Puis je penser ce que je veux
Tout d’abord nous verrons que la liberté de penser est l’essence même de la liberté, qu’elle est un droit naturel et reconnu par tous les hommes puisqu’ savent bien qu’il est ?impossible pour quiconque de pénétrer dans leur conscience, puis nous envisagerons le fait que notre volonté puisse être influencée par la société dans laquelle nous vivons et que de ce fait nous ne nous rendons parfois même pas compte que nous ne pensons pas selon notre propre volonté, enfin, nous aborderons le thème des limites de la pensée libre et volontaire au niveau du schisme, c’est à dire dans le for intérieur même du sujet pensant.
Puis je penser ce que je veux ? La question formulée renvoie à la compréhension des verbes vouloir et penser. Le vouloir se définit comme une prise de décision individuelle menant (parfois) à I ‘action. La pensée est réflexion, méditation conduisant à une estimation, un jugement ou une croyance. Notons à ce stade que le jugement est bien la capacité déterminer une généralité à partir de particularités : la pensée se nourrit donc d’exemples pris dans le concret ou l’imaginaire.
Puis je ? Ose une autre question puisqu’ peut indiquer soit une possibilité physique , être en capacité de penser le vouloir ou représenter la liberté des interactions entre ces termes. Au eu premier boy gratta I paon 04, 2009 3 pages est impossible pour quiconque de pénétrer dans leur Puis je ? Pose une autre queues?on puisqu’ peut indiquer La question os swaps toi vie nées page soulève plusieurs interrogations : le vouloir peut il être autonome de la pensée ? ‘instinct de ‘espèce ou le ça freinée primeraient ils sur une pensée structurée. Cette hypothèse déterministe semble contestable car la années nous paraît structurant de la volonté (précédant I ‘action) bien que le contexte social, culturel et économique rende cette pensée non autonome intégralement donc avec un espace de liberté restreint.
Le vouloir pourrait être maître de lui même, s’il est directement crée par la ça freinée ( le coté inconscient de notre âme ) ou alors s’il était contenu dans les gênes de notre espèce. Comme le vouloir régit a pensée, nous aurions donc tous les mêmes pensées car le vouloir serait commun. Nous pourrions donc dire que rien ne nous différencie les uns des autres et les créations ou innovations génétiques ou matériels ne sont que le fruit du hasard ou d’un vouloir plus important selon notre émotion du moment.
Les classes politiques n’aurait point de valeur et les divergences d’opinion ayant créer des guerres n’auraient pas eu lieu. La pensée, est le résultat de l’action de penser.