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Il) Les effets physiologiques de la musique sur le corps B)lnterprétation du corps Sans nos émotions, la vie serait  » un long fleuve tranquille ». En effet, nos émotlons permettent une constante adaption à la siutation dans laquelle nous nous trouvons. Par exemple, en situtation de stress, de l’adrénaline va être envoyer dans le sang, et nous nous sentirons immédiatement beaucoup plus réactif ? quelconque menace qui nous affecte. On sait désormais que les structures du cerveau les plus impliquées dans les émotions se situent dans le système limbique, lové au cen zones cérébrales son ga or 7 Sni* to View

Dans le cas de la mu plutôt l’appaisement, e, mais que d’autres cherché serait le plaisir. Ne sachant quelle type musique tait utilis , nous avons décidé de faire des expériences surccessives sur différents type de musique, sur différents cobaye, pour observer les différentes interprétations du corps Comme première expérience, nous avons décidé d’enregistrer le rythme canaque ainsi que le débit respiratoire d’une patiente. Les mesures du rythme cardiaque ont été faite à l’aide d’un électrocardiogramme, et du logiciel Exao. 1 er étape de l’expérience. (témoin respiratoire et cardiaque)

On note 16 cycles r Swlpe to vlew next page respiratoires par minutes d’où une fréquence respiratoire de 16 mvt/min. En moyenne, un cycle du sujet correspond à 1 litre d’air inspiré. Étant donné que nous avons 16 mvt/min, alors nous avons 1 61itres/min d’air inspiré. EXPERIENCE TÉMOINS CARDIAQUE 2e étape de l’experience. L’expérience est faite avec une musique calme, douce. Le sujet a choisi cette musique et l’aime beaucoup. Nous mettons la musique à partir de la 20 e seconde. En moyenne le sujet est à 55 bmp avec la musique douce, tandis qu’avant qu’elle commence, il était à 62,5.

On constate que la fréquence cardiaque du sujet est plus faible avec la musique douce qu’auparavant. Nous obsepu’ons aussi un pic dans son Mthme lié à un moment fatidique, d’écrit par un passage beaucoup apprécié du sujet, qui augmente sa moyenne à 116 bpm. La fréquence respiratoire diminue fortement : de 18 mvt/min , le sujet passe à 12 mvt/min. Ainsi, son débit respiratoire suit le même mouvement décroissant. En effet, de 1 litre inspiré par cycle, le sujet passe à 0,5 litre inspiré. 3e expérience. L’expérience est faite avec une musique rapide, rythmé.

Juliette choisi cette musique et l’aime beaucoup. Nous mettons la musique à partir de la 17 e seconde. Au début de l’expérience, un pic du rythme cardiaque est expliqué par un rire provoqué par Quentin . On notera ensuite que le rythme du sujet, reste assez régulier et constant, PAG » rif 7 provoqué par Quentin. et constant, tout au long des expériences. Au début de l’expérience (sans musique) nous avons une moyenne de la fréquence cardiaque à 65 bpm. La chanson commençant à 20 secondes, le Mthme cardiaque du sujet s’élève alors à 75 bpm de moyenne, avec une légère hausse à la fin.

Sa fréquence cardiaque ugmente donc à l’écoute d’une musique dynamique. Le débit respiratoire passe de 0,5 à 0,2 1/mvt. La fréquence respiratoire passe de 18 mvt/min à 12 mvt/min. Ainsi le débit respiratoire du sujet comme sa fréquence baisse lors de l’écoute de musique dynamique. 4e expérience . L’expérience est faite avec une musique « métalle » hard-rock. Juliette n’a pas choisi la musique, ne la connait pas et ne l’aime certainement pas ( elle n’aime pas le métalle). Nous mettons la musique à partir de la 25e seconde. Le débit respiratoire passe de à puis à 1 LIS.

La fréquence respiratoire passe de 24 mvt/min. Ainsi le débit comme la fréquence respiratoire augmente avec une musique désagréable. Le sujet nous explique qu’elle s’est sentie agresser par cette musique. Se expérience. L’expérience est faite avec une musique que Juliette affectionne particulierement car elle lui rappelle un souvenir « émotionelle fort » Nous mettons la musique à partir de la 20 seconde. Le volume d’air inspiré passe de 0,5 PAGF3C,F7 Le volume d’air inspiré passe de 0,5 litre/cycle, à 0,2 et sa fréquence respiratoire augmente de 20 mvt/min, à 36 mvt/min.

L’expérience est faite avec une musique que le sujet affectionne articulièrement car elle lui rappelle un souvenir « émotionelle fort ». Sa fréquence respiratoire devient alors saccadé, montrant ? un chagement significatif dans le comportement du sujet. Nous avons décidé ensuite de faire courir des cobaye. sur une même distance. Nous avons d’abord pensé à faire courir les patients sur une distance de 300 mètres, et au vue des résultats peu significatifs, Quentin a sugéré que la musique serait plus efficace dans un moment de difficulté, donc sur une longue distance. Il a donc couru 4 fois sur une distance de 10 km.

La première fois ans musique, il a fais un temps de 49 minutes et 52 secondes soit une vitesse moyennede 12,0 km/H. La deuxième fois avec une musique dite « rapide », il a fais un temps de 40 minutes et 17 secondes soit une vitesse moyenne de 14,9 km/H. La troisième fois, il a recouru sans musique et nous remarquons qu’il fait pratiquement le même temps à 18 secondes près soit 49 minutes et 34 secondes. Nous pouvons déjà conclure que Quentin est régulier dans son rythme. La dernière fois, il a couru avec une musique dite douce en 44 minutrs et 7 secondes, soit une vitesse moyenne de 13,7 km/h. En concl