Sakura

essay A

Sakura & Hanami Sakura : cerisiers ornementaux du Japon Prunus Serrulata Symbolique e sakura a toujours été un symbole de beauté éphémère au Japon et est étroitement associé aux samourais et aux bushi. La vie était considérée comme belle et courte, telle une fleur de censier. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le sakura était un symbole servant à motiver le peuple japonais. Les pilotes nippons le peignaient sur les flancs de leur avion avant de partir pour une mission suicide, en ta éphémère. Le gouve OF que l’âme des soldat 0: wipe next page cerisier. Aujourd’hui ces fleurs comme e d’étoiles.

Influence culturelle té et de nature s Japonais à croire incarnait en fleurs de es policiers utilisent ignes à la place La floraison de ces cerisiers a, au travers de l’histoire du pays, toujours inspiré les artistes japonais : l’empreinte culturelle de cet évènement est omniprésente dans la littérature (notamment dans les manga et les anime), la peinture japonaise, les danses traditionnelles, le théâtre et la religion (bouddhisme, shintoisme). De même, le sakura est très présent dans la musique (par exemple, le groupe Kagrra associe souvent ses chansons ou l’ambiance de ses concerts au cerisier).

Il existe au moins une chanson populaire intitulée Sakura sakura, initialement prévue pour être jouée par un shakuhachi (flûte de bambou) ; on compte également de nombreux morceaux d de J-Pop portant ce titre. Les sakura sont représentés de manières très diverses sur les kimonos, les articles de papeterie et la vaisselle. Espèces : Il existe de nombreuses variétés de sakura se différenciant par le nombre de pétales, la couleur des fleurs et des jeunes feuilles, la période de floraison ou le port de l’arbrel .

Parmi les espèces de cerisiers ornementaux les plus courantes au Japon, on compte : Prunus serrulata, cerisier du Japon Prunus speciosa, cerisier d’Izu Ôshima Prunus sargentii, cerisier d’Ezo Prunus yedoensis, cerisier Yoshino, hybride de Prunus speciosa et de Prunus subhirtella Pendula L’une des variétés préférées des Japonais est le somei Yoshino (Prunus xyedoensis). Ses fleurs sont d’un blanc presque pur teinté du rose le plus pâle particulièrement au niveau de la tige. En général, les pétales de ces fleurs tombent, ou plutôt « se dispersent » chiru? une semaine avant que les feuilles apparaissent ; c’est pourquoi, ils semblent blancs du tronc à la ime. Cette variété tient son nom du village de Somei (maintenant partie intégrante de l’arrondissement tokyolte de Toshima). Selon les recherches génétiques, c’est un hybride qui aurait été développé vers 1720 dans la région de Edo (ancien nom de Tokyo). Les yaezakura et shidarezakura sont d’autres variétés appréciées de cerisiers du Japon. Le yaezakura (Prunus serrulata f. purpurascens) a de grandes fleurs avec plus de 5 pétales denses et rose foncé. Le shiradez serrulata var. pendula), IS serrulata var. endula), ou « cerisier pleureur », possède des ranches qui tombent comme celles du saule pleureur et portant des cascades de fleurs roses. Hanam Chaque année, l’Agence météorologique du Japon et l’ensemble de la population suivent le sakura zensen front des fleurs de cerisier). Tous les soirs, les prévisions à ce sujet suivent le bulletin météorologique du journal télévisé. La floraison commence dans l’archipel Okinawa en janvier et atteint généralement Kyôto et Tôkyô à la fin du mois de mars ou en début d’avril, à l’exception de la péninsule d’Izu, au Sud Ouest de Tokyo, qui est concernée dès la mi-février.

Puis, elle progresse ers le nord pour atteindre Hokkaido quelques semaines plus tard. Les Japonais prêtent une grande attention à ces prévisions. Is pourront ainsi aller dans les parcs, les autels et les temples en famille ou entre amis pour « contempler les fleurs » (7EÀ, hanami? ) , manger et boire. Les festivals du hanami célèbrent la beauté des cerisiers en fleurs et sont, pour beaucoup, une occasion de se reposer et de profiter du paysage. Il existe de très nombreux spots dans l’ensemble de l’archipel, et les meilleurs, et plus célèbres, sont très prisés des touristes, japonais comme étrangers.

Ceux qui désirent y participer, dans ces endroits, se doivent donc de réserver leurs emplacements le plus tôt possible, afin de ne pas se retrouver dépourvu lors des hanami. Pour ce faire, il est de coutume de laisser une bâche ? l’emplacement désiré, et de profiter de ce lieux avec ses amis ou les membres de sa famille, en consommant de la désiré, et de profiter de ce lieux avec ses amis ou les membres de sa famille, en consommant de la bière, et d’autres boissons, et plats en tout genre. mplantation[modifier I modifier le code] Cerisiers avec le Mont Fuji et le Shinkansen en arrière-plan

Les sakuras tiennent une place de première importance dans la plupart des Jardins japonais et des parcs publics, écoles et bâtiments publics japonais. Comme les années fiscales et scolaires commencent toutes les deux en avril, le jour de la rentrée des classes coïncide avec la saison des cerisiers dans la plus grande partie de l’ile de Honshu. À l’extérieur du Japon[modifier I modifier le code] Le Tidal Basin bordé de cerisiers en fleurs ; Washington, D. C. Le Japon offrit 3 000 cerisiers aux États-Unis en 191 2 pour célébrer l’amitié de leurs deux nations alors florissantes.

