Voltaire

Déisme fondé en partie sur la « religion naturelle » ou la « religion universelle », qui est à l’opposé de l’endoctrinement autoritaire, de la désintégration religieuse, et de la manipulation religieuse résultant des trois religions du livres. Notre volontaire, théologien était persuadé que ces ouvrés, et que son ouvre de tolérance et de réflexion théologique (critique religieuse) seraient très présentes dans les siècles avenir.

Mais hélas, la censure religieuse (des trois religions confondues : le judaïsme, le christianisme, le monothéisme ou l’islam) a eu raison de la propagation de ces ouvrés ; pour ne nous laisser qu’un « Candide » orphelin de l’esprit de lumière qui habitait son auteur. Orphelin de l’esprit de lumière qui habitait son auteur. Ainsi l’obscurantisme religieux, au delà de ses dérives et de ses vices, se sert toujours de la fameuse arme e la censure, dans une société que l’on croit libertaire.

Et a ainsi réduit à néant l’élan humaniste déiste pour donner l’avantage aux ennemis déclarés des autorités religieuses et des déistes : Les athées. Quelle dérision et quelle frayer peut nous inspirer les autorités religieuses (et les autres autorités d’ailleurs) qui gouvernent ce monde. La bible enfin expliquée a S. M. L. R. D. P. Est une traduction de la bible à partir de l’hébreu entreprise par volontaire lui-même, afin de l’expliquer la commenter sous de nombreux aspects, aussi bien théologiques, qu’historiques et littéraires.

Ainsi suivant l’usage contracté par les théologiens juifs, rabbins et exégètes de commenter des passages la bible, dans le « talus thorax », volontaire a effectué un travail similaire, une traduction dénué de partie pris, et peut ainsi nourrir aussi bien notre connaissance en matière d’érudition biblique, que notre réflexion et notre critique, à l’égard de ces antiques écrits religieux. Nombres de thèmes sont donc abordés ainsi, la création du monde, édam et ave, la genèse, l’ étend, le paradis perdu, coin et bel, les sacrifices, la révélations des tables de la oui par moisie, donc les dix commandements.