Theorie des organisations
Les nombreuses tablettes d’argiles trouvées dans les vestiges des palais, notamment celui de conçois, nous renseigne des nombreux échanges entre les individus et ainsi de l’existence de ce que l’on défini par le mot société. Pour assurer son fonctionnement, la société attend des individus qui la compose des façons d’agir et d’être relatives aux normes et au contexte dans lequel ils évoluent. Pour s’en assurer et ainsi assurer sa survie, elle exerce sur ses membres une pression, un contrôle social visant à réguler leurs comportements.
La société actuelle n’échappe pas à ces fondements et étend des hommes qu’ils se comportent en fonction de ce qui est jugé conforme ou non. Par sa définition, et à plusieurs échelles, un débordement destructeur est l’aboutissement du comportement d’un ou d’un groupe d’individus jugés déviant, c’est à dire rejetant les normes et valeurs théorie des organisations premier boy sabreraient 1 harpe 04, 2009 6 pages swaps toi vie nées page de la société et la mettant en péril. Dans quelle mesure est elle capable de s’en prémunir ?
Nous verrons dans un premier temps les formes de contrôles que la société utilise et, dans un second temps, us étudierons les limites et les difficultés qu’elle rencontre a se prémunir de débordements destructeurs. Nous l’avons déjà vue, la société utilise un ensemble de mécanisme pour standardiser les comportements des hommes et ainsi se prémunir de débordements destructeurs. La notion de débordement destructeur n’englobe pas uniquement la criminalité, le terrorisme ou autre débordements a caractère mondial mais l’ensemble des comportements déviants pouvant avoir des conséquences néfastes pour la survie de la société.
Aussi, le fait d’arriver en retard, ne pas payer son billet de train ou e pas respecter une file d’attente peut être compris de débordement destructeur, que la société cherche à réguler, contrôler pour assurer sa pérennité. Que se soit dans le cercle de la famille, d’amis, au sein de l’entreprise ; que l’on parle en terme d’économie ou de marché, et même en empruntant es transports en commun, la société exerce un contrôle social qui prend la forme de contrôle formel ou informel.
Les techniques de contrôle informel sont indirects, voir même inconscients. La famille, l’école en sont les principales enseignantes et ce dès la naissance. On parle alors de processus de socialisation. Le contrôle s’exerce directement entre les membres de la société qui ont intériorité de socialisation. Le contrôle s’exerce directement entre les membres de la société qui ont intériorisés les mêmes valeurs. On parle alors de conscience collective, ce afin d’atteindre une conformité, nécessaire à la survie du groupe.
Le contrôle social informel concerne de très nombreuses situations de la vie sociale, sans faire appel l’appareil judiciaire ou légal, par l’approbation ou la réprobation des comportements de leurs congénères. Par exemple, le non respect d’une file d’attente entraînera de la par des individus des sanctions par le regard, les réflexions, les indignations visant à sanctionner cet acte jugé déviant. Cela dit, l’individu jugé coupable peut ne pas y obéir ou en être réceptif. Le seul moyen de rétablir l’ordre sera de faire intervenir un instrument légal. On parle alors de contrôle formel.
Il est le contrôle qui peut se lire, s’entendre ou être édicté. Lorsque le contrôle informel ne fonctionne pas, c’est le recours que possèdent les individus pour contraindre rues congénères à agir selon la norme. Ce contrôle ne passe pas seulement par les lois, la justice ou autres institutions étatiques mais aussi à l’intérieur de chaque groupe. Aussi, une entreprise, un club de sport, une association exerce un contrôle formel sur ses membres. En effet, et afin de se prémunir de débordements destructeurs, la société à jugée nécessaire de grouper et inscrire certaines normes.
On les trouvent à tout les niveaux de la société, sous forme de lois, sur les entreprit certaines normes. On les trouvent à tout les niveaux de la côtoie, sous forme de lois, sur les entreprises, les monopoles, es impôts, les droits mais aussi sous forme de règlement intérieur, de règle de jeu, de conventions. Qu’il soit formel ou informel, le contrôle social est élaboré par la société dans le but de répondre à son besoin de se prémunir de débordements destructeurs. AI se traduit par la définition de ce qui est « bon » ou « mauvais » .
Cependant, les sanctions, formelles ou informelles et ayant pour rôle la dissuasion n’empêche pas certains hommes de déroger aux normes établies. La complexité de la société, composée de groupes, sous- groupes, le marquage des différences sociales, culturelles et religieuses de chacune d’elle rendent le contrôle des individus difficile. En effet, chaque groupe possèdent ses propres normes, valeurs. Des l’ apprentissage de la socialisation, la notion de défiance peut prévaloir sur celle de conformité.
Dans une sous culture ou le non respect des normes sociales sont valorisées, certains individus se trouvent enracinés dans un comportement ou la défiance devient conformité et la sanction, telle que la prison, école du crime, passage obligatoire et processus même de socialisation dans le sous- groupe. Certaines personne l’appelle le développement de l’identité de déviant. D’autres types de défiances pouvant entraîner des débordements destructeurs peuvent être énoncés. Mueront à identifié ces formes. L’innovation ou la à identifié ces formes.
L’innovation ou la poursuite de valeurs de « succès matériel », le ritualiser ou l’impossibilité de certains individus à se rattacher aux valeurs sociales dominantes, l’évasion qui se manifeste par la consommation de drogue, d’alcool ou excès laconique, ou encore la rébellion, remplacement des valeurs et des normes par de nouvelles, illustrée notamment dans la société actuelle par le terrorisme sont autant de comportements déviants qui menace l’existence de la société, sans que celle ci ai les moyens de s’en prémunir réellement.
Selon la thèse de Mueront, la tâche en devient plus complexe par le fait même que la défiance soit au final un produit de la société, souhaité afin de servir les individus d’un autre groupe ou sous- groupe. De plus, la société nous propose comme conformité un ensemble de idole à atteindre pour satisfaire des besoins jugés vitaux. La non possibilité de les atteindre amènerait certains individus à commettre des débordements destructeurs.