Ces rbres furent alignés au bord du Tidal Basin à Washington, et ce cadeau fut renouvelé en 1956 avec 3 800 arbres supplémentaires. Le sakura continue d’y être une attraction touristique populaire, notamment grâce au Festival annuel des Fleurs de cerisier, lorsque ces derniers terminent leur floraison, au début du printemps. Le festival consiste en seize jours de festivités qui mettent la culture japonaise à l’honneur. Le hanami littéralement, « regarder les fleurs ou o- hanami avec préfixe honorifique, est la coutume traditionnelle japonaise d’apprécier la beauté des fleurs, principalement les leurs de cerisier (sakura). ? partir de fin mars ou début avril, les sakura entrent en pleine floraison au Japon. De nos jours, le hanam 4 OF IS fin mars ou début avril, les sakura entrent en pleine floraison au Japon. De nos jours, le hanami se résume souvent à profiter de cette saison pour pique-niquer, discuter, chanter sous les cerisiers en fleurl. Cette coutume est au printemps ce que momijigari, l’observation de kbyb (le changement de couleur des feuilles), est à l’automne. Il existe aussi une forme de hanami concernant l’abricotier du Japon (ume), précédant celui des cerisiers du Japon, ainsi que u pêcher, succédant aux cerisiers2.

Si les cerisiers du Japon sont plus populaires pour les hanami, particulièrement chez les jeunes (il s’agit d’un prétexte pour boire de l’alcool entre amis), les personnes plus âgées préfèrent l’atmosphère des hanami de l’urne. Histoire Hanami au pied du château de Himeji La pratique du hanami est vieille de plusieurs siècles. On considère que la coutume aurait commencé durant la période Nara (710-784) à l’époque où la dynastie chinoise Tang a fortement influencé le Japon, entre autres en apportant la coutume d’apprécier les fleurs.

Cependant, c’était les fleurs d’ume que les gens admiraient à cette époque, et ce n’est que durant la période Heian que les sakura ont commencé à attirer plus d’attention3. Depuis cette époque, dans le tanka et le haiku, le mot fleur est très fortement lié au sakura. Les sakura étaient à l’origine employés comme annonciateur de la saison de plantation du riz. Les gens croyant à l’existence de dieux à l’intérieur des arbres faisaient des offrandes aux pieds des sakura. Ensuite, ils participaient à l’offrande en buvant du saké. L’empereur Sa aux pieds des sakura.

Ensuite, ils participaient à l’offrande en buvant du saké. ’empereur Saga, qui a donné son nom à la région de Sagano, et qui vécut à la période Heian, a adapté cette coutume et en a fait des fêtes de « contemplation des fleurs » avec du saké et des mets, sous les branches des cerisiers en fleur dans la cour impériale à Kyôto. Des poésies étaient écrites, louant les fleurs sensibles, qui étaient vues comme une métaphore de la vie elle- même, lumineuse et belle, mais passagère et éphémère. Ceci serait le début de la coutume des hanami.

La coutume a été à l’origine limitée à l’élite de la cour Impériale, mais s’est rapidement répandue à la société des samouraïs et ? partir de la période Edo aux gens du peuple. Sous les arbres de sakura, ils prenaient un repas et buvaient le saké dans l’allégresse De nos jours Hanami au parc d’Ueno De nos jours, la coutume existe toujours. Durant la période de floraison des cerisiers, les Japonais partent pique-niquer en famille ou entre amis sous ces arbres. Les moments les plus appréciés sont l’apparition des premières fleurs (#7Ë, kaika? que uettent les photographes et la période de pic de floraison NH, mankai? ). Il est coutumier de boire alors de l’alcool, parfois trop en 201 2, sur les neuf premiers jours de hanami, 74 personnes ont été emmenées aux urgences pour intoxication alcoolique aigué ? Toky04. Durant les émissions de météo à la télévision, mais aussi sur Internet et sur téléphone mobiles, la progression de l’éclosion est représentée. Cette ligne de front (« fifi*, sakurazensen? ) permet de connaîtr 6 OF IS progression de l’éclosion est représentée. Cette ligne de front (« fii*, sakurazensen? ermet de connaître le moment où les cerisiers éclosent3. Elle part de l’ar hipel d’Okinawa (au sud) et remonte jusqu’à Hokkaido en l’espace d’un mois. À Kyôto, dans la région de Sagano, on peut voir plusieurs centaines de sakura à Arashiyama et plusieurs milliers de Japonais s’adonnant aux hanami. À Tokyo, les parcs d’Ueno et de Shinjuku sont des lieux prisés, les jardins Hama-rikyu et Koishikawa kôraku étant également fameux. e début d’une nouvelle de l’écrivain Motojirô Kajii est devenu proverbial à propos du hanami : « Sous les cerisiers sont enterrés des cadavres ! » (1927)

