Projet Tuteur
Université d’Artois Master Banque Finance Année 2014 Projet Tuteuré La téléphonie mobile au sein de la Société Générale Présenté par : MONFAIT julien ; VA BATCHO Rita INTRODUCTION : or29 Sni* to View ANDELIER Benjamin ; C’est dans un contexte de crises financière, structurelles et dans une forte concurrence que la Société Générale doit faire sa place. Il faut donc savoir évoluer et diversifier ses offres afin de gagner le plus grand nombre de part de marché.
La Société Générale est une banque présente dans le monde euro avec 284 milliards d’euros d’actifs gérés et 4ème acteur uropéen en conservation avec 1 1 65 milliards de dollars La SG Corporate & Investment Banking, la branche de la banque de financement et d’investissement du groupe. La Société Générale est classée 3ème pour sa capitalisation. Faiblesses : Rentabilité faible. La rentabilité autour des banques française est assez basse en comparaison de leurs homologues étrangeres.
Sans doutes dues à la législation française et un manque de modernisation. profil de risque ne permet pas de dégager une forte rentabilité pour le moment. Les activités ne sont pas assez rentables. L’une des faiblesses de ce groupe est sa taille. En effet la banque n’est ni assez petite pour être facilement opérable ni assez grande pour figurer parmi les premiers groupes mpndiaux d’investissement.
Groupe exposé à la santé fragile de madoff et lehman brothers Affaire kerviel Diagnostic externe : Opportunités : La Société Générale est présente dans des régions à fort potentiels de développement comme l’europe centrale et orientale OF Paribas 7822 3021 5832 7843 6050 BPCE -1847 537 3640 2685 CMIO-CIC 2161 509 1435 2341 1805 – acquisition de filiales très clblées comme Komercni Banka ou Trust Company of the West. cela permet de développer des synergies et d’obtenir des effets sur la croissance de ses revenues et faire ainsi baisser le coefficient d’exploitation.
Afin de conserver son indépendance et obtenir une taille positive la banque peut continuer à développer ses partenariats comme dans le passé avec Groupama. Marché de gestion d’actifs flottants qui permet d’atteindre une bonne croissance Menaces : Les effets de la crise actue PAGF 3 OF perspectives fraeiles évolutions technologiques à l’œuvre, tant à l’étranger qu’en France. Ces évolutions sont porteuses d’avantages, tant pour la lientèle que pour les intermediaires financiers, mais également d’incertitudes pour ces derniers.
Diagnostic interne Forces : La clientèle bancaire semble apprécier un large choix dans les modes de communication avec son banquier et les opérations simples (consultation et pointage de comptes, virements) se prêtent plus volontiers au traitement à distance La sécurité est également une attente forte de la clientèle utilisatrice des nouvelles technologies. Les incertitudes quant ? la protection des données communiquées par les clients qui sont susceptibles de circuler ensuite sur internet peuvent freiner le éveloppement des services bancaires en ligne.
Le client à la recherche d’un financement peut accélérer ses démarches en utilisant des sites qui agrégent les offres de différents établissements financiers. De tels sites existent maintenant dans la plupart des pays sur les prêts immobiliers ou les prêts pour l’achat d’automobile. Le client remplit en ligne ses données personnelles et détaille le bien à financer, puis cette proposition est transmise à différents établissements financiers qui peuvent lui présenter une offre.
Les nouvelles technologies ont permis une baisse sensible e la tarification des ordres de bourse chez les entreprises diversifier et améliorer l’offre de services financiers auprès de la clientèle actuelle , réduire les coûts de transaction pour les clients comme pour les institutions financières dans les zones éloignées ; sécuriser les transactions finan pour les institutions financières dans les zones éloignées ; sécuriser les transactions financières dans des contextes, notamment ruraux, où les autres moyens de communication (connexions internet, lignes de téléphonie fixe, etc. sont inopérants et ne permettent pas de lien en continu (et donc e suivi) vers les systèmes d’information et de gestion des institutions financières. Un autre enjeu majeur de la « banque à distance » et de la « téléphonie mobile » est de pouvoir réduire les coûts d’infrastructure. La téléphonie mobile apporte au client proximité, commodité et sécurité.
