Tp Svt Chap 3 Tp 2
Thème IA- Chapitre 3 TP 2 Valeur prédictive du modèle de la tectonique des plaques Poste 1 : l’ex de l’âge du plancher océanique Le model de la tectonique des plaques prévoit que le plancher océanique est d’autant plus âgé que l’on s’éloigne de l’axe de la dorsale. A l’aide de google earth, nous allons vérifier l’hypothèse de départ en étudiant les sédiments présents sur les fonds océanique basaltiques. L’étude de carottages qui pe des sédiments et de 1968-1969 au cours ont été réalisés dans s est réalisée à l’aide re de succession J di n a été menée en
Swipetoviewn It p g umérotés de 14 à 21 rages ont atteint le fond basaltique ce qui a permis de dater les sédiments au contact du basalte grâce aux fossiles qu’ils contiennent. Tableau représentant râge des sédiments au contact du basalte au niveau de différents sites Site Age des sédiments au contact du basalte 14 40+1-1 millions d »année 15 24+/-1 millions d’années 16 dorsale. Ces sédiments se trouvent sur le basalte, on peut en déduire que le basalte est de plus en plus âgé lorsqu’on s’éloigne de l’axe de la dorsale. Ce basalte se forme au niveau de la dorsale et s’éloigne.
Nous pouvons également observer que l’épaisseur des sédiments varie en fonction de leur distance par rapport à l’axe de la dorsale. Nous venons de voir que plus on s’éloigne de la dorsale, plus les sédiments au contact direct du plancher basaltique sont anciens. Ici, nous pouvons observer que la couche de sédiments est d’autant plus épaisse que l’on s’éloigne de l’axe de la dorsale. Au niveau de l’axe de la dorsale, l’épaisseur des sédiments n’excède pas 200 m de profondeur. Par contre, elle peut atteindre 2 km lorsque l’on s’éloigne de cet axe.
Ainsi, nous pouvons en conclure que le plancher océanique e forme en permanence au niveau de la dorsale. Des dépôts sédimentaires contemporains de la formation de basalte se forment. Puis, le plancher océanique nouvellement formé est repoussé de part et d’autre de l’axe de la dorsale entraînant avec lui le dépôt de sédiments. Le dépôt de sédiments recouvre alors les dépôts plus anciens déjà présents. Par conséquent, plus on s’éloigne de l’axe de la dorsale, plus les dépôts de sédiments au contact du basalte sont anciens et plus l’épaisseur totale des sédiments augmente. étude des sédiments océaniques est donc un nouvel argument mportant en faveur de la théorie de l’expansion océanique. Poste 2 : ex du déplacement des plaques lithosphériques A Nous venons de voir que la lithosphère océanique e 2 OF s déplacement des plaques lithosphériques A- Nous venons de voir que la lithosphère océanique est produite en permanence au niveau de l’axe de la dorsale, puis s’écarte de part et d’autre de cet axe. On peut donc prévoir que les plaques lithosphériques s’écartent selon des mouvements de divergence.
Toutefois, la surface de la Terre n’augmentant pas, on peut également prévoir des mouvements de convergence des plaques ithosphériques à l’origine de la disparition de la lithosphère océanique. Ces mouvements de convergence devraient aussi entrainer des collisions de plaques. A Paide des données GPS, nous allons vérifier les hypothèses de départ. une GPS possède des satellites qui émettent en permanence des signaux codés pouvant être captés par des récepteurs placés au sol.
Sur le récepteur, on peut alors lire en temps réel les coordonnées géographiques (latitude, longitude, altitude) du point où il se trouve. Les GPS de mesure scientifique ont une grande précision et peuvent être utilisées pour mesurer e déplacement des plaques lithosphériques. Nous pouvons constater que les données GPS sont en conformités avec les prévisions faites précédemment. En effet, on observe que le plancher océanique s’écarte de part et d’autre de l’axe de la dorsale. Ainsi, les plaques lithosphériques s’écartent au niveau des dorsales selon des mouvements de divergence.
Ici, on observe que les deux points au niveau des balises GPS de part et d’autre de la dorsale s’écartent. On peut en déduire que les plaques s’éloignent de la dorsale. Ces mouvements de divergences entraine 3 OF s ue les plaques s’éloignent de la dorsale. Ces mouvements de divergences entrainent également l’écartement des plaques continentales. Ces mouvements de divergence se trouvent au niveau des frontières de divergence et sont donc des zones d’écartement qui correspondent aux dorsale ou aux zones de rifting continental.
Nous pouvons également constater que les plaques lithosphériques peuvent se rapprocher, entrainant des collisions et donc la formation de chaînes de montagnes lorsque les deux plaques qui entrent en collision ont la même densité. Cependant, si les plaques qui se rencontrent n’ont pas la même ensité (lorsqu’une plaque océanique rencontre une plaque continentale), la plaque océanique plus dense s’enfonce sous la plaque continentale, entrainant la destruction de la lithosphère océanique. Ainsi, ces mouvements de convergence se trouvent au niveau des frontières de convergence et sont de deux types.
Si une plaque océanique denfonce sous une autre plaque, c’est une zone de subduction. Si les deux plaques en contact sont de même densité, c’est une zone de collision. Il existe également des mouvements de coulissages se localisant au niveau des failles transformantes. Il n’y a ni création, ni isparition de lithosphère mais seulement déplacement inverse des plaques lithosphériques. Nous savons que la tomographie sismique indique les anomalies de vitesse de propagation des ondes sismiques ? une profondeur donnée (en % par rapport à la valeur normale).
Les anomalies sont interprétées comme des anomalies de température. Une anomalie négative est a 4 OF S température. Une anomalie négative est associée à une zone chaude et une anomalie positive est associée à une zone froide. On observe au niveau des dorsales océaniques, soit au niveau des zones de convergence, une anomalie négative correspond ? ne zone chaude et mince. Cette anomalie permet de confirmer l’expansion océanique. Ainsi, à l’aplomb de l’axe des dorsales, la lithosphère océanique est chaude et mince.
L’arrivée de nouveaux matériaux issus du manteau vient créer une nouvelle portion de croûte océanique. En effet, des laves sont émises et se solidifient. De part et d’autre de l’axe de la dorsale, la lithosphère océanique s’éloigne progressivement, permettant l’accrétion du plancher océanique. On observe également au niveau des frontières de convergence ou une plaque océanique rencontre une plaque continentale, oit au niveau d’une zone de subduction, une anomalie positive correspondant à une zone froide à très grande profondeur.
Ces données topographiques confirment donc que la lithosphère océanique froide plonge dans l’asthénosphère et s’incorpore au manteau lorsqu’elle rencontre une plaque de plus faible densité. Cette subduction entraine la dsparition de la lithosphère océanique et permet à la surface de la Terre de rester stable, même avec le phénomène d’accrétion du plancher océanique. Ainsi, les données topographiques permettent de valider le model de la techtoniques des plaques. S OF s