TPE Jeux D Argent
1) III) Peut on parler d’un besoin ? A) L’intérêt de l’Etat Chaque seconde 1000 € sortent du porte monnaie des Français. Cet argent n’est ni destiné a rembourser la dette de la France,ni même à reboucher le trou de la sécurité sociale et encore moins à financer les retraites. Il est destiné aux jeux d’argent. Tout cet argent a été dépensé par la moitié des français en échange de rêves,qui ne coûtent pas cher,un ou deux euros.
Et tous ces petits euros rejoignent chaque jour le flot continu d’argent qui remontent vers les trois pourvoyeurs de jeux d’argent en France : I Si cet argent allait dir erlons un des pays y trouve tout de mê systèmes de taxes, d PACE 1 or7 Sv. ige to View nev:ÇEge Française des Jeux. s de l’état nous onde, mais il oindre effort : ents sociaux ou encore TVA et autres impots. Au bas mot 5 milliards d’euros ont alimenté son budget l’an dernier. Pourtant le secret reste bien gardé, seul le ministère des finances est capable est capable de communiquer le montant exact des prélèvements et il se garde bien de le faire.
Le secteur des jeux d’argent reste tabou . En effet, alors que toute les opérations publiques sont contrôlées par le parlement dernier sort otalement de ses compétences. Ni le Sénat ni l’Assemblée Nationale n’ont leur mot à dire sur la politique des jeux d’argent en France. Dans un pays dém Swipe to vlew next page démocratique cela reste néanmoins curieux. En effet, il y presque deux siècles, fût voté une loi prohibant tous les jeux d’argent et les loteries en France. Cette loi du mai est toujours en vigueur.
Pourtant il y a un grand paradoxe en France aujourd’hui : le gouvernement et la justice brandissent cette loi a la moindre initiative privée alors que les jeux d’argent n’ont jamais été aussi nombreux sur le territoire. Pourtant selon l’état il n’y a aucune erreur car ce dernier s’est octroyé bon nombre de dérogations à cette loi. Mais ces actions ne concernaient que des actions de bienfaisance pour le sauvetage de l’enfant ou l’encouragement des arts. Dans le même temps il autorisa discrètement les maisons de jeu, et les casinos firent modestement leur apparition .
Un évènement majeur bouleversa l’ordre établi et les jeux d’argent en France : la Première Guerre Mondiale. De cette guerre est née une entreprise créée sur mesure pour remplir les caisses de l’état et profiter de la reconstruction du pays, malgré les lois e la république française. C’est donc de cette manière qu’un monopole des jeux d’argent a été instauré. Toutes les classes de la société y passent, mais les plus touchés restent les revenus faibles.
Le RMI part souvent dans les jeux donc aussi à l’Etat, lui-même donateur de ces aides :une sorte de grosse boucle dans l’absolu. De plus la France qui impose des mesures très restrictives aux casinos, fait preuve d’un laxisme total quand il s’agit de réglementer les jeux qu’elle met sur le march PAG » rif 7 fait preuve d’un laxisme total quand il s’agit de réglementer les eux qu’elle met sur le marché : les jeux de la FDJ sont interdits aux mineurs depuis le 1er juillet 2007 seulement. Cette situation irrite quelque peu le Comrmssion Européenne de Bruxelles, considérée comme abusive.
L’Etat se défend prétendant protéger les joueurs par son monopole. Ses offres et publicités sont pourtant omniprésentes. B) Une propagande des jeux d’argent La Commission Européenne aimerait en finir avec les monopoles d’état sur les paris sportifs et les jeux de hasard , qu’elle considère comme incompatibles avec les traités européens ( entrave a la libre circulation des services). Après avoir ouvert une enquête sur sept pays de l’Union, la commission a ouvert une procédure contre la France, l’Autriche et l’Italie.
Dans I’Hexagone le monopole est un garde fou indispensable pour protéger le public mais dans le même temps il fait la promotion de ces offres ce qui ne plaide pas en sa faveur. La France,l’Autriche et l’Italie ont deux mois pour répondre à la première demande d’informations de la Commission Européenne, puis l’enquête suivra son cours. Les sites continuent de faire leur publicité. À l’abri des sanctions prévues par la législation, les sites ontinuent d’investir dans la publicité pour attirer les internautes français. «Pour ce type de casino, il faut compter un budget pub de l’ordre du million de dollars.
On peut faire de la publicité auprès de n’importe quelle régie ou site», reprend Raymond Pousaz, propriét PAGF3C,F7 faire de la publicité auprès de n’importe quelle régie ou site», reprend Raymond Pousaz, propriétaire de la « licence » Partouche. « Il y a une lecture restrictive de la loi en France. Toute activité de promotion doit falre l’objet d’une autorlsation du [service] « Course et jeux ». Le fait de choisir le français comme langue our la publicité n’est pas un argument valable d’interdiction, il y a d’autres pays qui parlent français.
Il y a une zone grise entre le texte de loi et son application… » Un argumentaire repris par Kipari: «On n’a pas le droit de faire de la publicité sur des supports classiques, mais comme il y a un flou juridique sur l’internet on arrive à [le faire]. On peut annoncer sur des sites ou dans Newsweek et Time Magazine [des hebdomadaires américains, Ndlr], mais c’est clair qu’on n’aura jamais une pleine page dans l’Équipe! ». C) ‘espoir des joueurs Tous les joueurs excessifs entretiennent une compréhension rronée du hasard, ce qui alimente le goût du jeu.
Souvent il en oublie son véritable sens dès qu’il ressent le besoin de jouer. Le joueur excessif se laisse envahir par les illusions et les pièges des jeux de hasard. Il est donc incapable de leur résister. Les jeux sont conçus de façon à laissercroire qu’il est possible de prédire un tour gagnant. Le joueur développe donc des idées erronées qui le rendent prisonnier de ces jeux. Un phénomène humain et normal tend à coincer le joueur excessif dans une cycle perpétuel de retour au jeu. Le « syndrome de l’autobus »ou entrapment est