Du point de vue du client, la téléphonie mobile est à même d’apporter les avantages suivants • une plus grande proximité du point de service lui permettant d’effectuer les transactions les plus courantes (dépôts, retraits, transferts d’argent), d’où une économie de temps et de coût ; La commodité de pouvoir effectuer ces transactions auprès d’agents de proximité locaux, qu’il connait mieux et avec lesquels il entretient par ailleurs d’autres liens économiques et sociaux ; La sécurité d’accéder à des services financiers par l’intermédiaire d’une entité régulée.
Fonctionnalité pas complétement adapté aux besoins. Le développement de la banque à distance se fait à ce jour essentiellement par des modèles et formules axées sur l’usage de la téléphonie mobile. PAGF s OF profession car elles les dispensent de la constitution d’un réseau d’agences. Les nouvelles technologies abaissent le coût de traitement des opérations car elles reportent sur le client les tâches de saisie. Le plus souvent les banques à réseau n’ont pas encore répercuté cette économie sous forme d’une tarification privilégiée par rapport aux opérations effectuées au guichet.
En automatisant le traitement administratif des opérations, les nouvelles technologies peuvent accélérer le redéploiement des effectifs bancaires vers le secteur commercial. En France, le réseau des agences bancaires reste proche de 25 500 depuis près de 20 ans. Cette stabilité globale dissimule un renouvellement important, de l’ordre de 3 000 agences par an, en faveur des grandes agglomérations et au détriment des petites villes. Il faut y ajouter le développement important des distributeurs et guichets automatiques de billets durant cette période.
En France, les nouvelles technologies sont conçues de manière complémentaire au réseau… Avec près de 2 300 habitants ar uichet bancaire 1, la France est dans une situation co vaume Uni ou aux Pays- PAGF OF réseau. Dans le reste de l’Europe, les initiatives récentes de certaines anques montrent plutôt que ces nouvelles technologies comme la téléphonie mobile, Internet, précipitent la restructuration du réseau des agences. En novembre 2007, Barclays PLC a annoncé la fermeture de 200 agences sur un total de 1 900, en raison de la baisse de fréquentation des clients et du succès de ses formules de banque à distance.
En Allemagne, Deutsche Bank a annoncé la fermeture de 300 agences sur un total de 1 600 dans les dix-huit prochains mois. Dans le même temps, elle fusionne les activités en ligne et les activités traditionnelles de la banque dans une filiale Deutsche Bank. Risque juridique Dans chaque pays, les autorités en charge de l’agrément des banques et des entreprises d’investissement 2 définissent les conditions d’agrément et publient la liste des établissements agréés 3..
Si une banque ou une entreprise d’investissement, ne disposant pas d’agrément, cherchait néanmoins par le biais d’internet et de la téléphone mobile à développer une forme de présence permanente en France, elle s’exposerait aux poursuites judiciaires relatives à l’exercice illégal du métier de banquier ou de prestataire de services d’investissement. Un risque juridique peut également survenir pour une banque ou une entreprise d’investissement française ayant un site internet en cas d’activités transfrontières non préalablement autorisées par les autorités locales.
Au sein de l’espace économique européen (EEE), des incertitudes juridiques demeurent sur ce qul caractérlse, dans le cas d’internet, l’intention d’exercer une présence permanente sur le 7 OF caractérise, dans le cas d’internet, l’intention d’exercer une présence permanente sur le territoire d’un autre État membre 4. En revanche, pour des activités en ligne vers des pays hors EEE, la anque ou l’entreprise d’investissement française devra recueillir préalablement [‘agrément des autorités du pays visé.
