Travail final 2
Justine Bouchard Sofia Marcogliese Groupe 02 Travail Flnal Effets des réseaux sociaux sur les performances scolaires Travail présenté ? Mme Claudine Schmidt Sni* to View Initiation pratique à I HOO-04) Collège Jean•de-Brébeut Travail remis le 4 décembre 2014 Table des matières Résumé 4 Problématique corrigée 5 Élaboration de la problématique 5 Recension des écrits 7 Enjeux récurrents 7 Question de recherche 14 Méthode de recherche corrigée 15 nces humaines (MET- Explication et justification de la méthode choisie 15 Questionnaire 18 des réseaux sociaux face aux performances scolaires des ?tudiants du collégial.
Ceci dit, nous avons observé qu’une plus grande utilisation des réseaux sociaux affectait négativement les résultats scolaires et une moins grande utilisation était bénéfique pour les étudiants pour de meilleures performances scolaires. par contre, notre recherche ne nous a pas permis de bien évaluer le côté positif d’une utilisation des réseaux sociaux puisque nos répondants n’utilisaient pas en majorité ces plateformes dans un but éducatif.
Problématique corrigée Élaboration de la problématique On assiste, dans les années 1970 (Dennis, consulté le 25 eptembre 2014) aux États-Unis, à l’émergence d’une technologie qui révolutionnera bientôt le monde. Internet, qui est devenue accessible au public que dans les années 1990, a complètement changer la manière de communiquer et les méthodes de commerce en permettant à des gens de partout dans le monde d’être cyber connectés.
Bien que son apparition au public fut tardive, soit à la fin du 20e siècle, plus de 360 millions de personnes l’utiliseront régulièrement (Dennis, consulté le 25 septembre 2014). En 2005, les sites Internet comprenant la plus grande clientèle était encore des services de ventes en ligne ou ncore des grands portails commerciaux comme EBay, Amazon ou Microsoft (Dominique Cardon, 25 septembre 2014).
Depuis 2008, ceux-ci ne correspondent plus du tout aux sites Internet qui forment ensemble la plus grande base d’utilisateurs. En effet, ceux-ci ont cédés leur place à Youtube, Facebook, Twitter, etc. (Cardon, consulté le 25 septembre 2014). En 2009, on dénombrait plus de 250 millions dutilisateu 8 plus de 250 millions d’utilisateurs de Facebook dans le monde on estime donc que depuis ce temps, les internautes passent plus de temps sur des réseaux sociaux , qui sont, d’après Dominique Cardon . ??des services sociaux qui permettent aux individus de construire un profil public ou semi-public dans le cadre d’un système délimité, d’articuler une liste d’autres utilisateurs avec lesquels ils partagent des relations et de voir et de croiser leurs listes de relations et celles faites par d’autres à travers la plate-forme», (Cardon, consulté le 25 septembre 2014) comme Facebook que sur les plateformes de messageries électroniques (Cardon, consulté le 25 septembre 2014) Les premiers réseaux sociaux tels que Classmates, Six Degrees et MSN apparaissent dans les années 1995 et 1996.
Toutefois, eux-ci conservaient une certaine part d’anonymat en laissant ses participants utiliser des pseudonymes. Ce n’est qu’au début des années 2000 que nous voyons apparaitre des sites relationnels qui accordent une place importante aux contacts entre «amis» tels que Facebook, Linkeldn et MySpace (Dominique Cardon, consulté le 25 septembre 2014). Ce que les réseaux sociaux réussissent à amener de nouveau est le fait de mettre en place une liste d’amis graduels qui eux seront le principal outil de navigation.
Celui-ci se crée par les activités des amis inscrits ? cette liste. Les participants de ces réseaux sociaux sont contraints ? divulguer plusieurs informations personnelles. En effet, les utilisateurs mettent de Favant volontairement leur sexe, leur âge et/ou leur profession. Toutefois, l’informa mettent de l’avant volontairement leur sexe, leur âge et/ou leur profession. Toutefois, l’information ne se limite pas à celles-ci.
En effet, il est maintenant possible de connaitre les intérêts de nos amis par ce qu’ils partagent ou ce qu’ils aiment. On retrouve aussi plusieurs plateformes de réseaux sociaux tels que les services de rencontre, les échanges entre amis, des communautés de goût ou d’intérêt, etc. (Cardon, consulté le 25 septembre 2014) De plus en plus de réseaux sociaux se retrouvent dans le quotidien de tous. En effet, ceux-ci ne s’adressent non seulement aux adolescents voulant communiquer avec leurs amis (Cardon, 28 septembre 2014).
On voit maintenant de plus en plus de compagnies et des personnalités publiques se créer des comptes Facebook, Instagram, Twitter, Vine, qui sont eux d’excellentes plateformes de publicités. Celles-ci leur permettent de mieux interagir avec leur public cible. Les réseaux sociaux facilitent aussi la promotion d’évènements ou de nouveau produits vu le nombre grandissant d’utilisateurs quotidien de ceux-ci. C’est donc un sujet nouveau qui est digne d’études, car ils affectent de plus en plus de facteurs dans nos vies et sont de plus en plus présent dans le quotidien de tous.
