Travail Session Maladie Mental FINAL

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LES DÉPENDANCES LIÉES Aux SUBSTANCES PSYCHOTROPES (TRAVAIL DE SESSION) Par Maéva Ruest Roy Sarah Payette Carolane Pépin or 10 Sni* to View Travail remis ? Julie Champagne Enseignante Dans le cadre du cours 350-GBH-03 Approches psychologiques de la maladie mentale Groupe 01 notablement plus fortes de la substance pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré (b) effet notablement diminué en cas d’utilisation continue d’une même quantité de la substance (2) sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes: (a) syndrome de sevrage caractéristique de la substance b) la même substance (ou une substance très proche) est prise pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage (3) la substance est souvent prise en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu (4) il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler l’utilisation de la substance (5) beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir la substance ou a récupérer de ses effets. (Par exemple, se déplacer sur de longues distances pour se procurer la substance, perdre beaucoup de temps à la consommation et ? a recherche des effets de celle-ci. ) (6) des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importants sont abandonnés ou réduits à cause de l’utilisation de la substance (7) l’utilisation de la substance est poursuivie en sachant que ceci lui apporte des problèmes persistants ou récurrents ayant été causés par la substance en soi. Par exemple, une personne qui continuerait la prise de baissons alcoolisées ou de drogues en sachant que cela lui engendre des problèmes psychologiques ou physiques) Il est à noter que dans la cinquième édition du DSM, il est combiné en un seul diagnostic de trouble d’utilisation e substance les diagnostics d’abus de substances et de dépendances à une substance du DSM IV. Les critères diagnostics so ntiques, sauf que le seuil 10 sont presque identiques, sauf que le seuil pour les diagnostics de trouble de l’utilisation d’une substance est fixé à deux critères ou plus, en comparaison avec la dépendance qui était fixée à trois ou plus dans le DSM IV.

Diagnostics de sevrage La caractéristique essentielle du sevrage à une substance (alcool, drogues, médicaments) est le développement d’une modification comportementale inadaptée spécifique d’une substance en aison de l’arrêt de la prise de celle-ci, ou de la diminution considérable. La plupart des personnes développant un sevrage ont plus tendance à reprendre la substance pour diminuer les symptômes. Le diagnostic de sevrage est utilisé pour les substances suivantes : alcool, amphétamines, cocaïne, nicotine, opiacés, sédatifs, hypnotiques et anxiolytiques. Voici les critères diagnostiques du sevrage à une substance selon le DSM-IV A. Développement d’un syndrome spécifique d’une substance dû à l’arrêt (ou à la réduction) de l’utilisation prolongée et massive de cette substance. B.

Le syndrome spécifique de la substance cause une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. C. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental. LA RÉMISSION La rémission récente est définie comme étant rabsence des critères du trouble sauf celui de l’envie de consommer pendant une période d’au moins 3 mois (mais moins que 12). La rémission durable consiste de passer au moins 12 mois sans critères applicables (sauf l’envie). Il existe effectivement plus d’une sorte de dépendance. En fait, il en existe deux, soit la dépendance physique et la dépendance psychologique.

La première agit davantage sur le corps en provocant des changements chimlques dans le corps qui le rend incapable de fonctionner sans la substance et s’exprime par un sentiment de manque qui se manifeste par des symptômes physiques et donc visuellement apparents. Il peut s’agir, par exemple, d’agitation, de tremblements, de spasmes ressentis, de sueurs ou de douleurs. Dans la plupart des cas, la dépendance physique est précédée par la dépendance psychologique, qui lle, se définit par un sentiment de malaise et d’angoisse suite au manque de la substance. TYPES DE DROGUES Il existe trois grandes catégories de drogues (substances psychoactives), soit les dépresseurs, les perturbateurs et les stimulants. Les dépresseurs tels que l’alcool, la morphine, l’héroine, dépriment les fonctions psychiques du cerveau en diminuant le niveau d’éveil.

