Projet De Fin D Etude Master

essay B

Sommaire Liste des abréviations Remerciements 4 Introduction générale 1 er partie : Introduction a la gestion des 7 risques Chapitre 1 : Généralit• bancaires or 129 Introduction Sni* to View Section 1 : Présentation du syst me bancaire au Maroc Section 2 : Présentation des risques bancaires . 11 Section 3 : La réglementation prudentielle internationale — 15 Concluslon 19 Chapitre 2 : La notion de RAROC . Introdu Swlpe to vlew next page 20 : Le concept de mesure de performance ajustée pour le Sectlon 1 risque Section 2 : Présentation de RAROC 22 Section 3 : Les paramètres de

RA ROC • • • • • • • • • • 24 Conclusion 30 Concluslon de la 1er partie 2e Partie : La gestion des risques de crédit dans la BMCE 31 BANK . Chapitre 1 : L’analyse des risques de crédits par le model RAROC ( 1er Méthode) . Présentation de la structure Section 1 daccueil . Section 2 : Présentation de la base de données . Estimation des section 3 parametres section 4 : calcul du RAROC 36 40 Section 4 : Calcul du RAROC Concluslon . 46 Chapitre 2 : Méthode standard de la gestion des risques de . 44 crédit . 47 47 Section 1 : Présentation de l’échantillon Section 1 : Estimation des aramètres Section 3 : Calcul du Section 4 : Les limites du 56 Conclusion de la 2e Conclusion générale 58 Annexes 50 . 53 . 55 Annexes . 60 Bibliographie 89 Table des matières go 21 Page Liste des abréviations . RAROC: Risk Adjusted return on capital BMCE: Banque Marocaine du commerce extérieur MRE: Marocaine résident a l’étranger HCP: Haut commissariat au plan BAM: Bank al Maghreb PME: Petit est moyenne entreprise PNB: Produit net bancaire PIB. roduit intérieur brut BRI: Banque des règlements internationaux ICAAP: Internal Capital Adequacy Assessment Process RAPM: Risk Adjusted Performance Measurement RORAC: Return On Risk Adjusted Capital RARORAC: RiSk Adjusted Return on RiSk Adjusted capital EL : Expected Lass PD : La probabilité de défaut EAD : L’exposition en cas de défaut LCD : La perte en cas de défaut LIL: Unexpected Loss ROE: Return On Equity OMPIC : Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale RNPG: Résultats net par e contribué et contribueront à faire une véritable différence dans nos vies sont trop limitées.

Le manque du temps, l’accélération du rythme du travail, le « quotidien », la recherche de l’excellence, sont autant d’excuses que nous nous trouvons pour qu’il en soit ainsi. Cette fois ci, je ne voudrais pas gâcher cette merveilleuse opportunité qui m’offre le pouvoir de remercier du fond du cœur tous ceux qui m’ont aidé chaque jour à construire une vie qui vaut la peine d’être vécue.

Ma reconnaissance mêlée d’affection va d’abord à notre professeure Madame BOUCHRA RADI et Mr Oubdi Lahsan, pour son encadrement, et ma gratitude envers tout le corps professoral qui nous ont permis grâce à leur rigueur et leur sincérité, une insertion facile et méritée au sein des entreprises, et grâce à leurs capacités et leurs connaissances intellectuelles, une bonne adoption ? a pratique, au travail et aux méthodes utilisées au sein des entreprlses.

Je tiens à remercier également, monsieur FAYCAL RAHMI mon maître de stage pour son aide considérable, et monsieur MOHAMED TOUFIK pour leur encadrement et leurs conseils précieux et constructifs. J’adresse aussi de vifs remerciements à Mr HADAOUI chef de service de la BMCE régional et tous le staff administratif de la DGAC qui m’ont beaucoup aidé dans la réalisation des tâches effectuées, pour leur coopération, leurs conseils et leurs explications et remarques enrichissantes et merci d’avoir pris le temps de répondre à mes nombreuses uestions.

J’exprime mon plus profo ance à ma mère et mon J’exprime mon plus profonde reconnaissance à ma mère et mon père pour leur soutien sans faille tout au long de ces années. Je tiens à leur dire à quel point leur soutien affectif a été important ? mes yeux. C’est dabord et avant tout grâce à eux que ce travail a pu être mené à son terme.

Par la même occasion, j’adresse ma profonde gratitude à toutes les personnes qui m’ont aidé de loin ou de prés dans la réalisation de ce stage et son accomplissement dans les meilleures conditions et qui ont fait de mon stage une expérience ntéressante et enrichissante. 41 Page Introduction générale : L histoire économique récente ne manque pas d’exemples de situations de crises et de tensions extrêmes qui ont démontré le rôle néfaste que peut jouer un système bancaire fragile en amplifiant le désordre financier.

Les conséquences sont multiples, quoique tout le monde admette que la cause principale est la concurrence cruelle incitant les banques ? se lancer dans une course effrénée aux parts de marchés très souvent au détriment de l’autre activité clé des banques commerciales : le contrôle et la gestion des risques. Malgré leur ampleur et leurs effets tragiques qui n’ont jamais cessés de menacer la stabilité de l’environnement bancaire, ce n’est qu’au début des années quatre-vingt dix que la gestion des risques est devenue effective.

