Stratégie Oulmes

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or 17 Sni* to View Sommaire Introduction Première partie : Présentation de l’analyse SWOT Chapitre 1 : Présentation du secteur d’activité Section 1 : Les opérateurs du secteur Section 2 : Les caractéristiques du secteur Section 3 : Les chiffres clés du secteur Chapitre 2 : Diagnostic de l’environnement interne Section 1 : Présentation de rentreprise Section 2 : L’analyse de l’organisation l’environnement économique international, il y a lieu de relever que la majorité des pays développés ont mis en œuvre, parallèlement à la politique d’assouplissement monétaire, des plans d’ajustement budgétaire sur un horizon de moyen erme afin de réduire leurs déficits budgétaires et leurs niveaux dendettement public à des niveaux soutenables. Dans ces conditions, la croissance économique mondiale, atteindrait en 2014 au lieu de en 2013.

Elle devrait profiter d’une légère progression de la croissance des pays avancés de 1,2% en 2013 à 2,2% en 2014 et de la poursuite du dynamisme des pays émergents et en développement, avec un rythme d’accroissement de 5,7% en 2014 au lieu de 5,3% en 2013. Avec cet environnement internatlonal peu favorable, l’activité économique nationale devrait, cependant, bénéficier de la onne campagne agricole 2012-2013, qui réduirait l’impact de ralentissement des activités non agricoles sur la croissance. Le Produit Intérieur Brut (PIB) s’accroitrait dans ces conditions de en volume en 2013 au lieu de en 2012. La valeur ajoutée du secteur primaire devrait enregistrer une hausse de suite à l’amélioration notable de la production des cultures céréalières de 86,5%, se situant à 97 millions de quintaux durant la campagne 2012-2013.

Les autres cultures agricoles, l’élevage et la pêche maritime continueraient à connaitre un rythme soutenu de leurs activités, sous l’effet des programmes d’investissement ublics ambitieux retenus pour le secteur, en particulier dans le cadre du Plan « Maroc vert » et du Plan maritime « Halieutis En revanche, les activités non agricoles seraient affectées par la réduction des dépenses budgétaires d’investissement, décidée au début de l’année 2013, le faible ac PAG » 7 dépenses budgétaires d’investissement, décidée au début de l’année 2013, le faible accroissement de la demande mondiale adressée au Maroc et le resserrement des capacités de financement de l’économie. Leur rythme de croissance est estimé à 3,1 % en 2013 au lieu de 4,3% en 2012 et de 5% par an en oyenne durant la décennie 2000. Le secteur de l’agroalimentaire: Sur les dix dernières années, l’agroalimentaire a clairement évolué et d’une manière continue. ? titre d’illustration, le chiffre d’affaires du secteur a connu une augmentation importante passant de 61 en 2000 à 112 milliards de DH en 2012, soit un taux de croissance annuel moyen de Facteur de valorisation de la production agricole et halieutique, ce secteur détient donc une place importante dans l’industrie nationale à travers sa participation à l’amélioration de la balance commerciale et à la création d’emplois. Il a ainsi généré, en 2012, une valeur ajoutée d’environ 29 milliards de DH, soit du PIB industriel, et regroupe 2. 093 entreprises, soit 26% de l’ensemble des unités industrielles. Quant au nombre d’emplois, il avoisine lesl 25. 120 personnes, soit 22% de l’effectif industriel global. Le secteur des eaux minérales: Le secteur des eaux minérales est en pleine croissance. Durant ces deux dernières années, la demande est passée de 300È 450 millions de litres, soit une consommation moyenne de 5 lltres par habitant et par an, cela représente le triple de la consommation moyenne enregistrée il y a 5 ans.

Cette hausse st due, selon les professionnels du secteur, à la multiplicité des marques et, sous l’effet de la concurrence, le produit s’est démocratisé, eu égard à des rix devenus plus abordables. Le marché reste dominé p tes qui représentent 91 % PAGF30F17 prix devenus plus abordables. Le marché reste dominé par les eaux plates qui représentent 91 % de la consommation, dont d’eaux minérales, contre 9% pour les eaux gazeuses. 13 alcoolisées et des eaux est difficile à déterminer avec une précision certaine. Elle est toutefois liée aux conditions climatiques, à l’évolution de la population, de même qu’au ouvoir d’achat des consommateurs. Le secteur des Eaux Minérales se caractérise par de réelles barrières à l’entrée qui empêchent la multiplication des Eaux Minérales sur le marché.