Pour ce qui est des perturbateurs, ils perturbent la perception de la réalité en procurant des hallucinations c’est pour cette raison qu’on les appelle souvent les «halluclnogènes», par exemple, la marijuana, l’ecstasy, les hampignons, LSD, etc. Du côté des stimulants, ils se définissent comme étant des substances qui procurent un sentiment d’énergie rapide et temporaire. De plus, elles font augmenter le niveau d’éveil et l’endurance. Des exemples de substances stimulantes sont la cocaïne, les amphétamines, etc. ÉVOLUTION DU TROUBLE DANS LE TEMPS La dépendance à des substances à toujours été présente et va probablement toujours l’être puisque c’est une réalité qui est inévitable. Cependant, avec le temps, beaucoup de nouvelles drogues ont 0 c’est une réalité qui est inévitable.

Cependant, avec le temps, eaucoup de nouvelles drogues ont fait leur arrivée avec leurs nouveaux effets qui attirent les individus à essayer ces nouvelles drogues et à y devenir dépendants. La consommation de substances psychotropes a d’ailleurs évolué avec le temps en raison de la présence des médias qui ont énormément d’influences sur les jeunes. En effet, les jeunes d’aujourd’hui sont constamment exposés à l’usage et la consommation de drogues en prêtant une attention particulière aux comportements des personnes de leur entourage et des nombreuses publicités présentées dans les médias. CAUSES POSSIBLES Causes biologiques La génétique peut engendrer une dépendance.

En effet, pour les personnes qui ont, dans leur famille, la présence d’autres personnes qui ont un problème d’abus à une substance (alcoolisme) augmente le risque d’avoir le même problème. De plus, une personne qui est angoissée peut aussi prendre des substances psychotropes afin de réduire ses angoisses et se calmer. Causes psychologiques Une personne ayant besoin d’assurance et de confiance en soi peut consommer des substances afin de se procurer les effets qui les rendent plus forts et plus confiants sous la prise de cette substance. Certains individus croient que la consommation de drogues augmentera leurs performances professionnelles ou bien dans la pratique d’un spart en stimulant leurs capacités psychiques ou physiques ce qui peut mener à une dépendance.

Causes sociales Les problèmes dans le milieu famillal ou au niveau social en général peuvent engendrer une dépendance à une substance afin d’oublier la peine associée aux problèmes. L’influence des amis durant l’adolescence est un facteur importa PAGF s 0 peine associée aux problèmes. L’influence des amis durant l’adolescence est un facteur important si, par exemple, la plupart e nos amis fument la cigarette nous serons plus portés ? fumer. D’ailleurs, si une personne vit dans un mllieu où tous les membres de sa famille consomment de la drogue ou autres substances psychotropes, celle-ci sera necessairement plus à risque de consommer cette substance.

Aussi, un manque d’autorité de la part des parents, une communication difficile entre les parents et leurs enfants, une éducation mal encadrée, la pauvreté, l’image idéalisée que les films projettent sont des facteurs prédisposant à une dépendance. De plus, des difficultés scolaires générant souvent des échecs peuvent occasionner la rlse de drogues afin d’oublier ces échecs. STATISTIQUES RÉCENTES ET PROBLÈMES ASSOCIÉS Selon l’association des centres de réadaptation en dépendance, le diagnostic de dépendance aux substances psychotropes est de moins de soit de pour l’ensemble de la population québécoise âgée de 15 ans et plus. Il faut cependant se rappeler que ce n’est pas toutes les personnes pouvant être diagnostiquées qui recherchent l’aide en allant consulter, c’est pourquol les chiffres peuvent sembler si bas.

Qui plus est, selon cette même association, environ 5% des consommateurs e cannabis y sont dépendants et le tiers des personnes qui consomment la marijuana sur une base quotidienne deviendront dépendantes. Parmi ceux-ci, il y a une forte proportion de jeunes du secondaire. En effet, le cannabis serait consommé régulièrement chez 6,6% des garçons au secondaire et chez des filles. Sur une autre lancée, l’Enquête de surveillance canadienne de la consommation d’alcool et de drogues(ESCCAD) fait 6 0 lancée, rEnquête de surveillance canadienne de la consommation d’alcool et de drogues(ESCCAD) fait une étude en continu depuis 2008 sur la consommation d’alcool et de drogues sur les Canadiens de 15 ans et plus.

