prelevements veineux
PRÉLÈVEMENTS VEINEUX LIEU Centre hospitalier Service de rhumatologie Hospitalisation de semaine à Toulouse SITUATION Dans ce service, des sont réalisés tous les Je reconnais que ces moi un acte délicat ? majorité où le capital u plusieurs patients or7 Sni* to – gai restaient pour es âgées dans la aible. Toutes les questions qui me trottaient dans la t te ont té traitées au fur et à mesure de mon cheminement. Je me suis donc questionnée sur le prélèvement sanguin qui est un prélèvement d’un échantillon de sang veineux afin de réaliser une analyse de biologie médicale.
Ce prélèvement permet lors de dépister des troubles biologiques, il va donc aider au diagnostic médical et enfin suivre l’évolution d’un traitement ou d’une maladie. Ce soin infirmier relève exclusivement d’une prescription médicale suivant FArt R4311. 7 de csp, décret 2004-802 du 29/07/2004. Ce jour, je dois réaliser un prélèvement veineux à Mr X donc avant tout je m’assure de la conformité du bon du laboratoire en lien avec la prescription.
Ce bon doit être identifié au non du service, étiqueté au nom du patient prélevé et il doit être daté. Sur ce bon cliniques notés par le médecin et les éventuelles difficultés encontrés par IODE lors du prélèvement. L’IDE qui prélève devra apposer son nom, l’heure du prélèvement, le prescripteur et sa signature. Toutes ces vérificatlons sont importantes pour la traçabilité pour le laboratoire et pour éviter des erreurs.
Page 1 14 Je vérifie mon plateau préparé par avance (garrot, tubes de prélèvements, corps de pompes avec son adaptateur, épicrânienne, compresses alcoolisés (CLIN), poche du labo pour recueillir les tubes prélevés ainsi que la feuille dûment complété, étiquettes du patient pour les tubes (que j’étiquetterai au pied du atient après contrôle de son identité), gants non stériles pour le prélèvement, pansement, collecteur d’aiguilles et solution hydro alcoolique.
J’ai compris que toutes ces vérifications sont extrêmement importantes afin de ne pas perdre du temps et de ne plus quitter la chambre du patient pendant le soin. Je m’assure de l’état du jeune du patient. Ceci est important en fonction du prélèvement car certains doivent se faire dans un jeune impératif ( glycémie, bllan lipidique, phosphore). Mais dans ce service, tous les pré èvements ont l’habitude de s’effectuer avant le petit déjeuner. Avant de partir dans la chambre, je fais un lavage des mains antiseptique en salle de soins.
Je rentre dans la chambre du patient en ayant au préalable frap PAG » rif 7 en salle de soins. Je rentre dans la chambre du patient en ayant au préalable frapper, je me présente, j’explique le pourquoi du soin, je rassure le patient, je m’assure de son identité et je vérifie si le nom, prénom et date de naissance concordent bien avec le bon du labo. Je m’installe à côté du patient, je l’installe confortablement, je mante le lit à ma hauteur afin d’être moi-même installée à mon aise.
J’installe sur l’adaptable tout le matériel préparé, ( le propre d’un côté et le sale de l’autre), sachant que la poubelle et le collecteur d’aiguille se place à l’opposé du patient. Je vais ensuite choisir le site de ponction en évitant les bras hémpléglques, les bras perfusés. Je commence à regarder les plis du coude, les avants bras et le dos des mains. Chez certains patients, les veines sont bien apparentes et le site à ponctionner n’est pas difficile à cerner. Chez d’autres c’est plus compliqué… En effet chez les personnes âgées, le capital est tellement affaibli qu’il est souvent difficile de avoir ou piquer.
Aussi pour faire gonfler les veines, je pose un garrot au dessus du coude pour repérer les veines du pli du coude et je repère également la veine de l’avant bras qui est la veine céphalique. Je tapote doucement et je passe aussi la compresse imbibée d’alcool pour faire dilater la veine. Je la passe du bas de la main en remontant afin de désinfecter sou PAGF3C,F7 d’alcool pour faire dilater la veine. Je la passe du bas de la main en remontant afin de désinfecter sous les poils mais aussi de favoriser un afflux sanguin. J’utilise une compresse par passage t je la jette dans le sac à déchet.
Si aucune veine n’apparaît ou n’est palpable sous mon doigt, ni au pli du coude ni à l’avant bras, je détache le garrot et je le serre plus bas sur l’avant bras afin de faire gonfler les veines du dos de la main. Page 2/4 Une fois la veine repérée, à l’œil et sous le doigt, je desserre le garrot, et avant de commencer, je me fais une friction avec la solution hydro alcoolique. Je m’assure que tout est prêt pour commencer le soin, j’adapte mon aiguille sur le corps de pompe, je mets les tubes de prélèvements à portée, je mets les gants et e replace le garrot à l’endroit où je l’avais placé pour repérer.
