Proliferation nucleaire

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Les essais nucléaires de l’Inde et du pactisant, en mai 1998, ont fait brutalement entrer ces deux pays dans le « club nucléaire ». Ils s’étaient pourtant engagés à signer le Traité d’interdiction des essais nucléaires (OCT.) mais leurs évolutions politiques respectives les ont éloignés de ces objectifs. L’arme nucléaire se trouve désormais entre les mains d’une dictature militaire au pactisant, pays dont des segments entiers de la société sont proches des islamiques radicaux.

En Inde, le parti nationaliste hindou (OBJET), qui se réclame d’un nationalisme radical, si ce n’est xénophobe, dirige le gouvernement depuis mars 1998. Face aux nombreuses difficultés intérieures, le OBJET a mis l’accent sur une politique de puissance et sur des enjeux de politique étrangère. Se considérant comme mal traitée sur la scène internationale, surtout face aux menaces d’encerclement par le pactisant et la chiné (qui, selon les Indiens, déploierait des missiles au débite), l’Inde a décidé de relancer la course aux armements.

L’Inde et le pactisant ont par ailleurs montré leur refus de renoncer aux expérimentations. En définitive, pour l’aise (qui représente le tiers de l’humanité), si l’on ajoute le fait que la chiné continue d’accroître ses capacités nucléaires et balistiques, on peut noter le choix de l’arme nucléaire comme instrument d’affirmation, ce qui montre que eut noter le choix de l’arme nucléaire comme instrument d’affirmation, ce qui montre que tous les pays ne partagent pas les idées occidentales sur le moindre rôle du nucléaire après la guerre froide.

Source : DÉNI, « La dissuasion nucléaire est-elle encore nécessaire dans le contexte gastronomique actuel ? « , rapport du Comité 6, Emme session nationale, décembre 1999. Haut de page La prolifération des vecteurs Le développement des capacités d’emporter loin et en grand nombre des charges nucléaires, biologiques ou chimiques renforce évidemment les menaces qui pèsent sur la sécurité internationale. A cet égard, on assiste à une véritable course entre pays proliférant pour accroître la portée de leurs vecteurs balistiques, jusqu’ atteindre les territoires américain ou européen.

Testé en avril 1998, le missile pactisais augura (portée estimée de 1 500 km) mettait fin à la supériorité indienne constituée par la profondeur stratégique de son territoire et provoquait les essais nucléaires indiens cinq semaines plus tard. La même année, l’airain testait son missile sabra 3 tandis que la corde du Nord testait son missile de moyenne portée étapes-don 1 au-dessus du jupon provoquant une véritable panique.

En 1999, c’était au tour de l’Inde de procéder à des essais avec le missile gang 2, d’une portée de plus de 2 000 km et donc capable d’atteindre tout le territoire du pactisant et une grande partie de la chiné. Au cours de l’été 1 999, les spécialistes s’attendaient à un essai grande partie de la chiné. Au cours de l’été 1 999, les spécialistes s’attendaient à un essai imminent d’un nouveau missile corne, le étapes-don-2 d’une portée de 4 000 à 6 000 km lui permettant d’atteindre haie et l’lassa, ainsi qua un essai du missile ranimé sabra 4 d’une portée d’au moins 2 000 km.

Les mêmes sources faisaient état de la préparation par les ariens d’un engin de 4 km de portée capable de toucher la majeure partie de l’européen. La menace de prolifération balistique, mal estimée par les services de renseignement, est en fait démultipliée par les connexions entre les « rogue statues », les « États voyous ». La corde du Nord s’affirme ainsi comme le plus grand prolifération en vendant secrets, missiles et composants qui lui fournira les devises qu’elle ne peut obtenir autrement. Les missiles pactisais et ariens sont ainsi directement issus du étapes-don corne.

l’airain s’est aussi fait aider par la chiné et la réussie pour développer ses propres capacités grâce à des transferts de technologie ; la chiné a aussi contribué au programme pactisais tandis que la réussie aidait l’Inde et la corde du Nord. Aujourd’hui, la plupart de ces pays, qui maîtrisent les technologies balistiques, échappent au régime de lutte contre la prolifération balistique puisqu’ ne sont pas membres du MATCH (Missile technologie contrôle régime) qui limite, par des règles de bonne conduite, la capacité et la portée des vecteurs que ses membres peuvent exporter.

Cette prolifération balai opacité et la portée des vecteurs que ses membres peuvent exporter. Cette prolifération balistique, jointe aux développements des armes de destruction massive, a eu pour conséquence d’élever le risque de menace pesant sur la sécurité internationale mas elle a aussi enclenché un cercle vicieux fort dangereux en conduisant à une intensification des programmes de défense intérimaires américains qui, à leur tour, appellent à un nouveau développement de la prolifération. Nécessaire dans le contexte gastronomique actuel ? Énergie nucléaire et risque de prolifération Existe-t-il un risque de détournement de matières et de océanologie civiles à des fins militaires. Ce n’est pas la voie qui fut majoritaires empruntée par les actuelles puissances nucléaires : les Cinq reconnus par le Traité de non-prolifération (TON) plus l’Inde et le pactisant, puissances nucléaires de facto depuis ours essais de mai 1998 et enfin israélien qui n’ jamais ni reconnu, ni infirmé quoi que ce soit, mais qui est crédité d’un potentiel important.

