Philo Conscience Mars

essay A

Il est incontestable que la bonne conscience suivant sa définition est conforme au Bien. Avoir bonne conscience, avoir la conscience tranquille, c’est avoir une conscience morale. Celle-ci est une voix parlant en nous qui nous permet de distinguer le bien du mal pour juger de notre conduite et de celle des autres. De même, la moralité est le souci de quelqu’un, d’un groupe de conformer sa conduite à un ensemble de valeurs éthiques relatives aux règles de conduite, de devoirs, de valeurs qui se manifestent à travers la conduite de l’homme considérée comme onne de façon absolue ou découlant d’une certaine conception de la vie.

C’est pourquoi, beaucoup de philosophes parlent de conscience morale, innée, universelle. Tous les hommes ont conscience du bien e Adam et Eve, le serp l’homme dit civilisé ? valeurs qui jugent no bien et du mal mais org Snipxto iens (la religion ps modernes, de as tous les mêmes u le même sens du seulement, sa notion diffère de chacun ou de chaque societé. Selon Nietzsche :  » La moralité n’est rien d’autre que l’obéissance aux mœurs quelles qu’elles soient ». La morale vient de mœurs et voir bonne conscience serait l’explication de l’obéissance des mœurs dans une société.

Cependant avoir bonne conscience est-ce un signe suffisant de moralité ? La bonne conscience est la conscience d page du devoir accompli, que l’on n’a rien à se reprocher. Mais qu’est- ce que la conscience ? Elle a une double définition. La conscience psychologique est l’intuition que l’esprit a de ses états, de ses actes et la conscience morale est un juge dictant ce qui doit-être. La question souligne l’action d’être suffisant ou non, c’est-à-dire, st-ce la nécessité de la morale, de ce qui ne peut être contraire?

Alors que la moralité se rapporte aux valeurs morales d’une communauté ou d’un groupe de personnes, la bonne conscience n’est relative qu’à soi-même. Nous tenterons de montrer l’existence de deux bonnes consciences distinctes puis nous tâcherons de démontrer la satisfaction d’une valeur morale respectée. La conscience se comprend dans deux sens. Pour le premier, elle est la capacité d’être p t au monde et la dérivée du droit, exprimant le fait de se prendre soi-même pour témoin. Dans l’Antiquité, la conscience n’existait pas. Seul le « noss », l’esprit connaissant, avait une valeur.

C’est la modernité philosophique qui a donné à l’homme une conscience. D’où, émerge la difficulté à définir le mot. Les philosophes ont suivant leur temps et leurs idées plusieurs points de vue sur la conscience et la distingue en plusieurs catégories. Nous nous arrêterons sur les deux sens désignés au début. A propos de la conscience psychologique, celle-ci est l’intuition plus ou moins claire qu’à un individu de ses états mentaux, de son existence et du monde qui l’entoure. Elle est la faculté d’être résent ou d’être en relation à soi.

Etre présent à la réalité, c’est pouvoir se la représenter (n’être pas seulement dans le monde, mais face au monde). Cest en ce sens que HUSSERL écrit « Toute conscience est conscience de quelque chose » (Méditations cartésiennes 1929). On pourrait dire  » lai conscience de mai » Cest un forme de connaissance, la conscience de soi. Ce terme de conscience de soi est apparu chez un philosophe anglais, LOCKE, qui dans un chapitre ajouté en 1694 à son Essai sur l’entendement humain (1690), utilise l’expression de self- consciouness.

Cela désigne « le sentiment, la personne se forge une représentation de ce que LOCKE appelle the Self, c’est-à-dire une conscience du « Soi » ou encore de l’identité personnelle. Autrement dit la connaissance de soi est le moment de la pensée par lequel je prends conscience Autrement dit la connaissance de soi est le moment de la pensée par lequel je prends conscience que je suis. Je prends conscience de mon moi. Cette conscience est à la source de la construction de soi, de la construction de l’homme comme sujet autonome. C’est une présence de soi à soi-même C’est le centre intime du sujet.

Ainsi j’ai conscience de la pluie qui tombe par la fenêtre et de la grisaille qui envahit mon jardin. Je peux ressentir de la mélancolie, et la tristesse au regret du beau soleil d’hier. Quand, je m’éprouve ainsi moi-même comme angoissé ou heureux, quand; je prends conscience que je suis amoureux ou que ma vie n’a pas le sens que je croyais devoir lui donner : Qu’en est-il de la représentation que je me fals alnsl de moi-même par rapport à ce que je suis vraiment ? La conscience de soi s’accompagne de souvenirs, de sentiments, de sensations et de savoir. Elle est l’unité synthétique ous-jacente à tous nos comportements volontaires.

A partir de la réflexion sur la conscience de soi, la philosophie peut essayer de cerner ce qu’est la conscience mais elle n’en a pas toutefois fini. Nous pouvons prendre enfin pour objet de définition une seconde dimension une seconde dimension de la conscience. La conscience morale ! Non seulement, je suis conscient du soleil qui tape sur ma tête et qui va une rougir ma peau ou de l’amour qui m’envahit et capte toute mon énergie, mais je suis conscient aussi du mal que je fais ne remplissant pas mes engagements que je dois et peux refuser d’accorder ? PAGF