Pour tous les contemplateurs des Sakura, il existe des spots ? ne pas rater, sur l’ensemble du territoire nippon. Tout d’abord, l’une des première région a être concernée est la péninsule d’Izu, au Sud Ouet de Tokyo, dans la préfecture de Shizuoka. Voici une liste de quelques spots incontournables où faire des Hanami au Japon6: Tokyo: Shinjuku Gyoen, Parc de Ueno, Parc de Yoyogi, Parc de Sumida, Rivière Meguro, Koishikawa Korakuen, Kyoto: passage de la philosophie, Arashiyama, Kiyomizudera, Osaka: Château d’Osaka, parc Kema Sakuranomiya, Le cerisier du Japon Amanogawa, le symbole nippon

Une histoire palpitante Le cerisier du japon, communément appelé Sakura, est aujourd’hui l’un des symboles les plus importants, au pays du soleil levant. Énormément représentés, il apparaît par exemple dans Part de la guerre. Peuple guerrier par excellence, ces fleurs servaient à motiver le peuple japo la guerre. Peuple guerrier par excellence, ces fleurs servaient à motiver le peuple japonais. Pendant la seconde guerre mondiale, les aviateurs nippons le peignaient sur les flancs de leur avion avant de partir, en tant que symbole de beauté et d’espoir.

Les Japonais aimaient croire que l’âme des soldats morts au combat se réincarnait en fleurs de cerisier. Aujourd’hui encore, les militaires et les policiers utilisent ces fleurs comme emblèmes. Ce végétal a également inspiré de nombreux artistes, notamment dans la littérature, la peinture ou la religion. Il est d’ailleurs régulièrement représenté sur les kimonos des jeunes filles lors des fêtes et notamment pendant l’Hanami. C’est à l’époque Heian (794 – 11 85) qu’est apparue cette pratique d’abord religieuse, de fêter la venue du printemps avec l’apparition de ses fleurs délicates.

Pour les paysans, l’aspect des fleurs laissait présager la qualité des récoltes de riz, plantées pendant la même période. Pour les aristocrates, leur contemplation avait surtout une dimension romantique. Avec les siècles, PHanami ou « la vue des fleurs » s’est peu à peu démocratisé. Au point de devenir à partir enl 600, l’une des rares occasions pour les gens du peuple de se rassembler et de parler librement sans craindre la colère de leur seigneur. En janvier, les premières fleurs éclosent dans l’archipel d’Okinawa, au sud-ouest des îles.

Puis, à la fin du mois de mars ou en début ‘avril, les parcs de Kyoto et de Tôkybs’embelllssent à leur tour. Enfin, l’épanouissement des sakuras progresse vers le nord pour atteindre Hokkaidbquelques tour. Enfin, l’épanouissement des sakuras progresse vers le nord pour atteindre Hokkaidbquelques semaines plus tard. CAmanogawa aujourd’hui De nos jours, la coutume existe toujours et est très suivie par la population japonaise. Durant cette période de floraison, les prévisions à ce sujet suivent le bulletin météorologique du journal télévisé. Les Japonais prêtent une grande attention à ces prévisions.

Ils euvent ainsi prévoir d’aller dans les parcs et les temples en famille ou entre amis pour « contempler les fleurs manger et boire. Les festivals du Hanami célèbrent la beauté des cerisiers en fleurs et sont, pour beaucoup, une occasion de se reposer et de profiter du paysage. Les moments les plus appréciés sont l’apparition des premières fleurs, appelée kaika, que guettent les photographes et qui signifient de pure moment de détente et d’évasion. Les parcs d’Ueno à Tbkyb ou d’Arashiyama à Kyôtosont très fréquentés quand leurs innombrables cerisiers laissent apparaitre leurs floraisons.

Le Japon dans son jardin L’arbre en lui-même est de taille moyenne, idéal pour tous jardins ! Les petits comme les grands ! Son écorce d’un beau brun brillant et luisant, sa forme en colonne et sa croissance lente, en fait l’arbre parfait pour orner votre jardin. Ces feuilles passent par divers coloris. D’une belle couleur cuivrée au printemps, au vert foncé en été puis jaune-orangé à l’automne, l’arbre se couvrira de splendides grappes de fleurs d’un blanc immaculé d’avril à mai. Quand le crépuscule vient à tomber sur le Mont Rugissant, les cerisiers du Japon nous laissen