Pour le bac

essay B

Elle ne soucie pas de son apparence. Elle semble transparente mais ne paraît pas affectée. Premier boy python amputa 23, 2011 5 pages ui n’avais aucune affaire ». AI- « Le désert des hommes » 5) a)La figure de style utilisée est une anophèle : la répétition d d’un mot ou d’un groupe de mots en tête de phrase : « on ne me… » b) Le pronom « on » représente les hommes et les femmes qui croisent G. Sans. Cc) A plusieurs reprises le pronom indéfini « personne » remplace « on ». De) Les Parisiens sont désignés par « une immense foule » et « les passants affairés ». ) a) « Comme une chose » est une comparaison : G. Sans se compare à ne chose grâce à l’outil de comparaison « comme ». Bu) La métaphore est une comparaison sans outil de emparions ; on en trouve une dans le texte dans l’expression suivante : « j’étais un atome perdu dans cette immense foule » ; l’auteur se compare à un atome. Cc) Les comparés sont identiques mais les composants diffèrent. Or ces derniers ne sont pas élogieux : dans les deux cas ce sont des êtres inanimés et de petite taille, preuve que l’auteur semble ne pas exister. ) a) L’expression « désert des hommes » paraît contradictoire : un désert est une étendue qui n’est pas peuplée. Or Sans a l’impression d’être seule, comme on peut l’être dans un désert mais au milieu des hommes esquisse ces derniers ne lui accordent pas d’importance. Bu) Elle éprouve une sensation qui diffère de celle que l’auteur de l’expression a éprouvé : si Chateaubriand semblait souffrir de cette situation, elle au contraire paraissait y prendre plaisir : « avec autant de satisfaction qu’il l’avait dit avec tristesse. Il- De la liberté à l’inspiration de l’écrivain. 8) a) Le pronom « le » renvoie à l’idéal. Bu) Cet idéal est en germe dans le cerveau de G. Sans pour se réaliser, e développer il requiert des conditions précises, en particulier un peu de liberté. Cet idéal est empare à une fleur qui, en bouton, peut éclore. Cc) L’énumération qui prouve qu’il s’agit de son inspiration est la suivante : « de songes, e mélodies, de couleurs, et de formes, de rayons et de fantômes. » d) Un terme le prouve dans les lignes de la fin du texte : « un roman 9) a) G.

Sans se trouve « dans la rue », « sur les trottoirs », à la châtrer ». Bu) G. Sans parvient à se promener dans Paris e imaginant un roman : « je me promenais ». 10) Tout semble réuni à Paris pour qu’elle trouve son inspiration : en effet, les gens qu’elle croise semblent se moquer de son apparence. Personne ne lui prête attention, elle n’est précédée d’aucune réputation et profite de cet anonymat pour créer en se promenant. Réécriture : -réécrire le passage au passé du conditionnel : « j’aurais pu… -passer de PIE à PP (I ère personne du pluriel) « Cela nous aurait été bien égal, à nous qui n’aurions eu aucune affaire. On ne nous aurait pas connues, on ne nous aurait pas regardées, on ne nous aurait pas reprises. » Les défi aurait pas connues, on ne nous aurait pas regardées, on ne nous aurait pas reprises. » Les difficultés : Le passé du conditionnel est un temps composé : le l) participe passé s’accorde donc quand le CODE est placé avant le verbe : Ex : j’aurais vu ces filles = je les aurait vues Ici, il fallait se souvenir que G.

Sans était une femme. 2) Au pluriel, ce sont donc deux femmes. L’accord se fait donc au féminin pluriel. Rédaction – rédiger une lettre dans e journal du collège – pour protester contre les préjugés sexistes de l’entourage, face à ma décision – choisir un métier hors norme: mettons que je sois une fille et que je veuille travailler dans la mécanique automobile ! – raconter dans quelles circonstances est née l’attirance pour ce métier – argumenter sur les raisons qui me poussent à écrire.