Comparaison entre les lectures d’ile de re
Comparaison Tous les deux textes sont beaux, et ils décrivent une image claire au lecteur. Je pense que le texte de Madeleine Chapsal est plus personnel parce-que elle décrive chez elle, et Patricia Boyer de Latour décrive la maison d’un étranger. Je préfère le texte de Chapsal, parce qu’il y a plus d’images poétiques – par exemple, « c’est le jasmin qui m’assaille le premier. » L’image de la maison du texte de Chapsal est plus familière, et capture l’audience d’une façon meilleure que le texte de Boyer de Latour.
C’est intéressant parce que le texte de Boyer de Latour donne plus de détails oncrets sur la maison, comme où elle se trouve, détails sur l’apparence ; mais c’e ors Les deux textes décri nt I je préfère le texte de apsal qu’elle utilise pour dé que le texte de Chap le texte de Chapsal. et les volets. A moi, p la personnification es, et lîle. Je pense ns de vivre, quand l’autre texte est sur la maison comme une chose. Comparaison – La rue Mouffetard j’aime bien tous les deux textes, je ne préfère pas l’un ou Pautre. ces Swipe to Wew nexr_ page deux textes sur la rue Mouffetard sont très intéressants.
Le premier par Georges Duhamel a quelques phrases qui montrent qu’il est étudiant. Premièrement, au début, il dit que ce qu’il achètera sera d’unités de prix, pas de quantité de produit. Tous les étudiants sont pauvres et il faut acheter la substance du repas en suivant un budget. Dans le troisième paragraphe, l’autour dit « l’étudiant pauvre » mentionnant lui-même, et plus tard « le jeune biologiste. » Le manger que Georges trouve dans la rue consiste en des petits poissons, des pommes de terre, et du pain. Pas tres nourrissant, mais tous ce qu’un étudiant pauvre peut acheter.
Tous les aliments qu’il voit dans la rue Mouffetard sont décrits comme des métaux précieux. Il parle de « les jambons ? la couenne dorée, les saucissons cuirassés d’argent. » Le ton du texte de l’étudiant est un peu triste et ça me rappelle un chien affamé qui implore de recevoir de manger. Le deuxième texte a un ton plus objectif. Dans ce texte, Duhamel ne meurt pas de faim, mais il voit la rue comme elle est. Les métaphores sont plus biologiques (« une fourmilière… un parasite plantureux et plus mûres. Le deuxième texte ressemble au premier avec l’utilisation de beaucoup de belles métaphores.
Chaque text deuxième texte ressemble au premier avec l’utilisation de eaucoup de belles métaphores. Chaque texte parle de Le rue Mouffetard, mais d’un sens différent. Le premier texte utilise moins métaphores que le deuxième. Dans le premier texte, il y a quelques comparaisons (« … ressemble à un souk… » « … comme des fumées d’un sacrifice… »), et quelques métaphores et personnification (« murailles de carottes, des collines de pommes de terre, de continents de choux. Bon, le deuxième texte emploie plus de personnification (pour énumérer quelques exemples : « … orme un récif escarpé, réfractaire » « elle e méprise pas le reste du globe ; elle l’ignore » « … transports sur des dos, sur des tètes… » « le flot ronge… » et plus, et plus ! ) et plus de comparaisons, (« elle ressemble » « comme une veine de nourriture coulant… » « aspiré somme un fétu… » et bon, plus). Le seconde texte utilise autant de métaphores que le premier, comme « le pays Mouffetard forme un récif escarpé, réfractaire… » et « la cataracte l’entraine. » Il est intéressant à noter que les deux textes mentionnent l’idée d’un fleuve beaucoup dans l’imagerie, et aussi l’abondance.