Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis. Corrigé.
Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis? (corrigé) Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis. Corrigé. l. Je suis le mieux placé pour savoir qui je suis car je suis le plus proche de moi. I. A Moi seul me connais depuis toujours. Or, mon identité, qui je suis est le résultat de mon histoire. Bergson, La cosncience et la I. B C’est parce que moi seul ai vécu mon histoire. La mémoire que je porte est une mé de souvenirs. Person d’a et expérimenter lem de co réside dans cette ma monde qui est la mie perception. ai ent une quantité ut être à ma place r mon identité xpérimenter le noménologie de la I. C Donc, je suis le seul à savolr qui je suis, moi, car je suis le seul a avoir une conscience immédiate de moi qui est savoir, certitude que je suis moi, que je liai toujours été, qui fait que je suis et reste moi. La conscience de soi est le lieu de l’identité personnelle et moi seul ai une telle conscience de moi. Locke, Essai sur l’entendement humain. Transition : Mais Swlpe to vlew nexr page Mais ne suis-je pas trop subjectif, justement parce que je suis trop roche? Il.
Je ne suis pas le mieux placé pour savoir qui je suis car je suis trop proche de moi. II. A. Je n’ai pas le recul nécessaire à l’objectivité car je suis trop proche de moi. La conscience de soi essaie de reproduire le regard que l’autre a sur moi car lui seul me voit comme un objet, spontanément la conscience que j’ai de moi n’est pas réflexive. Je suis le moins bien placé car je suis le seul à ne pas me voir comme un objet. Sartre,Cêtre et le néant. II. B. En effet, ce sont mes actes qui me définissent : je suis ce ue je fais et non ce que je pense ou veut être.
Mon identité se constitue progressivement au fur et à mesure de ce que je fais dans mon histoire. Sartre, L’existentialisme est un humanisme. II. C. Pour autant, cela signifie-t-il que n’importe quel inconnu peut me connaitre? Ne faut-il pas aussi une certaine compétence technique et scientifique pour produire une connaissance de moi comme sujet? En effet l’identité est un objet complexe, difficilement accessible, avec ses zones d’ombre, et est un mélange de l’intérieur et de l’extérieur. Cf.
Freud, Cinq leçons de psychanalyse. Transi Transition : Mais, le point de vue des autres, même étant objectif, ne risque-t-il pas d’être trop partie ? ‘identité n’est-elle pas quelque chose de trop complexe pour être connu par qui que ce SOit? III. Je reste le mieux placé car je vais faire la synthèse de tous les points de vue. III. A. Il y a des données auxquelles ni moi, ni les autres. Le langage, outil de la communication et de la connaissance, nous coupe de notre intimité la plus profonde. Bergson, Le rire. III. B.
Parce que l’idée même d’identité est illusoire : le moi n’existe pas, c’est une idée creuse. Seuls existent les états que je traverse. Hume, Traité de la nature humaine. III. C. Mais je peux viser une connaissance, la meilleure possible, qui va compenser les défauts propres à chaque point de vue en falsant la synthèse de tous les points de vue me concernant. Je reste le mieux placé car je suis le plus à même de faire cette synthèse, il y a des informations sur moi que moi seul ai. Popper, La logique des sciences sociales.