Recension des écrits Enjeux récurrents 1) Les types de relations entretenues dans les réseaux sociaux Dans la majorité des sources recueillies, on assiste à des analyses expliquant la relation entre les réseaux sociaux ainsi que les relations amicales et amoureuses. En effet, dans le livre d’Anne Dalsuet, on parle dès le premier chapitre de la nature de l’amitié avant et après favènement des réseaux sociaux. Elle comme chapitre de la nature de l’amitié avant et après l’avènement des réseaux sociaux. Elle commence par étudier les amitiés faites et entretenues par les réseaux sociaux.
L’auteure y étudie les dangers de ce type de relation, car elle explique qu’elles isolent certains utilisateurs dans un monde virtuel que ne pourrait s’avérer qu’«invisible» comme le dit si bien Anne Dalsuet. Elle y explique donc le phénomène de corps fantôme, donc l’invisibilité et la dissimulation de ces relations virtuelles. Ensuite, le deuxième chapitre repose entièrement sur ce thème qu’est l’amitié. Anne Dalsuet continue par amener taus les phénomenes tels que la popularité, les liens d’amitiés fort ou faible et l’exclusion que les réseaux sociaux peuvent entrainer dans les milieux sociaux.
Elle explique que Facebook peut entrainer des relations virtuelles qul peuvent se transporter dans la réalité que ce soit bien ou mal telle que l’intimidation ou des relations amoureuses. On peut consulter des pages sur soutient morale, ainsi que des pages sur la cyber intimidation qui se traduisent et affectent les personnes dans la vie réelle. Elle amène ensuite la question du bien ou du mal associé a ces reseaux sociaux. L’auteure met en relation cette toile de réseaux et plusieurs concepts tels que : Famitié, l’égalité, l’organisation, la responsabilité, etc. our juger de la bienfaisance ou de la malfaisance des réseaux sociaux. Dans la source de Michael Aaron Dennis, dans la section qui attrait aux réseaux sociaux ont y explique le concept d’amis virtuels qui brise une certaine connexion avec les relations de la vie réelle. On explique ensuite l’avènement des réseaux sociaux et PAGF s 8 connexion avec les relations de la vie réelle. On explique ensuite l’avènement des réseaux sociaux et comment ceux-ci affectent es relations sociales.
On explique que l’internaute entre dans une réalité virtuelle (social avec des faux amis) lorsqu’ll les utilise et perd donc un certain lien avec la réalité. Dans cette même section, on parle de cyber relations telles que des relations de type amoureuses. Du fait même, on y explique que les sites de rencontre sont de plus en plus importants sur Internet. On continue ensuite en parlant de la divulgation de la vie privée sur Internet qui est de plus en plus inquiétante dû au fait qu’il est de plus en plus difficile de garder des informations privées orsqu’elles sont mises sur Internet.
Pour ce qui est de la source par Donghee Yvette Wohn, on parle plus du fait que les réseaux sociaux peuvent entrainer une forme de solitude dans le milieu scolaire par l’isolement qu’ils emmènent. Il a été démontré ? travers cette étude que la motivation et l’ajustement social des étudiants avaient un effet positif sur leur performance à l’école. En effet, l’ajustement social se défini par comment les étudiants s’adaptent dans leur nouveau milieu scolaire. C’est-à-dire, leur capacité à développer de nouvelles relations sociales.
Par xemple, une personne qui s’ajuste mal dans son milieu social peut passer d’avantage de temps sur les réseaux sociaux pour rester en contact avec son ancien milieu. Ce qui peut mener ? une solitude, cette situation mène alors à des résultats scolaires médiocres. D’un autre côté, la situation inverse peut être propice pour un étudiant face à ses performances scolaires. L’auteure R 6 8 situation inverse peut être propice pour un étudiant face à ses performances scolaires.
L’auteure Rita Cadima, elle analyse les relations créées entre les internautes pour y analyser les effets qu’elles ont dans la vie réelle. Elle explique que pour la majorité des individus, il est plus facile de communiquer avec une personne de son entourage pour obtenir de l’information qu’une personne experte, mais inconnue. L’on présente alors que les étudiants vont privilégier une information plus accessible que de qualité. Dans le même ordre d’idée, à travers cette étude, les chercheurs ont prouvés que plus un individu avait un grand cercle de contacts, plus il était performant.
Dans cette étude, cette conclusion était illustrée par des schémas où plus il y avait de contacts, plus il y avait d’interactions, soit de 6. interactlons par personne par semaine en moyenne si son cercle correspond à 46 personnes. 1 Lorsqu’une personne a moins de contacts elle peut se retrouver avec 4. 33 interactions par personne par semaine si son cercle correspond à 15 personnes. 2 Ils ont ensuite raffiné leurs variables où plus les individus avaient des relations amicales et proches avec les autres plus le succès de l’étudiant était favorable.