D’une part, l’investissement nécessaire pour le lancement d’une unité industrielle de captage, de traitement et d’embouteillage est relativement important. D’autre part, l’identification et l’exploitation de gisements de sources demeurent complexes. De plus, l’eau doit subir des contrôles physiques, chimiques et bactériologiques d’une façon régulière pendant plusieurs années avant de pouvoir être exploitée. ar ailleurs, certains exportateurs étrangers, notamment français ont expérimenté le marché marocaln_ Cependant, en plus des handicaps liés à la distribution et au coût de transport, les niveaux élevés des droits de douane constituent une barrière supplémentaire au développement de ces importations.

En outre, la cherté des produits européens relativement au pouvoir d’achat national présente un sérieux obstacle à la pénétration du marché marocain. pour ce qui est de l’approvisionnement en intrants, les producteurs marocains ont accès au marché local principalement our les étiquettes et le film thermo-rétractable et au marché international pour le PET, le bouchon et les autres produits sophistiqués. Le pouvoir de négociation des conditions d’achat des produits importés est limité puisqu’il s’agit principalement de matieres consommables pour l’emballage dont les prix sont déterminés sur le marché international. En effet, l’essentiel des consommables et emballages sont à base de matières plastiqu international.

En effet, l’essentiel des consommables et emballages sont à base de matières plastiques (casiers, préformes, bouchons, films thermo-rétractables, films étirables t étiquettes plastlques) et ont connu, ces dernières années, des hausses de prix compte tenu de leur forte dépendance par rapport au cours de pétrole. Des augmentations ont également été enregistrées concernant le prix du reste des matières premières, emballages et consommables : sucre, concentré, intercalaires, palettes et bouteilles en verre. L’année 2003 a été caractérisée par un été très chaud à l’échelle mondiale donnant lieu à une forte progression de la demande en sodas, eaux minérales et eaux de table embouteillées.

Cette progression exceptionnelle s’est traduite par une insuffisance sur le marché nternational de matières consommables, en particulier les préformes courant Juillet-Août 2003. Concernant OULMES, la Société ne répercute pas automatiquement et systématiquement les augmentations de prix des intrants sur le prix de vente des produits et ce, pour plusieurs raisons : Maintenir la concurrence du Marché ; Rester à la portée du pouvoir d’achat marocain. par ailleurs, plusieurs actions sont lancées chaque année pour améliorer sinon stabiliser les marges brutes . Des investissements en lignes de production de grandes cadences permettant des économies d’échelles importantes ;

Des appels d’offres nationaux et internationaux pour tous les intrants ; Des programmes d’amélioration continue de la productivité des moyens humains mais également techniques. Au niveau national, avant l’année 2004, le marché a connu peu d’Innovations. A partir de cette date, les producteurs ont commencé à enrichir leur offre en terme de nouveaux packaging (SIDI ALI 75 CL Bouchon sp ont commencé à enrichir leur offre en terme de nouveaux packaging (SIDI ALI 75 CL Bouchon spom AIN SAISS 33 cl… ) et de nouveaux produits à base d’eau minérale (eaux aromatisées). En outre, le marché a connu des augmentations dans les prlX des matières consommables, en particulier, des matières plastiques (concernant l’emballage), d’une moyenne de 15%. Cette tendance a continué en 2005.

