Utilitaristes
‘éthique utilitariste Bentham Se défaire d’un respect exagégéré de l’autorité et des traditions et et faire usage de leur raison de façon autonome. Il présente sa théorie comme une véritable science objective. Il veut une application concréte qui va mener à des solutions claires et nettes. Il va trouver sa répon pose le plaisir comm Deux souverains maî Ce sont eux qui dicte p g est une éthique qui douleur et le plaisir. our Bentham, l’être humain chercher à travers toutes ses actions, à obtenir le maximum de plaisir et le minimum de douleurs. L’action avec le plus grand excédent de plaisir sur les douleurs era la meilleure sur le plan moral. La moralité d’une action doit être établie par un calcul rationnel d’utilité. On va calculer les différentes quantités de plaisirs et de peines, de satisfaction et d’insatisfaction. Il va élaboré une méthode de calcul très complexe.
Il va distinguer diverses dimensions du plaisir et de la douleur les personnes affectées par notre action. ly a donc une norme fondamentale d’égalité et d’impartialité au coeur de Futilitarisme. = Au plus grand bonheur du plus grand nombre de personnes possibles. Le bien-être collectif ou le bien commun devient la valeur upreme. UTILITARISME CONTRE KANT Les deux préconisent une approche rationnelle des problèmes moraux. Les bases différents quant au pourquoi du fait que les êtres humains sont fondamentalement égaux.
Kant : Parce que nous sommes des êtres libres et rationnels Utilitaristes : Nous sommes des êtres sensibles qui peuvent ressentir les peines et les souffrances. Les animaux doivent eux aussi être pris en considération dans le calcul de plaisir et de peines. ÉVALUER LES CONSÉQUENCES DE NOS ACTES On doit penser au bonheur du plus grand nombre en pesant toutes les conséquences d’un acte. Dans certaines circonstances particulières, il peut être moralement acceptable de mentir, de ne pas tenir une promesse ou même de tuer quelqu’un. OF s pour d’autres raisons que le pur désir de faire notre devoir. Nous faisons le bien par intérêt personnel, par amitié pour quelqu’un, par compassion, etc. Celui qui sauve un de ses semblables menacé de se noyer accomplit une action moralement bonne, que son motif d’action soit le devoir ou l’espoir d’être payé pour sa peine. Il reste toutefois que les motifs de l’action sont pertinents pour évaluer le caractère moral d’une personne. Nous n’avons pas ? l’admirer où à la louanger si elle n’agit que par intérêt personnel.
On peut alors distinguer la valeur morale de l’action et la valeur morale de l’agent JOHN STUART MILL Même si le principe de base de l’utilitarisme s’avère du simplicité désarmante, et semble très bien s’accorder à notre sens commun, son application reste très complexe. 1. La complexité sort du fait qu’il faut prévoir les plaisirs et les désagréments de toutes les personnes touchées par l’action. C’est très hasardeux et subjectif : je spécule. 2. Manque de ressources et de temps 3.
Irréalisme quant à la sphère privée (On accorde plus d’importance à nos proches qu’à quelqu’un qu’on ne connait pas ) 4. 1mpossible de quantifier les plaisirs. 5. Inégalité qualitatives des plaisirs. Les économistes tentent de remédier à ces problèmes en faisant valoir les plaisirs comme de l’argent sonnant. On peut critiquer cette méthode dans e sens où elle évalue tous les aspects qualitatifs des valeurs hum 3 OF s peut critiquer cette méthode dans e sens où elle évalue tous les aspects qualitatifs des valeurs humaines et se concentrent sur le quantitatif. DROITS CONTRE L’UTILITE
Plus grand débat entre les deux écoles de pensée : les droits de la personne pour l’utilitarisme, il n’y a pas d’actions que nous devrions jamais faire, il n’y a pas de délimitation claire comme les impératifs catégoriques de Kant : c’est le talon d’Achille de l’utilitarisme. L’utilitarisme est une éthique qui reconnaît qu’en certaines circonstances, la fin justifie les moyens. On critique l’utilitarisme en disant que le fait de penser au bonheur du plus grand nombre vient éliminer l’aspect individuel. On propose aussi à l’utilitarisme de mener au règne de la majorité sur la minorité.
Xénophobie, Homophobie, Racisme) RÉPLIQUE DES UTILITARISTES Is peuvent prétendre être contre le racisme en général puisqu’une société raciste aurait moins de bonheur qu’une société non-raciste. Aussi, ils pourraient répondre qu’il serait contraire au bonheur du plus grand nombre que les individus vivent dans la crainte constante que leurs droits élémentaires soient sacrifiés au nom du bien commun. Bentham fait une critique cinglante contre l’éthique des droits et libertés. Il juge avec dédain les fameuses déclarations que tous ont une liberté natur e. Cela empêcherait de 4