Voltaire

essay A

« Un jour, tout sera bien, voilà notre espérance tout est bien aujourd’hui, voilà l’illusion. ‘ ,cet extrait de Voltaire est tiré du poème sur le désastre de Lisbonne. François Marie Arouet, dit Voltaire, est sans doute le philosophe des Lumières le plus célèbre et le plus populaire en raison de ses contes philosophiques mais aussi de son combat mené toute sa vie contre les erreurs judiciaires. Il écrit Candide en 1759, trois ans après un terrible tremblement de terre qui a ravagé la ville de Lisbonne.

Dans ce roman, il dévoile ses intentions polémiques, ne critique de son époque, de la religion, de sa société, des institutions, de l’absurdité et de la cruauté des conflits armés, des abus de pouvoir, l’esclavage également contre la philisophie Swipe Lo nexL page de l’optimiste . L’opti mieux dans le meille la théorie de LeibnlZ l’auteur met en scèn formes du mal au co Sni* to View que « tout est au t le concept de pour ce faire, découvre toutes les xtrait du chapitre IX , dépeind la rencontre entre Candide et un esclave, aux abords de la ville de Surinam (Capital de la Guyane Hollandaise)

Candide, accompagné de son valet Cacambo , croise un esclave cruellement mutilé par son maître . Dand cet extrait , le jeune héros fait l’expérience de l’esclavagisme : pour la première fois il doute de la philisaphie optimiste de son mentor Pangloss. Nous verrons alors dans une première partie que ce texte est un constat neutre ; toutefois il n’en prend que l’apparence , c’est pourquoi nous analyserons dans une seconde partie comment Voltaire grâce ? l’ironie écrit une attaque virulente contre l’esclavage. / un constat neutre sur la situation Avant toute chose , la première lecture nous offre un constat sur la situation de l’esclave, d’un fait de société. ANNONCE DES 3 SOUS PARTIES Nous verrons que ce passage est un texte explicatif , une simple présentation de la scène vécue par Candide au moment de la rencocntre avec le nègre. puis l’horreur de cette scène pourrait faire attendre du lecteur des caractéristiques du pathétique , enfin nous découvrirons la neutralité surprenante de ce grand philosophe.

A) texte explicatif Tout d’abord Voltaire fait une présentation de l’esclave froide t sans apitoiement , qui se veut objective. La description initiale est un énoncé de détails sur sa situation : un constat neutre accumulant des faits. Il est alors décrit de façon progressive : nous découvrons la silhouette du personnage , puis ses vêtements et enfin son corps avant même que Candide entreprenne un dialogue avec lui : ils rencontrèrent un nègre étendu par silhouette étendue par terre connote l’inexistence sociale du nègre , sans importance , sur lequel on pourrait presque marcher.

L’absence de ses vêtements ou seulement un caleçon de toile bleu , prouve qu’i PAG » OF d pourrait presque marcher. L’absence de ses vêtements ou seulement un caleçon de toile bleu , prouve qu’il est considéré comme un misérable : « n’ayant plus que la moitié de son habit, c’est-à-dire d’un caleçon de toile bleue » , de plus  » c’est-à-dlre » est une caractéristique du texte explicatif et utilisé pour introduire une information : elle accentue la dimension mécanique du constat.

Son corps mutilé témoigne des violences qu’il subit par son maître :  » la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe » e parallélisme connote une certainne logique à ces punitions La description de cet esclave est surprenante dans la banalité de la description même qui en est faite, sa mutilation est décrite en même temps que sa tenue vestimentaire; de plus, il est mutilé de la moitié de ses membres et n’est habillé que de « la moitié de ses habits ‘i a moitié habillé et mutiler .

Ainsi, l’esclave n’est plus que la « moitié » d’un homme. Le nègre n’a pas d’identité propre , on ne connait son nom. De plus, « On nous donne un caleçon de toile  » , « Quand nous travaillons aux sucreries », « on nous coupe la main » , ‘omniprésence des pronoms « on » et « nous » rendent le discours du nègre très impersonnel. Le constat n’est pas seulement sur sa situation mais il établit l’histoire de tous les esclaves.

B) pas de pathétique Ensuite Le nègre, tout au long du dialogue, ne témoigne aucune émotion, lorsqu’il explique les sévères punitio au long du dialogue, ne témoigne aucune émotion, lorsqu’il explique les sévères punitions Infligées aux esclaves . Le nègre donne une justification économique à la traite des noirs : « Cest à ce prix que vous mangez du sucre en Europe » il donne ‘impression que l’esclavage est une nécessité pour les plaisirs europeens. oltaire pas de pathétique non plus C) pas de polémique enfin , d’après l’abomination des conditions de vie de l’esclave , on attend une attaque envers la souffrance sociale dans laquelle se trouve le nègre, cependant aucune marque de de révolte n’apparait. L’impresslon de passivité se fait ressentir principalement par l’acceptation du terrible sort du nègre de Surinam. « oui monsieur , dit le nègrer c’est l’usage « (lignes 6 et 7) ;  » c’est l’usage  » est une métaphore du code noir , le terme usage » et le présent de vérité générale rend cette horreur logique et admissible.

II affirme également une attitude de soumisssion , de passivité : « j’attends mon maître » (ligne 5) TRANSITION un rappel de sa mère au style directe , suivi d’une interjection , attire notre attention therme « Hélas ! « r connote la plainte , la douleur et le regret . Voltaire nous interpelle alors sur ce texte qui n’apparaissait comme un simple constat ; ainsi nous découvrons comment Volatire grâce à l’ironie va dénoncer l’esclavage et l’horreur de la situation de ce nègre.