pourquoi la vie

Parce que seul l’homme est un être conscient, il est le seul ? savoir qu’il existe. Les végétaux, les animaux sont vivants. Seul l’homme ne fait pas que «vivre il « existe » véritablement. Heidegger, en parlant de l’homme, dit qu’il y va, dans son être, de son être. L’être-là (Da-sein) qu’est l’homme ne subsiste pas seulement, il existe. D’où la célèbre phrase d’Heidegger : L’essence de l’être-là réside dans son existence (Être et temps, introd un être conscient, il est le seul à savoir qu’il existe. Les végétaux, les animaux sont vivants.

Seul Ihomme ne fait pas ue «vivre il « existe » véritablement. Heidegger, en parlant de l’homme, dit qu’il y va, dans son être, de son être. L’être-là (Da- sein) qu’est l’homme ne subsiste pas seulement, il existe. D’où Swipe p la célèbre phrase d’H son existence (Etre e La vie est de l’ordre d vie sans vraie démon évidente : la vie est ir l’être-là réside dans • _. e rtes parvient à la rte d’intuition ie est un fait incontestable, c’est le fait premier, celui qui permet tous les autres : c’est parce qu’on existe qu’on parle, qu’on écrit, qu’on travaille, qu’on philosophe.

Mais si le fait d’exister est évident, la aison d’être de la vie est, elle, tout à fait énigmatique. Se poser la question du sens de la vie, c’est se demander ce que signifie le fait d’être et la finalité de ce fait : que veut dire exister et pourquoi exister ? C’est notamment la question que se pose Leibniz. La question de l’essence (qu’est-ce que c’est ? ) est pour lui moins fonda-. mentale que la question de la vie (pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? ). Pourquoi donc y a-t-il de l’être?

La vie est l’objet d’une véritable interrogation méta-physique. Mais prendre cet objet d’é Sv. ‘ipe to d’étude, c’est prendre un objet appa-remment vide de toute étermination future : il semble qu’il n’y ait rien à en dire. On existe, voilà tout. La vie, en tant que premier fait, semble échapper à tout discours. Il n’y a rien avant lui qui fonderait sa raison d’être. Tout discours sur la vie suppose la vie. La question du sens de la vie semble donc vouée à l’échec et risque de nous laisser démunis.

Pourtant, on ne peut éviter de se la poser, car grâce à elle c’est toute la valeur de la vie qui se trouve interrogée. Se poser cette terrible question revient à se demander si je dois faire l’effort de vivre, c’est-à-dire d’exister de açon authentique, ou si je peux me contenter de «sur-vivre » Faut-il sans absurdité essayer de « bien » vivre? Y a-t-il donc vraiment quelque chose à dire de la vie? La quête du sens de la vie n’est-elle pas absurde? Pourquoi j’existe ? sdfgpoikjdskkobkvjbkijnfsjkdvjnksjkjfejnbkhf fffffffffWWWWWWWWdWWWWWWWWWWWNWWWWWWWW w,wmrwwwwwwwww,wmrwwwwww- wwwmwwwwwwwwvmpmnvwwwwwwwwwwmnvwww wwwVNmwwwwwwwwwvnNM »Nwwwwwwwww- WWWWW/WWWWWWWWWWW/WWWWWWWWWWW&IWW w,wmrwwwwwwvvww,wmrwwwwwwvvww,wvpw- wwwmwwwwwwwwvmpmnvwwwwwwwwvmpmnvwww wwwvnNmwwwwwwwvv’JwwwwwwwwwwvnN,w- WWWWW/WVVWWWVVWWWWW/WVVWWWVVWWWWW w,wmrwwwwwwwww,wmrwwwwwwvvww,wvpw- wwVNmwwwwwwwwwVNmwwwwwwwwww- w,wmrwwwwwwwww,wmrwwwwwwwww,wvpw- wwwmwwwvvwwwwvmpmnvwwwwwwwwvmpmnvwww WWWWW/WVVWWWWWWWWW/WVVWWWWWWWWW wwwvrwwwwwwvvwvww. awwwwwvvwwwvpw- wwwmnvwwwwwwww wwwwwvmpmnvwww 2 wwwvnNmwwwwwwwwwvnNmwwwwwwwwwvnNNdww wwwwwmwwwwwwwwwwmvvwwwwwwww- wwwvrwwwwwwvvwwwmrwwwwwwvvww,wmrwwww wwwmnvwwwwwwwwwwmnvwwwwww un être conscient, il est le seul à savoir qu’il existe. Les végétaux, les animaux sont vivants. Seul l’homme ne fait pas que « vivre », il « existe » véritablement. Heidegger, en parlant de l’homme, dit qu’il y va, dans son être, de son être. L’être-là (Da-sein) qu’est l’homme e subsiste pas seulement, il existe.

