Rapport de stage

essay A

Remerciements Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont contribué au succès de mon stage et qui m’ont aidé lors de la rédaction de ce rapport. Tout d’abord, j’adresse mes remerciements au directeur général Mr Mustapha MAHER qui m’a permit d’effectuer un stage d’un mois au sein de la société Prim’ Atlas.

Je tiens à remercier vivement toute l’équipe, Mrs Hadj ILLILOU, Chaoui, Hassan, Ahmed, Mme Bouchra et Mlle Kawtar MAHER, pour leurs accueils, I leurs expertises au q leurs soutiens à com les méthodes appliq Enfin, un grand merci or 10 Snipe to View et le partage de es taches et pour es qu’Ils font face et mon encadrante Mme Hanan ROCHDI, pour ses guides et conseils afin de cueillir le maximum d’informations pour profiter d’une bonne formation, et rédiger mes rapports.

COPAG, en jouant le rôle de Vintermédiaire avec leurs clients. Le contenu de mon rapport sera dlvisé en 5 parties pour faciliter la présentation et la compréhension des informations. Ces parties vont contenir une présentation du secteur d’activité de la société, son historique et rôle dans COPAG, une présentation de sa chaine de valeur, et à la fin une problématique qui concerne sa chaine pour conclure une conclusion.

Introduction au secteur d’ PAGF 10 exportations agroalimentaires affichées au cours de ces dernières années témoignent du fort potentiel de développement qui gagnerait à être mieux valorisé à travers une meilleure exploitation des avantages comparatifs indéniables dont bénéficie ce secteur. Avec une superficie globale de 1 1 1. 400 ha en 2012/2013, la filière des agrumes constitue la principale source de revenus pour 13. 000 producteurs d’agrumes. Cette filière permet de procurer, directement ou indirectement, un total de 21 millions de journées de travail par an (soit près de 90. 00 emplois permanents) et des ecettes à l’export s’élevant à plus de 2,9 milliards de dirhams en 2013. Il est à signaler que de la superficie totale plantée en agrumes est équipée en système de micro irrigation. La production annuelle moyenne d’agrumes réalisée au cours des campagnes agricoles 2008-2013, s’est élevée à près de 1,6 million de tonnes, dont plus de 541 milles tonnes destinées à l’exportation (soit près de 34% de la production). Le reste de la production (66%) est destiné à la consommation en frais au niveau du marché intereur et à la transformation.

Particulièrement, la compagne 2013/2014 devrait enregistrer, ous l’impulsion du Plan Maroc Vert, un record de production avec plus de 2,2 millions de tonnes (cf. point : 1. 3. 2. 4. Perspectives de développement de la filière). Enjeux de la chaine de valeur La filière des agrumes présente plusieurs atouts du fait, notamment, qu’elle bénéficie d’incitations importantes ? l’investissement et recèle d’énormes opportunités consistant, en particulier, en l’existence d’accords de libre-échange, de possibilités de diversification du marché, ainsi qu’une pleine expansion du marché do 0 expansion du marché domestique.

Bien que d’importants efforts aient été entrepris dans le sens d’un éveloppement soutenu de la production et des exportations des agrumes dans le cadre du Plan Maroc vert, la filière se heurte, entre autres, au vieillissement des vergers dans certaines régions, au faible niveau d’encadrement des petits et moyens producteurs, à la faible efficience d’utilisation de l’eau d’irrigation, notamment, dans le Gharb, à la raréfaction des ressources en eau particulièrement dans le Souss, ainsi qu’à l’augmentation des coûts des facteurs de production, notamment, l’énergie et les produits phytosanitaires.

En termes de performances à l’export, la filière des agrumes oranges- est handicapée surtout par la forte concurrence internationale (l’Espagne, et actuellement l’Egypte et la Turquie) et l’effet retardé qui sera induit par le rajeunissement des vergers. Par ailleurs, l’organisation de la profession gagnerait à être renforcée davantage en termes de coordination en particulier ? l’export Performances et compétitivité à l’export Le Maroc est classé en deuxième position sur le marché russe des agrumes, avec 15,3% des importations globales de la Russie en 201 2, derrière la Turquie qui détient 24% de ce marché.

Par ailleurs, l’Egypte a renforcé sa présence sur ce marché et sa part a rogressé de 1,3% en 2002 à 11 % en 2012. L’Égypte bénéficie de coûts de production avantageux et de subventions étatiques pour la logistique. Malgré le trend haussier d 0 n, les exportations valeur (effet prix incitatif notamment sur les oranges). Néanmoins, la part de marché marocaine, notamment, sur les oranges est en baisse sur les marchés traditionnels, notamment l’Union européenne.

De plus, les contingents exonérés sur le marché de l’UE, dans le cadre de l’accord agricole Maroc/UE, ne sont utilisés qu’à de très faibles niveaux : 44,3% pour la clémentine et à peine pour les oranges (2010-2012). II est à noter que le Maroc est fortement spécialisé dans la production des agrumes, comme le montre le niveau élevé de l’avantage comparatif de ces produits qui représentent 2,5% des exportations globales du Maroc. Par ailleurs, la montée en puissance des pays comme ‘Egypte et la Turquie expliquent leur avantage comparatif également élevé.

