Rire fait-il penser?

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On distingue parmi eux, la comédie de m?ours, où sont dénoncés les satires contemporains grâce au rire et à l’humour. Le Mariage de figera, ?ouvre du suivisme siècle, en est l’un des plus illustres représentants. Suite du non moins célèbre Barbier de sévisse, il relate les aventures de figera, un homme du peuple, dont le mariage est menacé par illumina, son Comte et ancien complice. Dans cette comédie en cinq actes, nombreuses sont les paresses où des personnages sortent de leur simple rôle pour endosser le rôle d’un porte-parole engagé.

Mais est-ce le seul moyen que bombarderais a trouvé pour nous faire réfléchir dans une comédie? Le vagabond de homme qui rit affirme que le rire et la flexion sont deux asymptotes qui ne peuvent se rejoindre: «J’ai un camarade qui fait rire, moi je fais penser. ». On en vient à s si e toi vie nées a e Rire fait-il penser? Premier boy assaillit phoque 07, 2009 | 8 pages spire toi vie nées page se demander si dans le Mariage, faire rire ne sert qu’au ressort dramatique ou si elle est un masque d’une pensée.

AI est vrai qu’habituellement faire rire n’est qu’un principe de la comédie, cependant, certains formes de comique ont également la fonction de faire penser, mais il est nécessaire qu’une comédie joue à la fois un rôle de simple avertissement et de plaidoirie. La comédie a pour originel but de faire rire, ainsi, il n’est pas étonnant que le comique soit seulement de ressort dramatique, évitant à la pièce de se retrouver dans un registre dramatique ou tragique.

On le voit par différent formes de comiques plus essentiellement portées sur les gestes, et l’expression du corps en général. Dans le Mariage de figera, la scène 21 de l’acte Il présente le jardinier ivrogne, Antoni, qui entre dans la chambre intime de la Comtesse « portant ses pots de giroflées », ses répliques vulgaires « Boire sans soif, et faire l’amour en août temps », son vocabulaire mal employé « Voilà comme on fait des jugements… Ténébreux. », « On vient d’en jeter un homme », « Je n’ai pas vu sauter de cheval. Le caractérisent comme le bouffon de la farce, le vieux bourbon lequel on rit à ses dépens. Pourtant le scène contenait toutes les informations de l’intrigue et aurait pu paraître pour un drame, si Antoni n’avait pas ce statut de pitre, il aurait dévoilé la description du pitre, il aurait dévoilé la description du Chérubin et le brevet d’officier. Ce personnage, propre à la parade, a ainsi, pour seul rôle de faire rebondir l’intrigue dans un atmosphère de jovialité et de rire.

Outre la farce, les dédicacées peuvent avoir le simple rôle de nous faire rire et faire progresser l’intrigue, elles sont notamment importantes à l’acte IF scène 9, où le comique de geste est particulièrement important. « Le Comte fait le geste d’un homme qui s’est cruellement piqué le doigt, il regarde le papier cacheté d’une épingle et dit -pendant un pâmoison! – : « diamanter soit des femmes, qui fourrent des épingles partout! » Il jette l’épingle à terre et lit le billet puis le retourne.

Il voit qu’il doit renvoyer le cachet avec l’épingle et cherche à terre. figera, qui a tout vu, dit : « D’un objet aimé tout est cher. » » Les scènes précédentes et celles à venir nous montrent l’importance de cette épingle, tout d’abord un moyen de renvoyer la lettre à la Comtesse, cette scène qui montre le Comte cherchant désespérément son épingle, après s’être fait piqué dans la foule et finalement le retrouve et permettre à figera de voir la scène mais non l’émettrice du billet.

Ainsi, les dédicacées n’ont servi qua ridiculiser le Comte et son libertinage. Les imitations et les jeux de masque ont égalée ridiculiser le Comte et son libertinage. Les imitations et les jeux de masque ont également un rôle de divertissement, les scène 7 et 8 de l’acte V présentent tour à tour, maître et maîtresse, valet et cambiste. Le Comte est victime de l’ironie dramatique, es spectateurs ont déjà appris que suzeraine n’est autre que la Comtesse déguisée.

