Scrutin majoritaire ; scrutin proportionnel

essay B

La représentation proportionnelle (A) s’oppose au scrutin majoritaire (B) en application et en rues tait. Proportionnel. Premier BOY caméra 1 empara 23, 2011 7 pages modèles de scrutin (l) puis leurs critiques (Il). _ Deux modèles de scrutins s’opposent A _ La représentation proportionnelle La représentation proportionnelle par son mode électeurs Le scrutin proportionnel permet de faire en sorte que les élus (députés, conseillers municipaux… ) reflètent le plus équitablement possible la diversité des opinions des électeurs.

Chaque parti politique présente une liste de candidats au suffrage. Les sièges sont attribués à chacune des listes en divisant le nombre de voix obtenues par le quotient électoral (nombre de voix nécessaires pour obtenir un siège). Ce modèle là, le plus souvent, ne permet as d’attribuer tout les sièges. Alors, il existe deux méthodes pour déterminer à qui reviendra les sièges restants. La méthode du plus fort reste, consiste à attribuer un siège au prorata du nombre de voix restantes.

Et la méthode de la plus forte moyenne, un peu plus complexe, consiste calculer pour chaque liste la moyenne qu’elle obtiendrait si on accordait fictivement à chacune d’entre elles un siège supplémentaire. Ensuite, dans ce modèle là, le choix des élus se fait de deux façons. Soit, le vote par liste bloquée qui amène à choisir un groupe et non pas une personne, soit le vote référeraient ou les électeurs peuvent choisir de barrer un ou plusieurs candidat(s) d’une liste.

Ce modèle donne donc « nécessairement à son vote un caractère politique, puisque les candidats qui se présentent à lui sont groupés par option et que, par conséquent, l’opinion politique présente pour l’électeur autant d’importance que le choix de la personne 2. Un avantage à l’union des partis politiques Le modèle d le choix de la personne Le modèle de représentation proportionnelle ne forme que rarement une majorité parlementaire. En effet, la diversité des opinions politiques des électeurs étant représentée, il ‘y a pas d’unité réelle du pouvoir politique.

Ceci amène à un mouvement, à posteriori des élections, de coalition des partis politiques afin de prendre la majorité. Ce modèle donne donc une grande importance aux petits partis qui jouent un rôle crucial dans la balance de l’une ou l’autre majorité. B_ Le scrutin majoritaire Le scrutin majoritaire de par sa composition amène a un « effet intégraient » (1) du parti gagnant et encourage l’union des partis politiques (2). 1. Un « effet intégraient »* Le scrutin majoritaire consiste à déclarer élu le candidat ou la liste qui a obtenu la majorité des voix.

Ce scrutin offre deux variantes ; le scrutin majoritaire à un tour ou à deux tours. Dans le premier cas le candidat ou la liste ayant obtenu le plus de voix est élu (modèle utilisé en Grande- bretonne). Dans le deuxième cas est élu le candidat ou la liste qui a obtenu la majorité absolue au premier tour ou, défaut la majorité relative au second tour (modèle utilisé en France). L’ « effet intégraient » provient du fait qu’il n’ a qu’un parti qui est finalement représenter, c’est-à-dire que « tous les sièges vont à la majorité et que la minorité n’ vont à la majorité et que la minorité n’ rien .

Un encouragement à l’union des partis politiques Ce modèle encourage donc l’union des partis politiques afin de récolter le plus de voix possibles. En général, le premier tour offre un panée étendu de partis politiques, de listes. La présence au second tour est généralement soumise à la condition d’avoir obtenu au premier tour un certain pourcentage par rapport aux inscrits ou aux suffrages exprimés. Le plus souvent à l’issue du premier tour il ne reste que deux candidats voir rarement trois ; c’est « le ballottage ». Le premier tour permet donc à tous les partis de ‘exprimer, le deuxième engage les coalitions entre partis.

Il est vrai que l’on peut parler de « prime à l’union, car c’est forcément en s’unissant qu’on a des chances d’emporter cette majorité. » La réunion des partis engage donc une « réduction à deux du nombre de partis » qui tend fortement vers le bipartisme. Il Une critique des deux scrutins La critique de ces deux scrutins passe par la critique (1) en sois mais aussi par les conséquences (2) que ces deux scrutins engendrent sur l’état. A _ La critique La critique reste bien opposée entre la représentation proportionnelle (1) et le scrutin majoritaire (2). De la représentation proportionnelle effet, elle représente toutes les opinions publiques pourvu qu’elles soient assez importantes dans le pays ou la circonscription. « Ce n’est pas tout à la majorité, rien à la minorité, c’est une répartition équitable, une répartition proportionnelle entre les listes des candidats selon l’importance des suffrages qu’elles ont obtenu. » Elle correspondrait presque à un « idéal de justice électorale Cependant, ce modèle crée une instabilité politique de par le fait que les coalisions soient obligatoires pour obtenir la majorité à la chambre des représentants.

Ceci donne donc aux petits partis des positions plus importantes qu’ils ne devraient avoir en réalité car ils constituent le poids qui fera pencher la balance. Néanmoins, les partis les plus marginaux qui ne réunissent que peu de voix sont mis totalement de coté et d’autant plus en fonction du mode de répartition des restes adoptés Ensuite, du fait que la représentation proportionnelle offre une grande place au multiplierais on ne voit pas apparaître de réelle majorité. De plus, ces partis n’ont pas de raison de s’unir et de s’entendre durablement, ce qui crée des lacunes dans la direction du gouvernement. . Du scrutin majoritaire Bien que le scrutin majoritaire définisse directement un parti avec une majorité stable qui est en mesure de gouverner, il a une lacune primordiale. En opposition au modèle de répartition proportionnelle, il ne représente pas fidèlement les opinions du corps électoral. En répartition proportionnelle, il ne représente pas fidèlement les opinions du corps électoral. En effet, « les sièges vont la majorité et que la minorité n’ rien ». Les partis plus faibles et les moins ?imposants n’ont donc aucune place pour s’exprimer.

Ensuite, le découpage en circonscriptions électorales du as apporte une inégalité car les zones ne sont pas peuplées pareil. Elles ne pensent pas de la même façon suivant de nombreux facteurs comme l’histoire, la localisation, les actualités locales,… On parle même parfois de « charcutée électoral ». B_ Conséquences Les conséquences de ces modèles de scrutins amènent a une tendance au multiplierais (1 ) et une arrivée du scrutin mixte (2). 1. Tendance au multiplierais Les deux partis amènent donc à un multiplierais. Pour ce qui est de la représentation proportionnelle, elle ne cherche pas à unir ces partis.