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Albert Camus Biographie Albert Camus fait partie des hommes de Lettres qui ont marqué le XXe siècle. Né le 7 novembre 1913. Albert Camus n’a pas connu son père et a passé son enfance avec sa mère en Algérie. Sa santé (tuberculose) ne lui permet pas d’accéder à une carrière universitaire. Après une licence de philosophie, il devient journaliste engagé (parti communiste et Alger-RépubIicain), puis fut résistant.
Dune courte adhésion au parti communiste (1935-1936), Albert Camus retire une méfiance de l’endoctrinement et la certitude que la stratégie politique ne doit jamais prendre le pas sur la morale. En 1943, il re u journal « Combat ». ur or 11 la publication de « L’h Sni* to View refusant la conceptio l’utilisation de la viole 1917 et travaille avec lui uelle durera jusqu’? Albert Camus on qui légitime rversions de 1 789 et Albert Camus élabore une philosophie existentialiste de l’absurde résultant du constat de l’absence de sens à la vie.
La prise de conscience de cette absurdité doit être considérée comme une victoire de la lucidité sur Ienihilisme qui permet de mieux assumer l’existence en vivant dans le réel pour conquérir sa liberté. L’homme peut ainsi dépasser cette absurdité par la révolte contre sa condition et contre l’injustice. Albert Camus met à profit son talent Swipe to nex: page d’écrivain pour diffuser sa philosophie en adaptant la forme au sujet. Leroman symbolique et l’œuvre théâtrale sont utilisés comme moyens d’expression pour les idées et les doutes. La peste » (1947) est récit symbolique du nazisme qul envahit une ville. Albert Camus se tourne vers un humanisme sceptique et lucide pour lequel il convient avant tout d’être juste. Il est prix Nobel de littérature en 1957 et meurt dans un accident de voiture. Quelques œuvre : Révolte dans les Asturies (théâtre, 1 936) La Mort heureuse (roman, 1936-1939) L’Étranger (roman, 1942) Le Mythe de Sisyphe (essai, 1942) La Peste (roman, 1947) L ‘Homme révolté (essai, 1951) L’Eté (essai, 1954) La Chute (roman, 1956) Les Possédés (théâtre, 1959) La liberté guidant le peuple.
Biographie Eugène Delacroix : Dates principales de la vie de Eugène Delacroix 1798 Delacroix naît à Charenton-Saint-Maurice le 26 avril 1806 Décès de son père 1814 A 16 ans, le jeune Eugène Delacroix est orphelin 1822 Premier succès avec Dante et Virgile 182411 expose le massacre se Scio, soutenu par Théophile Gauthier 1825 Il passe trois mois en Angleterre où il étudie Constable 832 Delacroix quitte paris pour le Maroc et l’Algérie 1840 Il participe à la décoration du Palais du Luxembourg pendant 6 ans 1857 Après vingt ans d’attentes, il est élu à l’Institut 1855 Trente-six de ses œuvres sont re raupées à l’Exposition Universelle de Paris PAG » 1 1863 II meurt d’une longue maladie le 13 août Blographie « Peintre français, fils du conventionnel Charles Delacroix, né ? Charenton-Saint-Maurice le 26 avril 1 798, mort le 13 août 1863. Par sa mère, Eugène descendait de Aben, un élève distingué de Boulle, et était allié aux Riesener dont le père a signé tant de hefs-d’œuvres du meuble et le fils Henri des tableaux estimés.