Cette scène est notamment comique par son jeu de séduction « Mais quelle peau fine et douce, et qu’il s’en faut que la Comtesse ait la main aussi belle! » et par l’imitation de la voix de suzeraine. « Imitant le parler de suzeraine ». La Scène suivante présente figera et suzeraine, encore une fois, l’homme est victime de l’ironie aromatique, il se croit tromper et suzeraine va imiter la Comtesse. « Du ton de voix de la Comtesse » figera comprendra très vite le manège « Traîtresse! Qui veut me surprendre! Et jouera le rôle du séducteur à son tour, les soufflets « lui donnant un soufflet, lui donnant un second, le bat à chaque phrase » qui suivront sont propre à la farce, servant uniquement pour le ressort dramatique. Cependant, si la comédie a pour originel but de faire rire, l’esthétique du soviétiques parlait de Comédie de m?ours, le poète latin, arrache, disait « casait rident morses. » que molaire a repris par « Le rire doit avoir une valeur ‘enseignement et il doit « corriger les vices de l’homme. bombarderais en suivit l’exemple pp bombarderais en suivit l’exemple par la Satire, le Burlesque, et plus généralement sur les répliques. Comme toutes Comédies de m?ours, le Mariage dénonce par la satire. L’acte il Scène 5 montre clairement la satire sociale par la tirade du goder « Je sais goder » et par la joute verbale sur l’égalité: « figera. Je me changeais/Le Comte: Faut-il une heure? / figera: AI faut le temps. /Le Comte: Les domestiques ici… Sont plus longs à s’habiller que les maîtres! / figera: ces qu’ils n’ont point les valets pour les y aider.

Le Comte: … » figera parvient à faire taire le Comte et démontre ainsi sont éloquence et fait réfléchir sur les vrais valeurs d’un personnage. Ensuite, les scènes 12 à 16 de L’acte il mettent en place le procès prévu depuis l’acte I, américaine veut gagner le procès pour épouser figera, elle est soutenue par le Comte, prêt à tout pour éloigner figera de suzeraine. Ce grand procès ne sera qu’une mise en scène comique et périodique pour cacher les intentions de bombarderais qui avait autrefois des problèmes avec la justice. Cf.. Les Mémoires) Ainsi, les scène 12 à 16 ne sont qu’une satire de a justice masqué par le comique. La scène 12 le montre par la paresse de américaine « C’est un grand abus que de les vendre {les charges} » et bridions qui confirme « Oui, on ferait mieux de I de les vendre {les charges} » et bridions qui confirme « Oui, on ferait mieux de les donner pour rien. » Les comiques de mot montrent la façon de recruter des juges, par l’argent et non par l’expérience.

D’ailleurs, le juge gaussa bridions de par son nom Oison Bridé, et son prénom gaussa; toutes les personnes de l’époque avaient lu les Mémoires de bombarderais et pouvaient faire un approchèrent avec le juge gazon lequel était destitué de ses fonctions par bombarderais. De plus de son nom ridicule, bombarderais dessine le portrait burlesque du juge, on rit du bégaiement « gai-arçon », de son manque d’éloquence « qu’op…. Qu’opposez-vous à cette lecture? » et de son idiotie « Anonyme figera ». bombarderais a ainsi réussi à détourner la censure par le rire.

Les autres personnages de la justice sont également dépeint avec moquerie, l’huissier glapir (comme un renard), Double-Main est un hypocrite. La scène 15 de l’acte il montre une parodie d’un procès, es deux avocats se débattent sur la conjonction de coordination « ou » et la conjonction de subordination. « où Ainsi, les scènes dresse la satire de la justice, le principe de recrutement, l’idiotie des recruteurs et du procès. Enfin, la Scène 3 de l’acte V présente le monologue de figera, il parle un moment de la liberté d’expression. Il s’est établi dans madrier un système de liberté sur la vente des produit liberté d’expression. « AI s’est établi dans madrier un système de liberté sur la vente des productions, qui s’étend même à celles de la presse ; et que, pourvu que je ne parle n mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni dé la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l’Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l’inspection de deux ou trois censeurs. Ce comique de mots, dû à l’énumération et à l’hyperbole, montre un semblant de vérité, c’est un moment de paresse de figera, où bombarderais critique la censure et en échappe. Cependant, il serait impensable de voir une comédie purement comique ou une comédie dont le comique ne servirait qua faire penser. Le Mariage de figera montre ainsi à la fois des comiques pour éviter de tomber dans le registre tragique et des comiques utiles pour masquer la censure et nous faire penser.