Je demande au patient de serrer son poing et son bras est incliné vers le bas pour favoriser l’afflux de sang vers l’extrémité du membre. Je fais surtout attention de ne pas me positionner sur l’artère qui est un vaisseau palpable, souple mais pulsatile ! Je fais un dernier passage avec une compresse stérile imbibée d’alcool pour désinfecter et j’immobilise la veine en tendant la peau avec le pouce en dessous de mon point où je vais piquer pour éviter qu’elle ne roule. J’introduis l’aiguille dans la veine sous un angle de 00 ; le bi qu’elle ne roule.
J’introduis l’aiguille dans la veine sous un angle de 300 ; le biseau vers le haut puis J’abaisse légèrement l’aiguille qui se trouvera alors parallèle à la peau et je pénètre doucement la veine. un afflux de sang apparait dans la tubulure de ‘épicrânienne et là je suis dans la veine. J’introduis alors les tubes de prélèvements selon l’ordre imposé par le labo ( vert en premier, violet ensuite et si bleu je n’oubli pas de purger avec le tube de purge c’est un tube pour l’hémostase et de l’air dans le tube fausserait les résultats).
Pendant que le tube se remplit, ‘homogénéise le tube précédent par des retournements lents et réguliers. Il ne faut pas les secouer pour ne pas lyser les globules. Je fais cette opération à chaque tube. IJne fois tous mes tubes prélevés, je desserre rapidement le garrot d’une main et le patient pourra alors relâcher son poing. Je retire l’aiguille en comprimant le point de ponction pour éviter un hématome grâce à une compresse stérile que j’ai pris soin de garder tout près et je jette immédiatement l’aiguille dans le collecteur d’aiguille. Je mets enfin le pansement en relâchant le point de compression.
J’ôte mes gants et j’élimine taus les déchets dans la poubelle prévue à cet effet. Je me refais une friction hydro alcoolique et enfin je vérifie la concordance des étiquettes que je vais coller sur les tubes prélevés et je finis enfin je vérifie la concordance des étiquettes que je vais coller sur les tubes prélevés et je finis de remplir les bons d’analyse (heure de prélèvement, date mon nom mon grade et ma signature) et j’achemine dans les temps ces analyses au coursier qui vient les récupérer dans le service, tous les jours à la même heure.
Je rends soin de mettre les tubes dans la poche plastique, fermée et le bon est glissé dans la poche kangourou prévue à cet effet. Page 3/4 Les tubes sont ainsi protégés d’une éventuelle casse et d’une exposition au sang. Je trace ce soin sur les feuilles de transmissions prévues à cet effet afin que le prélèvement ne se fasse pas 2 fois ! Je prends soin de vérifier le point de ponction du patient, afin de veiller à tout saignement anormal.
OBSERVATIONS – ETON NEMENTS Dans ce service, ces examens sont le plus souvent programmés pour le lendemain matin, patients à jeun le plus souvent. Les ons de laboratoires sont préparés en fonction de l’ordonnance et étiquetés au nom du patient. Il faut veiller à la bonne conformité du bon, en lien avec la prescription médicale. Les examens les plus courants dans ce seNice sont la biochimie (créatinine, urée, les ions Na, K, Cl, la glycémie, protides, calcium, phosphore, acide urique).
Mais aussi Vhématologie (vitesse de sédimentation, numération formule, plaquettes, hémoglobines). Toutes ces prescri (vitesse de sédimentation, numération formule, plaquettes, hémoglobines). Toutes ces prescriptions ont vraiment titillé ma curiosité et j’ai onc fait des recherches multiples et variées (internet, cours, IDE) pour essayer de mieux comprendre à quoi correspondaient tous ces examens.
DIFFICULTÉS ET POINTS A APPRONFONDIR La principale difficulté de ce soin est d’être en présence d’un abord veineux difficile avec risques accrus d’hématomes, de veinite, voir d’abcès et surtout de douleurs pour le patient. J’al apprls que si l’abord veineux est difficile au niveau du bras, on a possibilité de piquer sur le dessus du pied (veine dorsale du pied), ce geste reste douloureux mais moindre avec une ?picrânienne et on peut arriver ainsi à trouver une veine beaucoup plus facilement.
J’ai pu échanger avec les IDE qui m’ont toutes rassurée, plus on pratique, plus on se sent à l’aise dans cet acte et plus facilement on détecte des veines difficiles ? trouver… Lorsque Pacte s’avère impossible à un moment donné, il ne faut pas hésiter à passer le relai à une collègue, plutôt que de s’énerver ou se mettre sol même et le patient aussi en difficultés. Par contre, après 5 semaines de stage effectuer dans ce service, je me sens suffisamment autonome sur ce geste. Page 4/4