Actuellement, le marché des eaux embouteillées a retrouvé son rythme de croisière enregistrant des croissances annuelles continues. La consommation par habitant reste faible (1 1 litres/ an). Le marché est faiblement concurrentiel dominé par OULMES et challengé par SOTHERMA. Contralrement à celui des eaux embouteillées, le marché des sodas est très concurrentiel. On assiste à une tendance de onsommation saisonnière poussée par la promotion agressive et continue (achats impulsifs). En ce qui concerne le secteur des eaux naturelles Chiffre d’affaire Consommation annuelle 450 millions de litres -> 15 litre/habitant Recrutement 2041 personne/ an Importation 1 . 2 million de litre/an Exportation 450000 litre/ an * *Destinations d’exportations : Arabie Saoudite, Emirats, Gambie, Belgique. En ce qui concerne le secteur des boissons gazeuses PAGF70F17 société Les Eaux Minérales d’Oulmès couvre ce qui suit : Le captage, l’exploitation et la commercialisation de l’eau minérale aturelle plate, de reau minérale naturelle gazeuse, et de tous produits dérivés tels que le Dioxyde de Carbone, etc ; La production et la commercialisation de l’eau plate purifiée ; La production des préformes servant aux besoins de la société Oulmès En ce qui concerne les produits d’Oulmès : Eau minérale naturelle plate : Sidi Ali L’examen physique révèle que la température de l’eau ? l’émergence est de 190C quelle que soit la saison.

Après décantation naturelle, l’eau atteint son équilibre à un pH neutre. L’eau Sidi Ali est claire, incolore et inodore. Eau minérale naturelle plate : Ain Atlas ‘émergence est de 220C quelle L’eau Ain Atlas est claire, incolore et inodore. Eau minérale naturelle gazeuse : Oulmès l’émergence est de 42,60C quelle que soit la saison. L’eau OULMES est une eau limpide, inodore et à saveur légèrement piquante à cause du gaz carbonique naturel qu’elle contient. Oulmès légère : L’eau minérale naturelle gazeuse Oulmès Légère présente les mêmes caractéristiques minéralogiques qu’Oulmès. La seule différence entre le produit Oulmès et Oulmès légère se situe au niveau du gaz carbonique.

En effet, celui-ci s’élève à 8,5% du olume total dans un produit Oulmès normal tandis qu’il est ? 4,5% dans un produit Oul effet, elle a subi une déminéralisation par osmose inverse 1 Sainsi qu’une désodorisation et une désinfection. Ill-organigramme • Structure matricielle IV- CHIFFRES CLES DE L’ENTREPRISE : Section 3 : L’analyse de l’ensemble des ressources I-RESSOURCES HUMAINES . Le développement du capital humain des Eaux Minérales d’Oulmès est placé au coeur de la stratégie de la Direction Générale. La polltique des Ressources Humaines s’articule autour de cinq valeurs fédératrices (Fidélité, Innovation, Engagement, Respect, Solidarité) qui expriment les convictions et l’engagement dans l’amélioration continue de la situation professionnelle des effectifs ainsi que son engagement dans le développement durable.

Afin d’accompagner les collaborateurs, la société « Les Eaux Minérales d’Oulmès » a mis en place un outil stratégique de management appelé « Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Les objectifs de la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) sont les suivants Adapter les ressources humaines : La société souhaiterait mettre en adéquation les compétences des hommes et l’évolution des mplois , chaque année par la direction des Ressources Humaines selon les besoins identifiés lors des évaluations annuelles afin d’en assurer l’efficience. La formation est offerte à toute personne ayant une incidence sur la qualité aussi bien des produits que des processus d’administration et de gestion.

Elle concerne ainsi tous les niveaux opérationnels de la société, à savoir l’approvisionnement, la fabrication, la manutention, la maintenance, la facturation, le stockage et la livraison, etc. La qualification des opérateurs est réalisée par l’encadrement t un plan de formation en interne est réalisé annuellement. La formation est présente tout au long de la carrière des agents, elle leur permet d’acquérir ou de développer les compétences liées à leur metier afin d’obtenir des résultats et d’atteindre des performances. L’accent est également mis sur une communication efficiente se traduisant par des réunions intra-département et inter- département où sont exposés les résultats et les plans d’action de chacun.

Des affiches, des notes, et film institutionnel sont diffusés à travers différents canaux pour renforcer la communication nterne. Enfin, la direction RH dispose d’un système d’information (progiciel AGIRH) lui facilitant le processus de gestion de la paie et garantissant la fiabilité des informations RH. Afin de motiver les employés, des primes sont octroyés en fonction des résultats réalisés. Il s’agit notamment des primes et intéressements liés ? La productivité (primes de production mensuelle en fonction du nombre de cols produits) Aux objectifs de ventes (commissions mensuelles) ; Et aux performances globales de la société (primes de bilan attribuées à la fin de l’exercice). Il-RESSOURCES D’EAUX : 17