Rapport de stage ml psychologie du travail

essay A+

L’AMAS est un organisme de formation agréé permettant aux divers professionnels de remplir leurs obligations en matière de santé au travail. Les formations sont les suivantes : – Formation de sauveteur secouriste au travail dans le but d’évaluer et de connaître les risques en entreprise. – Formation Geste et Postures encadré par un masseur kinésithérapeute diplômé. L’objectif est d’acquérir les propose aux entreprises des prestations animées par des intervenant en Prévention des Risques Professionnels (APR.).

Cette équipe pluridisciplinaire intervient pour accompagner les entrepreneurs dans leur démarche d’amélioration des conditions de travail. Les interventions e font au niveau de l’analyse, de la prévention, de la sensibilisation et de l’évaluation des risques au travail. De plus, des conseils en hygiène, sécurité et conditions de travail sont proposés. Enfin, L’AMAS permet aux salariés de bénéficier d’un bilan de santé complet par les spécialistes appropriés. En effet, des examens cardiologues, pulmonaires et de la vue peuvent être soumis à ceux qui le désirent, ainsi qu’un bilan urinaire et sanguin.

AI est possible aussi et surtout d’effectuer un examen clinique approfondi et une synthèse des examens complémentaires paraît use. 2 Historique L’AMAS a inauguré sur le Mont-ribouler un de ses premiers centres médicaux le er Mars 1956. Puis successivement se sont ouvert seize autres centres médicaux entre 1974 et 2003 pour accueillir un nombre croissants d’adhérents. En 1991 est élu le président gabarrier RABANE qui laisse sa place en 2003 à Monsieur français ÉLIMER. En 1981, le centre du normande Il devient le siège de l’association en plus de ses deux cabinets. Structure L’AMAS est, comme il a été dit précédemment, une structure offrant plusieurs services. Pour assurer ses adhérentes et assurait la surveillance d’un effectif de 37 745 salariés. En 2002 ces chiffres sont passés à 35 médecins, 4 104 entreprises et 65 115 salariés. Aujourd’hui, cette structure compte : – Dans le service de formation ainsi que pour les certaines interventions, trois ergonomie, un ingénieur en Hygiène et sécurité ainsi qu’un masseur kinésithérapeute spécialisé forment et accompagnent les salariés.

Cette équipe pluridisciplinaire travaille toujours en collaboration avec les médecins du travail. – Le bilan de santé est assuré par trois médecins spécialisés respectivement en cardiologie, biologie et psychologie. – L’équipe médicale est composée de trente-sept déclin du travail assistés par 24 secrétaires médiales 4 Clients, concurrents et partenaires L’AMAS est une association en appartenait avec bien d’autres entreprises. Ta associations : – La Direction Régionale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle de Haute-normande (DURETÉ) – L ‘Association de Conseil et d’Intervention Sociale du Travail (ACCÈS) – L’Union des Industries et Métiers de la Métallurgie (MI Rouen Dieppe) et l’Union des Industries Chimiques de normande (QUI normande) s’agit de l’association aidées dont 5 700 entreprises et 68 000 salariés y adhèrent.

Cette association est composée de 3 médecins du travail assistés par 23 secrétaires – La Société Médicale et de la Santé du Travail de normande (SENT) – Santé BIT Rouen est composé de 7 médecins du travail assistés respectivement par 8 secrétaires. Mais aussi, une équipe pluridisciplinaire avec 4 intervenant – Le service de santé au travail de l’Union Portuaire de Rouen (U. P. R. ) Il.

Présentation de la mission et du contexte Les consultations systématiques, tout comme les consultations spontanées, ont permis aux médecins du travail de constater que les salariés du centre ville sont touchés par un phénomène de violence. Ce phénomène est encore peu reconnu et pris en charge. L’objectif du projet est d’abord d’améliorer la prise en charge, au niveau de la santé des salariés. Ensuite il est de comprendre le phénomène de la violence sociale dans les commerces par l’étude des processus découlant de cette violence, des stratégies de défense mises en place, mais aussi du point de vue inter et inter individuel.