En effet, la part des agrumes dans les exportations globales de l’Egypte et de la Turquie est de 2% et 1% respectivement. Perspectives de développement de la filière Le développement de la filière des agrumes est un des principaux objectifs du Plan Maroc Vert. Dans ce cadre, il est révu l’augmentation de la production d’agrumes à millions de tonnes et des exportations à 1,3 million de tonnes à Vhorizon 2020, ce qui permettrait un apport en devises de 8 milliards de dirhams/an. Pour cela, il est prévu raugmentation des superficies à 115. 00 ha avec une concentration sur 5 bassins à vocation agrumicole (Souss, Haouz, Gharb, L’Oriental, Tadla) et éventuellement une extension sur Dakhla. Aussi, il est prévu la généralisation de l’utilisation des techniques d’irrigation moderne, le renouvellement des vergers vieillissants, ainsi que l’augmentation massive des volumes traités ar les stations de conditionnement. Contraintes du secteur PAGF s 0 conditionnement. Le secteur des exportations devrait devenir le pivot de l’agriculture marocaine dans les prochaines années.

Cependant, la réalisation de cet objectif est tributaire de la mise en place de mesures d’accompagnement pour lever les contraintes qui pèsent sur le secteur. Les principales contraintes sont de plusieurs ordres. I – Au niveau de la production L’endettement des producteurs constitue un handicap du développement des exportations concernées, la procédure d’octroi et de renouvellement des crédits d’investissement n’encourage pas l’extension et la modernisation des outils de roduction.

A noter que les coûts des intrants (semence, engrais, est élevé par rapport a ceux des concurrents. En plus de l’absence du contrôle efficace et rigoureux. Il Au niveau du conditionnement : Malgré les efforts mises en œuvre par les cadres professionnels pour optimiser et ameliorer l’outil de conditionnement, tant qu’a la capacité de traitement des stations, ‘hygiène, formation de personnel, équipement en matière d’entreposage frigorifique etc. l reste encore peu performant par rapport à celui des concurrents. Les tonnages traités par certaines stations sont limités, le atériel utilisé est vétuste dans certaines stations, sans oublier que le suivi des différents traitements hytosanitaires appliqués pré et post récolte sont li es stations disposant d’un Aucune normalisation des fruits et légumes commercialisés au niveau de ces marchés, n’est effectuée. – Marché extérieur : Les restrictions calendriers tarifaires et de contingentements auxquelles sont soumises les exportations marocaines sur l’Union Européenne, notamment pour la tomate. Et les avantages accordés à l’Espagne depuis son entrée dans l’UE ne permettent pas à nos producteurs d’être compétitifs vis-à-vis du producteur spagnol. La non adaptation de la commerciallsatlon aux circuits modernes de distribution, ce qui ne permet pas de tirer profit des possibilités offertes par le marché.

La faible diversification des cultures destinées a à l’exportation (La Tomate représente à 75% des exportations des primeurs et la clémentine plus de des exportations des agrumes) rend le secteur fragile et ne permet pas une meilleure valorisation des productions. IV – Au niveau de formation recherche-développement : La coordination reste insuffisante entre les organismes de formation, de recherche et de développement. Cette carence se ait sentir au niveau de Pinadéquation de la formation actuelle.

Ainsi que des programmes de recherche et de développement agricoles aux besoins de la profession. Par ailleurs, la recherche appliquée est censée apporter des solutions aux problèmes des raducteurs. Ainsi que l’encadrement technique s est insuffisant. 7 0 camions (perte de temps détérioration de la qualité des marchandises). Le transfert par camion frigo reste le moyen le plus efficace, en contre partie il est encore coûteux.

DEUXIEME PARTIE Prim’AtIas presentation, historique Après la refont de l’OCE et la libéralisation des exportations ans les années 80, la coopérative agricole COPAC a été fondée en 1987 par la mise en place de sa première station de conditionnement afin de mieux valoriser les productions d’agrumes et primeurs de création : Capital : Activité • 1996 400 000 Dh Exportation et commercialisation des produits Agricoles(Agrumes, Primeurs) Marrques/Représentation : Roudana, Manar, Faras Jaouda, Etoile, Razi, Saada, Azro, Madak Zone d’exportations : Amérique du Nord, Europe, Moyen Orient, Pays de l’Est, Scandinavie, USA.

Directeur Général : E-mail : C. N. S. S : Registre de commerce : Mr MAHER Mustapha 05-28-82-67-90/91 ,’92 primatlas@menara. a 243681 5 5663 domaine administratif (fax, lettres etc. ). d) – Service technique . Il a pour rôle d’assurer le contact entre la société et les stations. Il indique les quantités, les marques et les variétés qui doivent être conditionnées.

Autrement dit, il joue le rôle de pilote pour mieux orienter la production des stations en fonction des exigences des consommateurs des pays étrangers, cette mission se fait également avec la collaboration des commissionnaires. e) – Service commercial : Le service commercial assure plusieurs tache de suivis et de vérification, comme la gestion des comptes de ventes, le suivi es affectations des clients, des déclarations de ventes et ses vérifications, la liquidation au niveau de l’office de change et le contrôle des frais (Acheminements, transit, commissions etc). ) – Service matière et liquidation Ce service s’occupe de la gestlon des dossiers de factures et leurs coté financier, assurer la liquidation des entrées après avoir définit les nets. g) – Service comptabilité : Toute entreprise immatriculée au registre du commerce et des sociétés (RCS), soumise à un ré ime réel d’imposition, doit tenir une comptabilité normale en respectant les règles