Les résultats ont démontré, entre autres, qu’en 2011 22,9% de la population sondée ont affirmé qu’ils avaient consommé un produit pharmaceutique psychoactif (antidouleurs, stimulants, tranquillisants et sédatifs) et que d’entre eux ont avoué avoir abusé de ces médicaments. En 2011, toujours sur la même étude, des Canadiens âgés de 15 ans et plus ont déclaré avoir vécu au minimum un méfait lié à la consommation de drogues. Ceux-ci peuvent être de nature financière, sociale (amitié, famille), physique, mentale, conjugale, scolaire, professionnelle, judiciaire. En effet, tous ces méfaits sont possibles à long terme lors de la consommation de substances et plus particulièrement lorsque la dépendance apparait. Chez certaines personnes, la prise de drogues peut faire survenir des problèmes de santé mentale sous-jacents, tels que la dépression, la schizophrénie et des troubles paranoïaques.

De surcroît, des problèmes personnels chez la personne, comme une perte de motivation causée par le manque de production de dopamine si la substance n’est pas consommée (le cerveau est habitué de sécrété la dopamine en présence de la substance or, sans elle, cette hormone est eaucoup moins sécrétée), des problèmes familiaux causés par des relations tendues par rapport au désaccord sur la consommation, des problèmes sociaux, l’isolement, des problèmes de jugements, etc. COMMENT SENSIBILISER DAVANTAGE LA POPULATION SUR CETTE PROBLÉMATIQUE La majorité des gens savent les conséquences d’un usage excessif d’une subs 7 0 d’une substance. Cependant, plusieurs de ces substances sont légales et plusieurs en profitent. par exemple, l’alcool et le tabac sont légaux au Québec, par contre, ce que plusieurs ne savent pas c’est que lorsqu’il y a un excès de ces substances, certains euvent développer des maladies, comme le cancer du foie, ou même du poumon. De plus, certains prennent avantages sur les substances psychotropes, telles la cocaïne, la marijuana ou l’héroine.

Ce que nous devons comprendre, c’est que les gens qui font un usage excessif de ces substances ont créé une dépendance dans leur système nerveux, ce qui devient plus difficile de s’en défaire. Cependant, plusieurs organismes sont mis en place pour ces personnes, qui veulent retrouver une vie plus normale. par exemple, il y a une mobilisation dans les hôpitaux, dans les CL SC et dans les centres de réadaptation. Donc, bien que la dépendance soit considérée comme étant une maladie mentale, la plupart des gens pourront être guéris. Dans la plupart des cas, nous essayons d’arrêter les symptômes de la maladie en administrant des médicaments.

Mais dans le cas de la dépendance aux substances psychotropes, on tente plutôt de faire comprendre aux personnes atteintes qu’elles peuvent vivre sans cette substance. Finalement, il y beaucoup de préjugés envers les toxicomanes, mais ce qu’il faut d’abord comprendre, c’est que ces gens tentent simplement d’avoir l’aide idéal d’un roche ou d’un professionnel de la santé. TRAITEMENT DEAL ET PREVENTION Le traitement idéal serait une approche cognitivo- comportementale accompagné d’un traitement pharmaceutique. Le traitement cognitivo. com ortementale vise à mod PAGF 10 cognitivo-comportementale accompagné d’un traitement pharmaceutique.

Le traitement cognitivo-comportementale vise à modifier le comportement problématique en amenant la personne à comprendre son problème de dépendance à une substance et développer des moyens efficaces afin de faire face au problème jusqu’à ce que des effets positifs apparaissent. une iminution de la consommation de substances psychotropes permettra aux personnes dépendantes de prendre conscience des effets négatifs que ce problème leur procure ainsi que d’affronter d’une autre manière leurs problèmes pour lesquels ils prenaient des substances. Pour la prévention, en faisant comprendre aux jeunes les risques liés à ce trouble, il est posslble de réduire fabus de substances. D’ailleurs, le simple fait d’encourager la communication dans le milieu familial aide à diminuer les risques d’apparition de dépendance à une substance. QUESTIONS 1.

Expliquez en vos mots ce qu’est le sevrage ? Réponse : Développement d’une modification comportementale inadaptée spécifique d’une substance due à la diminution considérable de celle-ci ou l’arrêt total. 2. Nommez et décrivez sommairement les types de dépendances. Réponses : La dépendance physique est caractérisée par un physiques, par exemple, des tremblements. La dépendance psychologique se décrit comme un sentiment de malaise lors de la privation de la substance. 3. Parmi les choix suivants, lequel n’est pas une cause sociale du développement de la dépendance ? a) Problèmes familiaux b) Manque de confiance en soi c) Influence des pairs