A cette période, les banques en plus de leur tendance à renforcer leurs fonds propres conformément aux exigences édictées par l’accord de Bâle de 1988, elles se sont lancées dans le déve nouvelles techniques I de Bâle de 1988, elles se sont lancées dans le développement de nouvelles techniques leur permettant de mieux gérer leurs risques, notamment le risque de crédlt devenu la préoccupation ajeure des banques en raison de son danger désastreux .

Quelques années plus tard, le comité de Bâle conscient des limites de son premier accord (Bâle l) a exprimé sa volonté de le remanier et d’instaurer un nouvel dispositif (Bâle Il) dont le principe fondateur est de récompenser les meilleures pratiques en matière de mesure et de gestion du risque et de permettre aux banques ayant fait un long parcours dans ce domaine d’utiliser leur propre savoir-faire et leur technologie pour évaluer leur risque.

La notation interne étant l’une des mesures principales prises par e comité de Bâle dans son nouvel accord a contribué significativement à la diffusion des innovations managériales utilisant cette approche. Parmi ces innovations on trouve la méthode RAROC ou Risk Adjusted Return On Capital adoptée par de nombreuses banques à l’échelle internationale.

Cette méthode fondée sur les principes de la finance moderne visant l’optimisation du couple risque-rentabilité, a trouvé une application non seulement en matière de gestion du risque de crédit, mais aussi comme outil de mesure de performance. La diffusion rapide de RAROC au sein de l’univers bancaire ainsi ue la multiplicité de ses applications sont deux éléments parmi d’autres qul ont mis ce concept au cœur d’un long débat sur son utilité, son efficacité et ses limites. 1 Page Le présent rapport s’inscrit dans ce cadre et a pour principal objectif de mettre en lumière les aspects théoriques et pratiques de la gestion des risques des crédits immobiliers par le modèle RAROC dans la banque marocaine du commerce extérieur, en adoptant une démarche qui vise ? répondre aux préoccupations suivantes : Quelle sont les aspects théoriques de la gestion des risques bancaires. En quoi consiste-il ? Quelle est le rôle de la réglementation internationale en matière de gestion des risques ?

Quelle est le degré de risque est de rentabilité des crédits immobiliers accorder par la BMCE BANK à ces différentes gammes de client ? La première partie sera réservée à la présentation du secteur bancaire marocain, la réglementation internationale en matière de gestion de risques bancaires et une présentation de l’outil RAROC dans son ensemble, La deuxième partie de ce travail sera dédiée a l’analyse du couple risques rentabilité, pour pouvoir détecté la tendance du risques de crédits u niveau de la BMCE BANK est proposé des solutions le risque. es établissements bancaires. C’est justement dans le but de limiter les effets néfastes de la prise démesurée des risques et de soutenir la stabillté et la sécurité du système financier que fut instaurée la réglementation prudentielle internationalel. Dans cette première partie du rapport nous allons présenter une introduction à la gestion des risques de crédit, présenter la réglementation nationale est international puis le modèle RAROC (Risk Adjusted Return On Capital) en matière de gestion des risques.

Chapitre 1 : Généralités sur les risques bancaires Le présent chapitre présente les notions de base liées au risque bancaire et sa gestion, ainsi que le rôle de la réglementation prudentielle et son évolution depuis le premier accord de Bâle de 1988. Nous allons donc dans une première section présentée le système bancaire Marocain, aborder le concept de la gestlon des risques, Dans la troisième section la réglementation prudentielle internationale, son évolution et son impact sur la gestion du risque de crédit en particulier.

Section 1 : Présentation du système bancaire au Maroc Depuis les années 90, le système financier marocain est en pleine mutation. Menées conjointement avec le processus de libéralisation, ces multiples réformes ont pour but de rationaliser le fonctionnement des marchés2 Les conséquences pour l’économie marocaine ont été de plusieurs ordres : baisse sensible des taux d’intérêt, meilleure allocation des crédits, financement de l’Etat ? partir du marché domestique.

Pour le secteur bancaire, I loi ban financement de l’Etat à partir du marché domestique. Pour le secteur bancaire, la réforme de la loi bancaire de 1993 a marqué le début d’un nouveau ycle avec le désencadrement du crédit, les nouvelles procédures de provisionnement et une application plus stricte des règles prudentielles3. Azzedine Berrada, « les techniques de banque et de crédit au Maroc », Be édition, 2009, page 20 Rapport annuel Bank Al Maghreb 71 page L’ensemble de ces mesures ont été bien accueillies par le marché puisqu’elles ont permis un développement remarquable des différents agrégats du secteur bancaire. Le nombre d’agences bancaires, le montant des dépôts et des crédits octroyés et le produit Net Bancaire ont augmenté de près de 100%.

Le manque d’instruments financiers évolués, l’absence d’investissement ou de réinvestissement et l’attrait de la clientèle pour une forte liquidité de l’épargne sont des éléments autrement plus significatifs. Ainsi, la bancarisation croissante du pays s’est accompagnée d’une mutation dans les modes de consommation de produits bancaires. Désormais, le principal moyen de dépôt est le compte chèque 58% des dépôts sont non remuneres. Cette évolution pose un problème majeur : le comportement du ratio de liquidité. Les dépôts ? terme diminuent grande ‘exieible à court terme ID OF