Ce projet est réalisé et su?vit par une équipe composée de trois membres permanents. Chacun aura une fonction précise : – Le dru R. Qui est interlocuteur, diagnostique le plus complet et précis possible. Pour ce faire, L’AMAS a décidé de collaborer avec alter Conseil, une junior-entreprise de l’échoie Supérieure de Commerce (SECS) de Rouen réalisant des études auprès d’entreprises et d’associations. Les étudiants de l’SECS ont élaboré un questionnaire relatant de la violence état de fait, de ses conséquences sur les ressources humaines mais aussi de la prévention de celle-ci.

Le questionnaire a été administré à 100 responsables (ou second) de magasins du centre ville. Parmi ces responsables, 50 questionnaires ont été passé auprès de responsables du centre commercial Saint-sévère et 50 êtres auprès de responsables du centre ville de Rouen Plusieurs tendances et à différents niveaux en ont été dégagé. D’une part, il convient de signaler que ces problèmes de violence préoccupent plus de la moitié (58 %) des commerçants. En effet, les commerçants renouerais craignent surtout la violence provenant de jeunes en état d’ivresse ou de SUD.

D’autre part, un peu plus de la moitié (51 %) des personnes interrogées ont subit des agressions verbales et/ou physiques récemment. Il en est de même pour les atteintes aux biens tels que les taïgas (très fréquent en centre ville) mais aussi aux vols à l’étalage. Enfin, la violence en terme de risque pour la santé, est plus faiblement perçu à l’intérieur du commerce (moyenne estimée de 3, 01/10) que dans leur environnement immédiat (moyenne estimée de 4, 09/10). Autrement dit, la violence interne est moins perçue comme risqué pour la santé que la violence externe.

D’un point de vue géographique, certaines rues sont apparemment plus préoccupantes que d’autres. Il apparaît apparemment plus préoccupantes que d’autres. AI apparaît que les rues comportant e plus de commerces telles que la rue du Gros Horloge, a rue des carrés, la rue jean D’Arc t la rue du Bac, sont plus affectés par la violence, du fait de leur grande fréquentation. Cependant, aucun quartier n’est épargné, même si ceux-ci sont moins touchés par ce phénomène. Par ailleurs, quelque soit e quartier, cette enquête a mis en avant que certains commerces sont plus atteints par cette violence.

En effet, les commerces d’objets précieux, les pharmacies et la restauration (rapide ou traditionnelle) restent des secteurs d’activité majoreraient atteints par de réels actes en 2005/06. Les commerces d’équipement de la personne sont, quant à eux, touchés par les insultes, es menaces et les manifestations. Dans la même optique, le risque pour la santé perçu par ceux qui s’estiment confrontés à des agressions verbales est identique ou plus important que lorsque es commerçants s’estiment confrontés à des violences plus graves.

Enfin, une partie du questionnaire relatant de la prévention de la violence à permis de montrer qu’il y avait une réelle volonté de la part des commerçants de participer à des réunions de réflexion sur ce sujet ; mais aussi, pour ceux qui le souhaitent, d’élaborer un cahier de suivi des violences subit. L’AMAS a choisit de s’adresser, en particulier, aux mercantis les plus interrogés (la moitié), soit ceux de l’équipement de la personne.

De plus, la notion de violence étant très complexe, l’association à décidé de se cantonner à celle donné par le Bureau International du Travail : « toute action, tout incident ou tout comportement qui International du Travail : « toute action, tout incident ou tout comportement qui s’écarte d’une attitude raisonnable par lesquels une personne est attaquée, menacée, lésée ou blessée, dans le cadre ou du fait du travail. La violence, globalement, est soulignement condamnable. La violence ne produit jamais rien, ne possède en elle aucune source créatrice- la violence est toujours destructrice (ahan Arendt). De plus dans ce projet, il n’est question que de violence « externe », dite sociale. Cette décision a été prise par la hiérarchie et non par les membres du groupe de travail. C’est à partir de ce moment que j’interviens. Dans un premier temps, ma mission a été d’établir des entretiens semé-directifs (cf.. Annexe 1) dans le but d’approfondir, de manière qualitative, les informations que les salariés ont préalablement données. Trois entretiens collectifs ont donc été organisés. Trois ou quatre salariés au maximum se sont ressentes pour débattre de cette problématique.