D’où la célèbre phrase dHeidegger : L’essence de l’être-là réside dans son existence (Être et temps, introduction). La vie est de l’ordre du constat. Même Descartes parvient à la vie sans vraie démonstration, mais par une sorte dintuition évidente : la vie est irréductible au doute. La vie est un fait Cest notamment la question que se pose Leibniz. La question de l’essence (qu’est-ce que c’est ? ) est pour lui moins fonda—,mentale que rien ? ). Pourquoi donc y a-t-il de l’être?

La vie est l’objet d’une véritable interrogation méta—physique. Mais prendre cet bjet d’étude, c’est prendre un objet appa-tremment vide de toute détermination future : il semble qu’il n’y ait rien à en dire. risque de nous laisser dém 3 façon authentique, ou si je peux me contenter de «sur-vivre fffffffffwwwwwvwm,wwwwwwwwwvwm,wwwwwwwww wwwvnNmwwwwwwwwwvnNM »Nwww- wwwmwmwwvvwwwwwmwmwwvvwwwwww- WWWWW/WWWWWVVWWWWW/WWWWWWWWWWW WWWIWWWWWWWWWWJWWWWWWWWWVWIWW- wwwvnNmwwwwwwwwwvnNmwwwwwwwwww- 4 seulement, il existe.

D’où la célèbre phrase d’Heidegger : introduction). vie sans vraie démonstration, mais par une sorte d’intuition Incontestable, c’est le fait premier, celui qui permet tous les une véritable interrogation méta—physique. Mais prendre cet sens de la vie n’est-elle p S vivre? qsdfgpoikjdskkobk »jbkijnfsjkdvjnksjkjfejnbkhf fffffffffwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww wwwmwwwvvwwwwvmpmnvwwwvvw- wwwwwmwwwwwwwwwwmwwwwwwwww- w,wmrwwwwwwvvww,wmrwwwwwwvvww,wmrwwww wwwmwwwvvwwwwwwmwwwvvwwwwww,’.

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Mais si le fait d’exister est évident, la raison d’être de la vie est, elle, tout à fait énigmatique. d’une véritable interrogation méta-physique. Mais prendre cet objet d’étude, c’est prendre un objet appa—remment vide de wwwmwwwvvwwwwwwmwwwwwwwwwwmnvwww wwwvrwwwwwwvvwwwmrwwwwwwvvwwwmrwwww WWWWMMIWWWWWWWWJWWWWWWWWWWWMMI- wwwmnmwwwwwwwwwmwmwwwwwwwwvnNNdww WWWWW/WWWWWVVWWWWW/WWWWWVVWWWW- wwmwwwvvwwwwvmpmnvwwwvvwwwwvmpw- wwwwwmvvwwwvvwwwwwmwwwwvvwwww- WWWWMIWVVWWWWWWWWMIWWWWWuctio n). ignifie le fait d’être et la fi it : que veut dire exister 8 DE 9 semble qu’il n’y ait rien à en dire. On existe, voilà tout. La vie, en tant que premier fait, semble échapper à tout discours. Il n’y a rien avant lui qui fonderait sa raison d’être. Tout discours sur la vie suppose la vie. kfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff- fffffffffwwwwwwwwwwwwvvwwwwwwwwwwwwwwww WWWWW/WWWWWVVWWWWW/WWWW- wws. qmmmwwvvwwwwvuwwwwwwwwws. qmmm- wwwvrwwwwwwvvwvwwmwwwwwvvwwwmrwwww wwwwwww,’- g