ZADIG

essay A

Lassed Mariam-Sara INEDIT : INTERVIEW DE VOLTAIRE, UN DES PLUS GRANDS ECRIVAINS FRANCAIS . 1) Voltaire, pouvez-v Bien. Le héro du livr également. Il a une é qui, en arabe, veut di t le héro de Zadig ? or 5 . appelle Zadig et hébreu « sadiq » et « êadcfiq » qui, en hébreu, veut dire « le juste ». jai choisi un prénom à caractère oriental ainsi que le Moyen-Orient comme endroit où se passe l’aventure de mon personnage afin que le lecteur puisse se sentir dépaysé. Pour cela, je m’étais inspiré d’un conte persan « Voyages et aventures des trois princes de Serendip » Ça a été ne véritable source d’inspiration.

Mais ce qu’il faut savoir, c’est que Zadig est allé plus loin que ces trois princes. Zadig était un jeune babylonien avec un beau naturel, qui était paré de toutes les qualités. Malgré sa richesse et sa beauté, il était juste, honnête, talentueux et raisonnable en ce qui concerne ses passions. Il savait les dominer. Cependant, J’ai retracé la vie de Zadig. qui avait fait l’expérience du monde au Moyen-Orient et qui a été victime d’injustices tout au long de son voyage. moi-même sont très assimilées. Dans ce récit, j’ai intervertit mes tribulations à la cour dans Zadig.

Mais aussi, le déisme qui est ma religion, représente pour moi la tolérance, la paix, et dans mon œuvre, et Zadig parle uniquement au nom de la paix. D’ailleurs, à un moment donné, Zadig réconcilie tout le monde et met tout le monde d’accord en disant « Vous êtes tous du même avis, et adorez un être supérieur. » J’ai moi-même été, tout comme Zadig, haï, bastonné, embastillé, je me suis aussi fait des ennemis sans vraiment savoir pour quelle raison. Et Zadig, dans le conte, exprime également mes interrogations personnelles. C’est pour cela que l’on peut me voir à travers ce personnage.

En fait, chaque auteur, tel qu’il soit, apporte une part de lui-même, de son vécu en l’héro de son histoire, qu’elle soit fantastique ou réelle, il y a toujours un fond de vérité. 3) Malheureusement, les injustices n’ont pas disparues de ce bas monde. Pour quelles causes seriez-vous prêt à prendre les armes et à défendre ? Non malheureusement elles n’ont pas disparues. Les personnes les plus aisées sont les plus privilégiées, les plus aidées et nous avons tendance à aider ceux qui n’en ont pas besoin au lieu d’aider ceux qui en ont réellement besoin.

L’homme est, en plus d’être faible, égoïste. Et bien oui, si, par exemple, vous donnez ? un enfant cinq bonbons en lui disant de partager, pensez-vous qu’il va vouloir ? Non il vo un enfant cinq bonbons en lui disant de partager, pensez- vous qu’il va vouloir ? Non il voudra tout garder pour lui. C’est exactement ce qu’il se passe aujourd’hui. Toutes les injustices du monde à l’heure actuelle sont dues à l’égoiSme de l’Homme. Les personnes les plus fortunées représentant 1% de la population mondiale posséderont bientôt la moitié de la richesse mondiale. Vous rendez-vous compte ?

Et je vois qu’à Iheure actuelle, il y a beaucoup de conflits religieux, lors que toutes les religions sont des religions de paix, d’amour et de tolérance. Cependant, aujourd’hui, je suis prêt à combattre les inégalités raciales, car il est inacceptable que des personnes soient rejetées du fait de leur couleur de peau, de leur appartenance ethnique ou de leur culture différente. Cest ce qui fait la diversité de la France. Les inégalités sociales car, comme je l’ai dit précédemment, les personnes les plus aisées sont les plus aidées alors qu’elles n’en nécessitent point.

Et pendant ce temps, personne ne se soucie des personnes les plus démunies . Non, ce n’est pas grave car ils sont pauvres. L’intolérance, car pour vivre en paix, en parfaite harmonie, il faut accepter les différences qu’elles soient religieuses, culturelles, ethniques, mentales ou physiques. Mon encre et ma pensée resteront mes plus belles armes face aux injustices actuelles qui mènent le monde à sa perte. 4) Pourquoi avoir écrit « Zadig » ? Avie injustices actuelles qui mènent le monde à sa perte. ) Pourquoi avoir écrit « Zadig » ? Aviez-vous un message particulier à faire passer, ou quelque chose à dénoncer ? A travers ce conte, je voulais dénoncer la société de la France, ‘est-à-dire la monarchie du droit divin, inciter les personnes ? développer leur esprit critique, dénoncer le fanatisme religieux. J’ai également dressé une accusation contre l’Église, car elle détourne les valeurs religieuses au profit des intérêts personnels , et le seul remède contre le fanatisme, c’est la philosophie.

Je voulais aussi dénoncer l’intolérance des hommes, Je critique également la justice, mais de manière satirique bien entendu. Mon œuvre est écrite de manière ironique, mais avec un but bien précis. d’inciter les personnes à développer leur esprit critique, ? raisonner, avoir une vision philosophique. C’est pour cela que j’ai choisi le Moyen-Orient de fantaisie, car c’est le miroir de la France : Ily a toujours des injustices non recevables, de la jalousie 5) Comment avez vous débuté votre carrière littéralre ?

En 191 5, j’ai commencé à fréquenter les milieux libertins et les salons littéraires. J’ai également écrit des écrits satiriques qui m’ont conduit à la Bastille… Mais en 1718, l’œuvre qui m’a réellement permis d’entre de littéraire était La était La tragédie d’œdipe, que j’ai rédigé lorsque j’étais en prison, en 1717 et qui a été un véritable succès. Cependant, en 745, j’ai été rappelé à Paris puis nommé historiographe du roi. Simultanément, j’ai rédigé des contes satiriques comme Zadig, en 1748, Micromégas en 1752.

Cette œuvre parle d’un géant nommé Micromégas, qui a été exilé de sa planète « Sirius » et arrive sur la planète Saturne . Le géant discuta avec le secrétaire de l’Académie saturnienne et discuta de beaucoup de choses importantes, notamment la philosophie. Par la suite, ils partirent en voyage et s’arrêtèrent sur la Terre. Ils discutèrent avec des philosophes terriens, qui leur apprirent que la Terre n’était pas du tout un paradis : il y toujours des guerres, des conflits, etc et ce partout dans le monde.

C’était une parenthèse, revenons-en à notre sujet de base. Jai aussi publié Candide en janvier 1959, lorsque je m’étais installé en Suisse. Et pour finir, j’ai aussi écrit Ferney entre décembre 1758 et février 1759, lorsque j’étais dans un village français près de la frontière suisse. Et bien je vous remercie de m’avoir invité et de m’avoir écouté, et j’espère que les personnes qui m’auront entendu vont réfléchir à propos de tout ça, et j’espère aussi que je vais inciter des personnes à développer leur manière de penser. Au revoir !