Verlaine

essay A+

Ordinairement la nature est complice des rencontres amoureuses. Le thermes « vieux » connote le faite que le parc est à l’abandon et « glace » qui désigne une saison inhospitalière : l’hiver. Nous sommes pas du tout dans le stéréotype de la rencontre amoureuse. Verlaine cherche à désacraliser cette scène. L’allusion à la vieillesse du parc peut signifier qu’il est familier au couple connu. L’atmosphère est sinistre avec un choix du déterminant définie « le » (v. 1). La scène ce répète souvent. ly a une régularité mais dans ses rimes suivies il y a une certaine platitude.

Dans ce décor, il situe ses personnages. involontairement imprécis, ensuite on apprend que ce sont des fantômes. ly a deux phases d’évolution : ils traversent le parc c’est une progression dans le mouvement. Probablement que dans leur marche ils se rapproche du poète spectateur. La scène est volontairement sinistre avec une absence de regard Le choix de l’allitération en « m » est repayante quand on l’analyse Les silhouettes de fantômes sont des spectres. Ily a une image de décomposition de la relation. Cest une vision dégénérée.

La métaphore « leur yeux sont mort » montre l’absence de vie. Les personnages sont anonymes et leur sexe inconnu. C’est un faux dialogue, il y a pas de communication. Ils sont destinés à errer sans fin. Les répliques du premier spectre on un sens, une assurance mais il y a aussi de l’inquiétude car il pose des questions au second pour se rassurer. L’exclamation montre l’intensité des sentiments plus particulièrement du sentiment amoureux. Il veux faire revivre se sentiment en souvenir. L’indice de temps « toujours » marque cette intensité et volonté de la faire revivre.

Le paradoxe réside dans le fait que le premier spectre utilise le résent de l’indicatif. Malgré cet enthousiasme, il y a une certaine lucidité avec l’imparfait (v. 12). (v7-8) la tournure désuète est démodé avec l’utilisation du « te » qui est une tournure impersonnel, aussi fessant référence à l’élo 2 du « te » qui est une tournure impersonnel, aussi fessant référence à l’éloignement dans le passé. Incapable de trouver la paix éternel, ce texte prend un sens pathétique émouvant et touchant. Les paroles sont à peines audibles (v. 4) et (v. 16).

Il-lJn impossible dialogue AL ‘incommunicabilité Les trois premiers distiques sont des récits de description. Au milieu, il y a une incursion du discourt. La scène de théâtre nous le fait paraître comme tel. Aucune complicité avec un faux dialogue, pourtant les indices sont présent « je « tu une dissymétrie est présente entre les deux discours ; de nombreux indices nous l’indiques : utilisation du tutoiement qui est signe d’intimité à l’inverse, le second marque la distance avec le vouvoiement. Les répliques sont très courte ce sont donc des réponses brèves.

La ponctuation l’indique aussi avec les exclamations, les points et es interrogations : il y a aucune ouverture et possibilité. Le choix du lexique est en opposition (v. 13-14) : enthousiasme et désenchantement. La couleur noir est dans littérature la référence au deuil. La couleur bleu, elle, est la référence au ciel est donc à la sérénité. ly a une antithèse entre ces deux vers. Cest un tableau de la rencontre amoureuse peut commun. 3-l_e temps néfaste L’intervention du temps est visible par les personnages car on est au delà de la mort. Le choix des tournur 3 Le choix des tournures est archaïque « te souviens-tu »

Distique 1 est au passé composé, ensuite le thermes « tout I ‘heure » indique l’instantanéité du passé. Après le présent aux (v. 2-4) montre une action sur l’action ce qui est une vision actuelle. Ainsi, le retour au passé composé nous fait part que le scène se répète régulièrement. L’imparfait, lui, indique que le récit est rejouer à l’infini : c’est un imparfait d’habitude. Cest comme si le temps n’avancer plus pour eux : c’est normal ils sont mort. Il n’y a pas de réalité visible, c’est une forme de désillusion à travers cet amour.

Ce sont des chemins qui se croise amais, il n’y a plus de repères temporels. L’atmosphère est effrayante, aucune identité reconnue. Il ne s’agit plus de nostalgie mais d’amertume. ly a une volonté de la part du poète de dénaturé cette rencontre La dissonance du titre qui apparaît plus clair : pas d’union. Conclusion : Ce poème est le récit dune rencontre amoureuse pessimiste, le décor est sinistre, les personnages sont complètement désunies. La vision est très négative de la relation, c’est une sorte de mise mort de l’amour. Verlaine se rapproche du symbolisme avec Le spleen de Baudelaire.