En effet, israélien n’ même pas développé de secteur civil, les cinq Grands ont mené de concert leurs recherches fondamentales et ce n’est qu’une fois l’arme obtenue que le civil et le militaire se sont séparés. Seule l’explosion indienne de 1974 réalisée avec du plutonium produit par un réacteur CANDIR d’origine canadienne est vie un réacteur CANDIR d’origine canadienne est venue porter un terme à l’euphorie qui régnait alors et semblait promettre à l’électronicienne un avenir radieux.

La prise de conscience des risques de prolifération de l’arme atome que l’emporta sur les gains économiques que l’on pouvait attendre des ventes de réacteurs et les États-Unis se firent les champions de ce qui devint rapidement une croisade américaine. La politique de non-prolifération engrangea de nombreux succès dans les années 990-1995, devenant de plus en plus objet de consensus. De fait, rares sont aujourd’hui es pays qui n’ont pas adhéré au TON comme israélien, l’Inde et le pactisant.

Mais cet unanimes n’est-il pas partiellement de façade ? Après tout, l’adhésion en 1969 au TON n’ pas empêché l’arc d’être en 1 990 tout prêt de fabriquer l’arme nucléaire et seules la guerre du Golfe et les inspections de l’MOUSSON et de l’aléa qui s’ensuivirent – mais qui sont aujourd’hui (octobre 1 999) suspendues – y mirent un terme. Le même raisonnement peut s’appliquer à l’airain qui s’est lancé dans la quête nucléaire depuis l’époque du shah jusqu’ ouvertement actuel.

Dans cette perspective, les essais nucléaires indiens et pactisais de mai 1998 peuvent avoir un effet d’entraînement sur des pays qui ont une parfaite maîtrise de la technologie civile et un niveau scientifique et technique qui leur permettraient en quelques mois de se doter d’une arme nucléaire : la corde du S qui leur permettraient – en quelques mois – de se doter d’une arme nucléaire : la corde du Sud – défiée par une corde du Nord qui ne se pré pas à l’accord de 1994 sur le gel de son programme nucléaire tannin toujours revendiquée par une chiné continentale de plus en plus cuisse d’affirmer sa puissance ou enfin le jupon qui a toujours laissé l’option nucléaire militaire ouverte, seraient des candidats crédibles pour un tel retournement, si de profonds changements géopolitique intervenaient dans la région. Le régime de non-prolifération s’est adapté au défi que lui a lancé le programme clandestin racine en affinant les contrôles effectués par l’aléa. Mais il se heurte à deux problèmes : le retraitement des combustibles qui permet la récupération de l’uranium et du plutonium réutilisables en tant que combustible et l’accumulation des matières fissiles e qualité militaire qui n’ont pas encore trouvé leur utilisation dans les réacteurs civils. Source : Marie-hèlent L abbé, Le nucléaire à la croisée des chemins, Les Études de la Documentation française, 1999. Existe-t-il une réelle menace de prolifération nucléaire ?

Plusieurs éléments montrent que l’européen, et la France en particulier, n’ont guère de raisons de se sentir menacées directement par la prolifération des armes de destruction massive. On peut d’abord légitimement ne pas s’inquiéter de la prolifération nucléaire qui conduit à un nouvel équilibre ondine autour de huit puissances nucléaires. E. Mondial autour de huit puissances nucléaires. E. Gloser note par exemple que si « l’on admet, comme l’affirment les cinq puissances nucléaires, que l’arme nucléaire a été pendant la guerre froide un facteur de stabilisation, il est parfaitement possible de soutenir qu’elle peut jouer le même rôle aujourd’hui » (E. Gloser, Le nouvel ordre international, Paris, Hachette, 1998). Pourquoi une situation qui serait stable à cinq ne le serait-elle pas à huit ?

Une autre argumentation visant à limiter l’ampleur de la menace sur la France consiste à souligner les très faibles réhabilites à court terme d’un conflit avec la réussie ou avec la chiné, conflit qui serait de toute façon Traité dans le cadre d’une alliance avec les autres puissances nucléaires. On pourrait enfin mettre en doute la réalité des risques liés à la prolifération des armes de destruction massives travers trois points. Les risques de prolifération sont très exagérés Si la corde du Nord représente un réel danger, on ne peut exclure une stratégie de chantage et de marchandage de sa part conduisant à mettre en avant une résistance à la lutte contre la prolifération afin d’obtenir d’importantes sources financières ou matérielles de la communauté internationale (États-Unis et jupon).

Ainsi, après les accords de 1994, elle a obtenue une aide alimentaire de 500 000 tonnes de nourriture en 1999 contre l’autorisation d’inspecter un site souterrain suspecté d’abrita nourriture en 1 999 contre l’autorisation d’inspecter un site souterrain suspecté d’abriter un laboratoire nucléaire (il s’est révélé vide). Pour la plupart des pays proliférant, les contraintes économiques constituent par ailleurs un obstacle important à la poursuite de la course aux armements (aise en particulier). Le thème de la prolifération renvoie plutôt à une véritable « obsession américaine » Le thème de la prolifération a été propulsé sur le devant de la scène au début des années 90 pour devenir un sujet majeur de a diplomatie et de la politique militaire américaines.