Rabelais

Si l’on ne peut nier que gardant de rebellais est une ouvre humanisme servant à instruire le lecteur, on peut tout de même ‘interroger sur son comique qui aurait « la transparence d’un apologue » et se demander qu’elle est le but premier rêche si e toi vie nixe a e rebellais premier boy christ fibre 20, 2009 | 13 pages swaps toi vie nixe page recherché par rebellais dans l’écriture de gardant. La perspective de baudrier,dans cette citation,renvoie dire qu’au milieu, du ridicule et du propre a exciter le rire, qui peut se définir par le grotesque.

Il y a tout de même une morale à retenir ou un message que rebellais veut faire passer dans gardant. Tout d’abord, malgré qu’il reste quand même fidèle aux idéaux du Moyen Âge. On le voit bien par exemple dans le Chapitre 23 de gardant où l’on trouve dans le programme éducatif de ponceras , l’importance de la pratique physique tel que le pratiquaient les chevaliers du Moyen Âge. gardant est une satire humaniste. rebellais y critique le Moyen âge et son éducation.

AI est persuadé, comme les autres humanistes, que l’enseignement traditionnel que dispensaient les théologiens de la sermonne est responsable des vices de pensée des esprits des son temps. rebellais y critique le savoir quantitatif, avec le personnage de tabla oléfine, premier précepteur de gardant, qui est une caricature servant à ridiculiser les méthodes inadaptées. Les méthodes de tabla oléfine consistent à faire lire un nombre très très important de manuel d’une utilité douteuse et d’auteur inconnu. On voit cela dans le chapitre SI « Puis lu élut le donna, le face, le dételons et élans ni paraboles… Tous ces livres sont inconnu aujourd’hui. On peux aussi voir dans ce même chapitre que la durée d’apprentissage est aujourd’hui. On peux aussi voir dans ce même chapitre que la durée d’apprentissage est très longue, cela n’avance pas. On peux voir qu’il a mis cinq ans et trois mois pour savoir citer l’alphabet. Mais le plus grave est que tout ce que gardant apprend lentement qui plus est ne lui sert rien. Tous ce que lui apprend tabla oléfine ou encore jouable Bridé,successeur du premier, n’est d’aucune utilité dans la vie.

A quoi sert d’apprendre quelque chose qui ne sert à rien? A quoi sert d’apprendre l’alphabet à l’envers ou encore de réciter des livres? Tout ce que lui apprennent ces deux maîtres ne sont d’aucune utilité pour sa vie de tous les jours. Ce chapitre SI est tout ce que critique rebellais dans l’éducation médiévale et celui s’oppose au chapitre EX. Le chapitre EX montrent comment rebellais conçoit l’éducation. Cette satire de l’éducation médiévale est surtout destinée a prôner l’éducation humaniste. L’autre grande satire est qui évoquer dans gardant est celle de l’église.

On a vu précédemment qu’il s’attaquait l’éducation médiévale, mais il s’attaque aussi aux théologiens qu’ils l’enseignent donc à l’église. AI se moque aussi du discours de jambons de brocards que celui tient pour qu’on lui rendre les cloches de Notre Dame. jambons de brocards, qui est aussi un théologien, est d’abord décrit d’une manière péjorative au chapitre SUIVI. « maoïste jambons, tondu à la césarienne, et veste de son lirions thé péjorative au chapitre SUIVI. « maoïste jambons, tondu à la césarienne, et veste de son lirions théologie, et bien antidote l’estomacs de accoudions de four… Cette description faite en une seule phrase tient sur six lignes, cela montre ‘importance de la moquerie qui la envers lui. En plus de cette description péjorative, le chapitre suivant où jambons de brocards est censé tenir une bonne argumentation pour qu’on lui rende les cloches est tout sauf claire. Celle-ci est d’ailleurs marqué par de nombreuses interjections comme « née, henné, henné ! Ces ôtes sont répété plusieurs fois dans son discours, et ils sont aussi les premiers mots qui le prononcent,ce qui ne revalorise par l’image des théologiens. rebellais critique aussi les institutions religieuses et les croyances.

Par exemple au chapitre SÈVE, quand les moines de seuil prient pour le sauvetage de l’enclos de l’abbaye du saccage des ennemis « les pauvres diables de moyens ne scandaient auquel de leur saints se vouer. » rebellais rappelle sans cesse le caractère machinale de ces prières. rebellais se moquent aussi des moines, pour lui ils sont inutiles et bêtes comme on peut le voir dans ce même chapitre quand réer Jean demande aux moines si y savent comment égorger ceux qui sont resté aux sols. « esclaves vous de quel ferments? Pour finir on peut aussi voir que rebellais dénonce la guerre.

La guerre tient une place centrale dans gardant bisexuelle oc que rebellais dénonce la guerre. La guerre tient une place centrale dans gardant bisexuelle occupe vingt six chapitres soit environ la moitié du livre. rebellais nous montre à travers le personnage de grandiose sa conception humaniste de la guerre. Il utilise le même procédé qu’il a utilisé pour l’éducation,il oppose a façon de aire de piocherez, qui est de faire la guerre dans le seul but de conquérir des territoires et de dominer à celle de grandioses, qui lui ne rentre en guerre qu’en dernier recours car il n’ pas d’autre choix pour se défendre.

Bien que la vision de rebellais soit fondé sur un principe fondamentalement pacifique comme on peut le voir a travers grandiose. Par exemple au chapitre EX où grossière fit rendre les effacées volé a piocherez en ajoutant de l’argent et d’autre bien pour obtenir la paix. « pus qu’il n’est question que de quelques effacées, je essayeras le contenter, car il me désolait par trop de lever urée ». grandiose semble bien mettre en mettre en pratique les préceptes pacifiques d’rasée selon lesquels « il n’ a pas de paix, même injuste, qui ne soit préférable la plus juste des guerres ».