Dès son enfance, Eugène Delacroix ne révéla pas comme tant d’autres des dispositions spéciales et exclusives pour la peinture : après de solides études au lycée Louis-le-Grand, il montra, ce qui est plus interessant, un don général pour liart; c’est la musique qui sembla l’attirer de préférence, et toute sa vie il resta amoureux de cet art, auquel sa violente passion pour la peinture, qui se manifesta bientôt, put seule l’arracher. En 1815 (il avait dix-sept ans), il souhaitait, en faisant de la musique, son étude référée, acquérir quelques notions de peinture, et par son oncle Henri Riesener il se fit présenter à Guérin; mais il inspira peu de sollicitude à son maitre, et les palmarès de l’École des beaux-arts furent sur son nom d’un mutisme peu encourageant. Pourtant une toile, Dames romaines se dépouillant pour la patrie (1 818), offre déjà un certain intérêt. Vers cette époque, il gagnait quelque menu argent à faire des lavis industriels et en 181 g, devenu orphelin, il tomba dans les plus grands embarras pécuniaires.
En 1822, malgré le mauvais vouloir de son ma PAGF30F11 plus grands embarras pécuniaires. En 1822, malgré le mauvais vouloir de son maître Guérin, il envoie au Salon le Dante et Virgile qui y obtient le plus grand succès que puisse désirer un artiste : des admirations enthousiastes et un déchaînement de critiques injustes; succès qui ne l’empêchait pas (y contribuant peut-être, au contraire) d’obtenir cette même année 1822 la dernière place dans le concours pour le prix de Rome, échec peu fait pour le tirer d’une situation toujours embarrasée, à laquelle il résistait avec les profits de caricatures et de lithographies, continuant de travailler avec une énergie roissante.
En 1824 il expose Le Massacre de Scioqui accentue encore la tempête qu’avalt soulevée son premier Salon. Théophile Gautier seul en parle avec une admiration sans réserves, mais Delécluze, H. Beyle, M. Thiers ne ménagent par leurs restrictions • pour l’un il fait trop horrible cette scène d’horreur; pour l’autre, il y a là trop peu de souci du beau; pour celui-ci, enfin, le soin d’éviter l’académique lui fait fuir la ligne simple et harmonieuse. De cette époque datent Le Tasse dans la maison des fous, L’Empereur Justinien composant ses Institutes, Marino Faliero, t enfin les lithographies de Faust qui lui valent de sincères et chauds éloges de Goethe.
Mais, nous voici en 1828, et il nous faut ajouter une forte de plus à ce terrible crescendo qui augmente sans cesse avec l’œuvre d’Eugène Delacroix et qui s’accentue avec l’apparition du Sardanapale exposé c PAGFd0F11 sans cesse avec l’œuvre d’Eugène Delacroix et qui s’accentue avec l’apparition du Sardanapale exposé cette année-là. Quelques échantillons des brocards qui tombèrent dru sur l’artiste égayeront cette biographie : « Eugène Delacroix est devenu la pierre de scandale des expositions. » (M. Vitet) « La ajeure partie du public trouve ce tableau ridicule. » (Moniteur universel) « Que M. Delacroix se rappelle que le goût français est noble et pur et qu’il cultive Racine plutôt que Shakespeare. » (Ibid. ) « L’œil ne peut y débrouiller la confusion des lignes et des couleurs… le Sardanapale est une erreur de peintre. » (Delécluze) Et tutti quanti.
Cependant, cette année-là, après une brouille momentanée avec le directeur des beaux-arts, il est chargé par le ministre de l’intérieur de peindre La Mort de Charles le Téméraire, et le duc Louis-Philippe d’Orléans lui commande Richelieu disant a messe. De la même année La Bataille de Nancy, quelques peintures religieuses et des portraits, entre autres celui de Mme Simon. Au Salon de 1831, L’Évêque de Liège soulève peu de discussions, mais La Liberté guidant le peuple les fait renaitre. Delécluze se rallie un peu, mais Ambroise Tardieu lutte par son acrimonie contre le bon vouloir manifeste de Gustave planche. Quoi qu’il en soit, cette exposition eut un résultat appréciable et tangible Delacroix fut décoré. C’est à ce moment qu’il commence une série de tableaux de combats, entre autres Poitiers, Taillebourg (1 831), qui le font s 1