux gérer le stress négatif en l’acceptant et le transformant en uelque chose de positive.
Pour mieux gérer se stress ‘Ions une meilleur hveiène Une alimentation saine, diminuer la caféine et les aliments ifficiles à digérer surtout le jour J Avoir une activité physique pour aérer l’esprit et le corps même si c’est 30 min de marche Apprendre la respiration profonde : la respiration profonde permet de revenir à l’instant présent et de sortir des pensées négatives.
Visualiser votre examen comme un succès certain Organiser votre agenda pour éviter d’avoir à gérer des situations difficiles les 2 jours avant votre examen. Préparer votre examen : Connaitre le sujet S’entrainer devant des personnes de son entourage S’exerce à avoir une voix posée, utiliser des phrases courtes Gérer sa respiration en cas de trou noir, de bégaiement C) jour J Le jour J, nous préconisons à Jean-Pierre de faire quelque chose d’agréable pour lui et surtout de ne pas penser à cet examen.
Alnsl il pourra dormir de manière sereine et être reposé pour le lendemain. Le jour J, le matin ne pas oublier les techniques de respirations profondes, éviter toutes situations pouvant le mettre dans un stress. Lors de l’examen, considérer les examinateurs comme des amis après tout il les a déjà vu deux fois. Avouer ses peurs lors de cet examen permet de désinhiber la situation et de prendre confiance.