Les chercheurs se sont appuyés sur le fait que les individus ayant une plus grande confiance envers les autres partagent alors plus d’informations. Il existe donc des vantages et des désavantages reliés à la position d’un étudiant dans son environnement virtuel qui s’exprime ensuite dans son environnement réel. Enfin, Katherine Woolf, veut faire la distinction entre les amis sur les réseaux sociaux et ceux de la vie réelle, 7 8 la distinction entre les amis sur les réseaux sociaux et ceux de la vie réelle, donc ceux sur lesquels les internautes pourraient avoir une éventuelle influence.
C’est-à-dire que les personnes que l’on côtoie ont une réelle influence sur nos manières de agir, penser et sentir. Tandis que sur les réseaux sociaux, les connexions avec es différents internautes sont négligeables. De plus, elle cherchait à démontrer que l’ethnicité ou bien le sexe ont des rôles à jouer sur les regroupements que les individus font entre eux à l’aide des réseaux sociaux. Cest-à-dire qu’elle évaluait les tendances entre ces relations. Dans ses résultats, il a pu être observable que . 46 des personnes ayant répondues au sondage se sont retrouvées plus proche d’une année à vautre des personnes ayant la même ethnicité qu’eux. 3 Aussi, les personnes de même sexe se retrouvaient de 0. 30 plus proche d’une année à l’autre. 4 Ces corrélations ont donc pu divulguer qu’il existe véritablement un lien à faire avec les influences des réseaux sociaux et des relations que l’on développe 2) L’effet des réseaux sociaux sur les performances scolaires Dans plusieurs sources on assiste à la mise en relation des réseaux sociaux et du mllieu scolaire.
Jean-Paul Delhaye explique dans son livre, comment les réseaux sociaux ainsi qu’Internet a révolutionné la manière que les étudiants peuvent avoir accès ? de l’information de qualité sans nécessairement utiliser des livres et des encyclopédies papier. En effet, celui-ci commence dès ‘introduction à s’intéresser à des statistiques qui indiquent que l’information numérisée est en grand croissement contrairement à l’information papie indiquent que l’information numérisée est en grand croissement contrairement à l’information papier qui est en décroissance fulgurante.
Les auteurs expriment aussi comment les moteurs de recherche amènent de la notoriété et de l’importance ? l’information du fait qu’elle soit plus accessible et consulté par un plus grand nombre d’utilisateur. Il explique aussi que les systèmes d’éducations ont été révolutionnés par ces réseaux que ‘an qualifie de sociaux. En effet, les auteurs expriment que l’on assiste à une véritable mutation éducative. Plus loin dans le livre, les auteurs expliquent qu’il existe plus d’accès aux données que par les livres papier.
Il explique ce qu’il qualifie du mouvement open data qui est, en résumé, un mouvement qui met en valeur les données ouvertes qui sont des données numériques d’origine publique ou privée produite par une entreprise ou une collectivité (de Jean-Paul Delhaye et Nicolas Gauvrit. Ils terminent enfin leur livre en amenant le phénomène de réseaux. Qui sont ux qualifiés comme une toile qui permet d’accéder à plusieurs informations de manières plus rapide et efficace que par les livres et autres ressources.
Dans la source de Micheal Aaron Denis, on explique un côté plus négatif des réseaux sociaux sur Féducation, car ils facilitent le plagiat ainsi que le vol intellectuel. Tout comme Jean-Paul Delhaye, cet auteur étudie aussi la divulgation de l’information et la facilité accrue que les internautes ont ? copier l’information mise de l’avant par certains réseaux ou sites Internet. On assiste à ce phénomène dans le domaine de ‘éducation principalement. En effet, dans le milieu scientifique et scolaire, PAGF 8 dans le domaine de Péducation principalement.
En effet, dans le milieu scientifique et scolaire, Internet a permis à plusieurs de publier des documents électroniques favorisant l’apprentissage et la connaissance de certains. Donghee Yvette Wohn explique, dans son étude, comment les réseaux sociaux tels que Facebook amplifient l’effet d’isolement des élèves dans les milieux scolaires. Donghee Yvette Wohn, explique qu’à la fin de cette étude, l’an pouvait conclure que Facebook contribuait à la baisse de a performance académique des étudiants.
Par contre, cette étude démontre qu’il existe de nombreuses autres variables pouvant faire fluctuer les résultats. C’est-à-dire que l’utilisation de Facebook peut avoir des fins positives pour les résultats scolaires soit par la transrmssion d’informations propices aux études, mals en même temps cette utilisation change selon la motivation des personnes. En effet, selon les résultats de cette étude, il est possible qu’une hausse du temps passé sur les réseaux sociaux à bon escient est favorable pour sa performance scolaire. Par xemple, l’étude démontre qu’une telle augmentation de 1. 2 à la fin d’une session peut amener une hausse de . 75 dans les résultats scolaires d’un étudiant. 5 Cette étude explique en finalité qu’il existe une infinité de variables possible à explorer pour démontrer les effets de Facebook sur les différentes facettes scolaires. Rita Cadima explique à travers son étude qu’en ayant un grand cercle de contact les résultats scolaires sont favorisés. Ce qui veut dire que l’utilisation des réseaux sociaux est bénéfique puisqu’ils leur permettent de partager de l’information de façon plus