Science et religion
Pour simplifier le débat, ne retenons que les religions les plus « modernes’ , les monothéistes. Leur seul Dieu, que ce soit « hâve » des Juifs, « Dieu » des chrétiens ou « alla » des musulmans (dans l’ordre d’entrée en scène), qui est censé s’occuper de nos petites affaires ha/24, est représenté sous une forme anthropomorphisme par un vieillard généralement barbu, assez grincheux et qui enverrait en enfer tous ceux qui contrecarreraient à ses dictais et accueillerait dans un paradis somptueux ceux qui s’ soumettraient.
Ce Dieu-là est de toute évidence inventé par les hommes sérieux de s’appuyer sur une autorité inaccessible et donc indiscutable pour imposer leurs idées et établir leur premier boy réunifieraient hobby 11, 2009 3 pages connaissances des hommes à l’époque de leur apparition plus « modernes », les monothéistes. Leur seul Dieu, que ce domination sur les esprits. Son utilité est surtout d’être la source prétendument divine des lois élaborées par les hommes, qui ainsi gagnent en autorité. Ne donne au mot « Dieu » la signification de « cause première de l’univers », donc force supérieure précédant celui-ci et inaccessible à a perception humaine, son existence est giclement indispensable, puisque l’univers existe (enfin, c’est hautement probable). Pendant qu’on y est, on peut aussi inclure dans ce concept toutes les connaissances que l’homme n’ pas encore acquises et celles qu’il n’acquerra jamais.
Mais dans ce cas il est par contre hautement improbable que nous soyons sa principale préoccupation. Le savoir et la croyance, en leur sens le plus large, ont un point commun : chacun prétend délivrer une vérité. Les théories scientifiques prétendent dégager certaines lois régulières expliquant les phénomènes physiques, ou bien établir indubitablement des démonstrations thématiques. C’est pourquoi le savoir semble destiné à faire disparaître la croyance, partout où elle règne encore.
Pourtant, le progrès considérable du savoir scientifique accompli depuis plusieurs siècles n’ pas fait disparaître la croyance, bien au contraire : superstitions et religions conservent toute leur audience. À ceci s’ajoute que le domaine de la croyance (l’existence de Dieu, la vie après la mort) semble parfois exclure toute connaissance scientifique.