Th Ories Des Organisations
Théories des organisations Au cours des siècles précédents, un ensemble de courants et pensées relatifs à l’organisation ont vu le jour, ainsi l’ensemble de ces idéologies se différencient selon le contexte et les conditions dans lesquelles elles furent élaborées, mais partagent un même objectif qui est d’optimiser le fonctionnement de l’entreprise. De ce fait plusieurs noms ont essayé de forger ce qu’on peut appeler un parangon idéal de l’organisation, l’apport de chacun se développe en fonction de celui qui le précède, ce qui permet de mettre raccent sur la corrélation directe qui existe entre les ifférentes théories.
A la lumière de ce qu d’étudier les théories cheminement qui tie et qui permettra de différentes écoles à t org ra u’il est nécessaire ivant un le chronologique, numéré par les Les trois documents mettent clairement en évidence l’évolution des théories d’organisation tout en tenant compte des écoles qui ont œuvraient à leurs réalisations. Les documents en question sont : Théories des organisations rédigé par Céline Masencal et Didier Michel membres de l’Académie de Versailles ; la naissance de la théorie de Forganisation et du management du Dr.
Karsten t finalement les théories des organisations écrit par Gérard Charreaux professeur à l’Université de Bourgogne et Jean-Pierre PitoIe-BeIin professeur à l’ESC de Dij Swipe to vlew next page Dijon. A partir de ces documents nous allons s’attarder sur la naissance des théories d’organisation, mais aussi les différents courants dans la science de l’organisation et du mangement ainsi que leurs théoriciens.
Les premières théories relatives à l’organisation naquirent dans un contexte caractérisé par diverses mutations opérée par la révolution industrielle , ainsi Taylor et Fayol considérés comme ?tant fondateurs de « l’école classique du management » ont pu introduire un ensemble de principes et de postulats au sein de l’entreprise afin d’en améliorer le fonctionnement, des principes qui préconisent la division du travail , la décentralisation des déclsions , identification du poste et de la fonction pour chaque ouvrier…
Il est important de noter que Fayol a tenu compte de la fonction administrative et il l’a considéré comme étant beaucoup plus importante que les autres fonctions ( technique ,comptable ,sécurité… ) dans la mesure où c’est la eule qui ne peut être déléguée , de ce fait il énumère quatorze principes administratifs qui grâce à leur présewation et observation , l’entreprise pourra faire face aux déliquescences dont souffre Porganisation.
Contrairement à Fayol, Taylor aborde moins la problématique de la structure de l’organisation et met plus l’accent sur l’amélioration de la productivité qui passe notamment par le rendement de l’ouvrier , ainsi Taylor a mis ? leur disposition un ensemble de spécialistes qui ont pour mission d’évaluer leurs aptitudes afin de déterminer le poste adéquat ? chacun d’eux et d’assurer leurs ‘évaluer leurs aptitudes afin de déterminer le poste adéquat à chacun d’eux et d’assurer leurs entrainements pour mieux répondre au principe de « la spécialisation » de la tâche mais aussi de l’information dans le but de renforcer la séparation entre l’exécutant et les dirigeants. Il est important de dire que les règles établies par Taylor concernant la rémunération s’articulaient autour du principe de contribution/rétribution.
Plusieurs critiques sont venues regimber et contester ces principes, des critiques formulés par de nombreux adeptes comme Max Weber qui a distingué entre trois ypes d’organisation à savoir charismatique traditionnelle et finalement bureaucratique, cette dernière est considéré par Weber comme la plus efficace et englobe plusieurs caractéristiques qui font d’elle un type idéal de bureaucratie . D’autre part, les critiques adressés à l’école classique visaient plusieurs paramètres de l’organisation, tels que la négligence des variables environnementales ,d’un autre côté on reproche le mauvais maniement de l’information par l’ouvrier mais aussi les conflits interpersonnels qui sont spécialement dû à la négligence e l’homme et de sa dépersonnalisation au sein de l’entreprise, un constat suppléé par d’autres théoriciens comme Mayo et d’autres qui ont criés haut et fort les condltions misérables dans lesquelles l’ouvrier travaille annonçant par la même occasion le tarissement progressif de l’école classique.
Mais malgré le rejet qu’ont connu les principes de l’école classique il est nécessaire de montrer malgré le rejet qu’ont connu les principes de l’école classique il est nécessaire de montrer que certains théoriciens se sont basés fortement sur cette école pour établir des conclusions ptes à être formulés au sein de l’entreprise nous faisons bien évidemment allusion à l’école néo-classique qui d’une certaine manière se distingue par un zèle d’humanisation Comme il a été cité auparavant Elton Mayo était de ceux qui critiquait fortement l’apport des classiques , cet opposition l’a poussé à s’activer sur les terrains afin de remédier à cette situation jugée précaire .
De ce fait , il mena une enquête au sein de la Western Electric Compagny qui allait influencer l’organisation des entreprises et cela en mettant plus l’accent sur e volet social à savoir la coopération humaine et sa motivation , ainsi l’expérience Hawthorne qui avait pour échantillon 6 femmes ouvrières a montré que si on accordait de l’intérêt au travailleurs en tissant des liens d’affection , la productivité des employés augmentera indépendamment des conditions de travail , par conséquent Mayo a clairement démontré que le facteur économique n’était pas le seul moteur de motivation. La contribution de Lewin Kurt ne peut passer inaperçue , ce théoricien a ms en place 3 styles de commandements qui ont été testé sur un groupe d’enfants afin d’en dégager le lus performant ainsi le style démocratique s’est révélé le plus efficient et a permis d’instaurer un bon climat social , contrairement au style autoritaire et du laisser- faire qui ont engendré des conflit , contrairement au style autoritaire et du laisser- faire qui ont engendré des conflits au sein de l’organisation et qui se sont traduits par de piètres résultats.
Les apports de Mayo et Lewin Kurt se sont vus prolonger par la suite grâce à l’apparition des révisionnistes comme Abraham Maslow qui est l’auteur de la pyramide des besoins triés de façon hiérarchique ,et qui montre que les besoins du haut de a pyramide ne peuvent être satisfaits que si les précédent le sont , on peut parler aussi de Likert Rensis qui s’est inspiré de la théorie de Lewin Kurt pour établir à sa manière quatre styles de commandement qui eux aussi ont été testé sur un groupe et qui ont révélé que le style participatif était le plus adéquat car il permettait Pélaboration des structures matricielles par projet contrairement au paternaliste et autoritaire.
Mc Gregor Douglas a aussi eu son mot à dire , il a fortement rejeté les idées qui constituaient la théorie X et qui représentaient l’homme comme aresseux affichant une aversion pour le travail, ce qui pousse les dirigeants à établir des règles de contraintes afin de le forcer ? travailler, ainsi Mc Gregor préconisait la théorie Y qui contredit les principes de la théorie X et qui met en évidence la forte créativité et originalité dont fait preuve l’homme au sein du travail suite ? son épanouissement et son envie de travailler ,c’est pourquoi Mc Gregor opte pour la théorie Y qui valorise plus le facteur humain en l’associant aux objectifs fixés par rentreprise, tout en tenant compte bien évidement du contexte , autremen