Question De La L Gitimit Plut T Que De La Possibilit
Question de la légitimité plutôt que de la possibilité. Le droit est la faculté, légalement ou réglementairement reconnue à quelqu’un par une autorité publique, d’agir de telle ou telle façon, de jouir de tel ou tel avantage. Peut-on se servir de ranimal totalement ou bien faut-il limiter cette utilisation ? Autrement dit peut on considéré comme une chose ? Si l’on n’as pas le droit de traiter l’animal comme une chose, faut-il le traiter comme une personne ?
Dans le texte de Descartes, Lettre au Marquis de Newcastle, Dans cette lettre, De rs de la pensée en le di qui ne seraient qued réact Pour Descartes, la ca de penser. Ainsi, le fa comme l’expression ents non signifiants rp dice de la capacité ue moi-même sont capables de parler comme mai me donne de bonnes raisons de croire qu’ils sont des êtres pensants comme moi. Descartes exclut des comportements signifiants (donc du langage au sens propre) la communication animale. Descartes veut alors nous faire part que l’animal peut exprimer des émotions mais aucune pensée car il n’en a pas.
Il n’est qu’une machine privée de langage. Dans le texte de Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs, Dans ce texte, Kant part d’une représentation de la conscience comme tribunal intérieur, qui bien que banale, est paradoxale car si le juge est l’accusé, le jugement ren page rendu ne peut être qu’injuste et le juge apparaîtra dans toute sa faiblesse. C’est pourquoi Kant affirme d’abord que la conscience est une puissance et insiste sur le caractère universel et nécessaire de la conscience, la permanence de sa présence en nous et le fait qu’elle est indestructible, même lorsque nos actes la nient.
La conscience est l’expression d’une voix que nous ne pouvons tirer que de nous même et qui pourtant nous dépasse. Donc selon Kant, L’homme est une personne car il doué de raison et libre. L’animal n’est qu’une chose car il est privé de raison et déterminé par ses instincts. On doit donc traiter l’animal comme une chose et ne peut posséder de droit. L’animal n’est t’il qu’une chose, s’il a des émotions ? Selon Bentham, Introduction aux principes de morale et législation « La question n’est pas peuvent-ils raisonner ni même peuvent t’il parler ? Mais : peuvent-ils souffrir ? ?? D’après cette citation nous pouvons dire qu’alors l’animal n’est qu’un être sensible, qui peut donc ressentir de la douleur. Il ne faut donc pas le traiter comme une chose et donc peut posséder des droits. léglslation « Il y a une très bonne raison pour laquelle il devrait nous être permis de les manger autant qu’il nous plaît : nous nous en trouvons mieux, et ils ne s’en trouvent jamais pire. Ils n’ont aucune de ces très longues anticipations de misère future que nous avons et ils ne s’en trouvent jamais pire d’être morts. » D’après cette citation, les animau