Au-delà des questions d’agrément, les banques et les entreprises d’investissement doivent respecter, pays par pays, les règles relatives à la capacité des clients à effectuer les opérations proposées sur le site (condition d’âge ou de capacité juridique), les obligations déclaratives ou de vérification lors de rouverture d’un compte (consultation de fichiers d’incidents de paiement par exemple), les régimes spécifiques de protectlon des clients.
LES RISQUES FINANCIERS Les risques financiers peuvent être accrus… Le risque financier des opérations à distance est dans la plupart des cas identique à celui des opérations classiques. Il se peut néanmoins que l’automatisation des opérations fasse courir un risque de crédit particulier à l’établissement auquel ce dernier doit prêter une attention soutenue dans le contexte actuel de volatilité des marchés financiers.
LES RISQUES OPERA IONNELS Les risques opérationnels sont une composante déterminante des nouvelles technologies.. Le risque opérationnel a de nombreuses dimensions parmi esquelles la sécurité des systèmes d’information, la sécurité des transactions en ligne et les risques de blanchiment, qui font courlr un risque de réputation à l’établissement et, au-delà, à l’ensemble de la profession En matière de risques opérationnels, le risque spécifique a 8 OF l’ensemble de la profession.
En matière de risques opérationnels, le risque spécifique attaché à l’utilisation d’internet comme canal de distribution des services bancaires et financiers est celui d’une crise de confiance, liée ? une perte de crédibilité de la part du public — et non seulement es clients — face à des dysfonctionnements : problèmes techniques, malversations, déni de service… . au sein desquelles les problèmes de sécurité occupent une place importante.
La sécurité des transactions en ligne exige que le banquier puisse identifier correctement son interlocuteur (identification), qu’il ait l’assurance que les messages reçus du client n’aient pas été altérés dans le transport (intégrité), que ces messages n’aient pas été indûment portés à la connaissance de tierces parties (confidentialité) et qu’il ait l’assurance que le client ne puisse ier être l’auteur du message (non répudiation).
Cette dernière condition n’est pas toujours assurée dans les solutions utilisées aujourd’hui 5. Les risques en matière de blanchiment 6 par rutilisation de services bancaires sur internet ou par la téléhponie mobile se matérialisent lors de l’entrée en relation et de rouverture de compte et en raison de la dématérialisation et de l’automatisation des opérations. Les risques de blanchiment peuvent également être accrus grâce à l’utilisation des nouvelles technologies.
Lors de l’ouverture de compte, les risques sont accrus en raison e l’accomplissement à distance des formalités administratives et de l’absence d’un entretien en présence du client. Le risque d’un manque d’identification certaine est encore plus grand pour des c présence du client. Le risque d’un manque d’identification certaine est encore plus grand pour des clients non-résidents pour lesquels les moyens de vérifier les renseignements communiqués par le client sont plus aléatoires.
LES INITIATIVES PUBLIQUES AUTOUR DE L’INTERNET DANS LE SECTEUR BANCAIRE ET FINANCIER SE MULTIPLIENT EN FRANCE Le Comité de Bâle a publié un rapport sur ce thème en mars 998, Le Comité de Bâle, qui rassemble les contrôleurs bancaires des pays du groupe des Dix, a souligné, dans un rapport de février 1998 7, les principaux risques à surveiller du point de vue de la banque utilisatrice de monnaie électronique et de services bancaires à distance.
Ce document présentait une première évaluation des questions prudentielles soulevées par les nouvelles technologies dans les services bancaires et financiers mais ne formulait pas de L’Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV) qui rassemble les autorités de surveillance des marchés, a ublié en septembre 1998 un rapport 8 sur l’usage de l’internet dans les opérations sur titres. Dans la formulation de 24 recommandations, l’OlCV a retenu cinq principes d’inspiration libérale.
Le Forum de stabilité financière, qui rassemble les principales autorités de contrôle du secteur financier ainsi que les ministères des Finances et les banques centrales, a décidé en mars 2000 de recenser les travaux sur internet réalisés par les autorités de contrôle des différents secteurs (banques, assurances, marchés… ) afin de s’assurer de la cohérence de ces travaux pour l’ensemble du secteur financier.