Pourtant grossière est obliger de se livrer à la guerre,et cela montre que tout n’est pas aussi simple que cela et que l’on est parfois obligé de faire la guerre dans le simple but de faire revenir la paix. Pour résumer rebellais ne préconise la guerre que si celle-ci est fia de faire revenir la paix. Pour résumer rebellais ne préconise la guerre que si celle-ci est faite pour se défendre. Nous avons certes vu,dans cette première partie, qu’il y avait des enseignements moraux dans gardant de rebellais. Mais est-ce que ces enseignements moraux sont aussi facile à comprendre que ça?

Ont-ils « la transparence d’un apologue »? Comme le dit baudrier. Nous allons voir dans cette deuxième partie, que ces messages que veut faire passer rebellais sont plutôt difficile à comprendre. Dans un premier temps, la chose qui nous frappe toute de suite en ouvrant le livre est la langue utilisé par rebellais. A l’époque de rebellais, la langue française en est encore a ses débuts. Au Moyen Âge, le latin était la langue éducative t intellectuelle. La langue française n’ pas encore d’existence officielle : chaque citoyen français parle le dialecte de sa région (le provençal, le bourguignon, le normand,… . La langue de rebellais est donc du moyen français mélangé avec du latin et le dialecte de sa région,qui est le tournage. A son époque comme aujourd’hui ses ouvres sont difficiles à lire. Aujourd’hui plus aucun auteur ne peut se permettre de mélanger trois langues dans un roman comme le faisait rebellais ou encore montagne. Par exemple, prenons les deux premières phrases du chapitre AI « i. Une le grand dompteur des cambrés sans par l’are, de peur dompteur des cambrés -sans par l’are, de peur de la rousse, » Comment peut-on comprendre les premiers mots de ces phrases? On ne peut pas.

Même dans les traductions en français moderne, ces débuts de phrase ne sont pas bien traduit. Par exemple dans l’édition POCHÉE CLASSIQUES collection créée par clause AXIEZ, la traductrice, Marie- madeleine FRAGON traduit ces deux phrases de la manière suivante: « a-? : Une < voici venu? > le grand dompteur des cambrés v « sans par l’air, de peur de la rosée. » La traduction est limite plus incompréhensible que la version original de rebellais. Dans un deuxième temps, rebellais utilise aussi du vocabulaire technique qui n’aide pas non plus à la plus claire transparence.

rebellais utilise beaucoup de termes techniques concernant les divers métiers qu’il a exercé comme la médecine. Comme par exemple au chapitre SÈVE, quand rabais décrit ce que fait Frère jean aux ennemis « Es uns scribouillard la cervelle, es lettres rompt bras et jambes, es lettres desséchons les spontanés du coule… » Les « spontanés du coule » sont les vertèbres du cou. On y trouve aussi des termes techniques en matière de religion, de droit et d’éducation. Exemple pour l’éducation, au paître SI, oléfine lui apprend des citations latines comme « de midis significatif non errata scientiste ».

Tous ces jargons ne sont pas toujours facile à comprendre significatif non errata scientiste Tous ces jargons ne sont pas toujours facile à comprendre. Cette citation grec vu précédemment ne veut rien dire de très intelligent,celle-ci est uniquement présente pour se moquer du théologien,qui bien que celui-ci apprend le latin gardant ,celle-ci n’ aucune utilité. Un lecteur n’ayant aucune notion de latin ou n’ayant pas de version traduite ne peut pas comprendre cette satire envers le théologien t ses manières d’éducations. En plus de nous étourdir par des termes techniques, rebellais invente de nouveaux mots.

Par exemple à travers ces personnages, piocherez est un prénom inventé qui signifie en grec « bile amer », faisant par là référence à la malveillance du personnage. Ou encore en inventant des noms de livre comme c’est le cas dans le prologue de gardant avec la Dignité des Braguettes. Ce livre est bien entendu ‘imaginaire, il n’existe pas. Dans un troisième et dernier temps, on peut contester que le « comique a presque toujours la transparence d’un apologue » car il y’ a certaines contradictions dans les résonnait. Par exemple dans le personnage de grandiose où coexistent l’agressivité et le pacifisme.

Comme nous l’avons vu dans notre première partie grandiose fait tout pour éviter le plus longtemps possible la guerre même au risque de perdre sa dignité mais il n’empêche que celui-ci félicite Frère Jean pour son énergie meurtrière. Mais cela n’empêche pas t que celui-ci félicite Frère Jean pour son énergie meurtrière. Mais cela n’empêche pas tout de suite après grossière de rappeler à découleront que « cesse mi?dation des anciens Hercules, lézardées, inhabile, sciions, cesser t lettres télé, est contraire à la profession de l’évangile… Autre exemple alcoolisés qui défend les principes évangélistes et humanistes se réjouit avec Frère Jean du massacre des ennemis. Tout cela ne favorise pas la compréhension de la lecture. Chaque lecteur peut avoir sa vision des choses. Un lecteur ne peut voir qu’un aspect de la vision des choses, il peut voir en alcoolisés qu’une personne qui défend les principes évangélistes et humanistes ou alors que l’inverse,quand il se réjouit du massacre des ennemis avec Frère Jean. Un autre lecteur peut abandonner la lecture en se disant qu’il y a trop ‘ambiguïtés.