Tour Eiffel Histoire Des Arts
1 . Guy de Maupassant, La Vie errante, 1890. « J’ai quitté Paris et même la France, parce que la tour Eiffel finissait par m’ennuyer trop*. Non seulement on la voyait de partout, mais on la Trouvait partout,[… ], exposée à toutes les vitres, Cauchemar inévitable et torturant. [… Comment tous les journaux vraiment ont-ils osé nous Parler darchitecture nouvelle à propos de cette carcasse Métallique Il a eu ce privilège à travers les siècles de Symboliser pour ainsi dire chaque époque, de résumer, Par un très petit nombre de monuments typiques, la Manière de penser, de sentir et de rêver d’une race et o neZÇEge Swipe to nex: page D’une civilisation.
Qu Quelques palais et q qu PACE 1 ors près toute l’histoire d ‘att– La grâce et la grande Mais je me demande ues églises, nent à peu e, toute Génération si quelque prochaine meute ne déboulonne Pas cette haute et maigre pyramide d’échelles de fer, Squelette disgracieux et géant, dont la base semble faite Pour porter un formidable monument de Cyclopes et qui Avorte en un ridicule et mince profil de cheminée D’usine. » Analyse du document : 1er œuvre Guy de Maupassant prise Prise de position de l’auteur dans le débat : Maupassant dit que a tour Eiffel est un monument qui finit par ennuyer et devenir pénible.
Il dit qu’il l’a trouve partout, journaux, affiches. Elle est tellement présente dans sa vie qu’il arrive à penser que la tour le poursuit, parce qu’à cause de sa hauteur, il est impossible de ne pas la voi . Arguments pour défendre sa position : Il dit que les générations sont souvent représentées par leurs monuments et leur grâce, mais que cette génération sera vue comme ridicule et indigne à cause de la tour Eiffel qui est trop moderne et s’oppose aux structures classiques. Finalement il critique la modernité de a tour qui la fait ressembler à une usine, à cause de sa forme innovatrice ainsi que les matériaux utilisés.
Contexte : 2. Edmond et Jules de Goncourt, Journal, 2 juillet 1889. « Ce soir, diner sur la plate-forme de la tour Eiffel, avec les Charpentier, les Hermant, les Zola, les Dayot. La montée en Ascenseur : la sensation d’un bâtiment qui prend la mer L? Haut, la perception bien au-delà de sa pensée au ras de terre, de la Grandeur, de l’étendue, de l’immensité babylonienne de Paris, et Sous le soleil couchant, et parmi les randes lignes planes de L’horizon, de la colline de renant au crépuscule