paul scarron

essay B

Objet d’étude : Le personnage de roman du 17ième siècle à nos jours. Le Roman Comique, Paul Scarron Introduction Le Roman Comique est une œuvre de Paul Scarron (juillet 1610-6 octobre 1960) dont la première partie est publiée en 1651 et la seconde en 1657. Paul Scarron est un écrivain contemporain de Louis XIII, du 17ième siècle. Époux d’une maîtresse de Louis XIV, Paul Scarron devient le précurseur de la littérature romanesque. La Poésie et la comédie lui sont chères.

Dans le même esprit que François Rabelais, Scarron recourt a la t une certaine auda par Virgile travesti conn ut ». pour trame les avent Scarron qui connait h e liberté de ton tème officiel. Son man comique a médiens amusant. onne de la réalité une vision pittoresque et tranche. De plus, le nomadisme des comédiens permet de traverser tous les milieux sociaux. Incipit Ce texte est l’incipit du roman. : Un incipit doit remplir plusieurs fonctions. En effet, il doit permettre au lecteur d’entrer dans l’œuvre en lui donnant les indications nécessaires à sa compréhension.

Ainsi, il présente à la fois le cadr page adre spatio-temporel dans lequel va se dérouler l’action, les personnages principaux et l’intrigue (z l’histoire). -piquer la curiosité du lecteur -Lui donner envis de continuer -in media RES : on se retrouve directement au cœUr de l’histoire L’incipit dit « dynamique » ou encore in médias RES : il jette le lecteur dans une histoire qui a déjà commencée, sans explication préalable sur la situation, les personnages, le lieu et le moment de l’action. Le récit est réaliste car il évoque des lieux réels tels que la ville du Mans.

De plus, le burlesque est annonciateur de la thèse du oman . le monde est un théâtre. Non narrateur interrompt le lecteur afin d’intervenir dans le récit pour donner son point de vue, bien qu’il soit un personnage externe de l’histoire. Cet incipit ressemble à une entrée théâtrale« Pour parler plus humainement et plus intelligiblement » interpelle le lecteur L. 30 . Cela instaure une grande proximité et il en fait son complice et en même temps souligne sa liberté de ton et lui donne sa règle du jeu.

Le narrateur semble vouloir partager avec le public un regard amusé sur la narration. Epique au burlesque. Cet incipit ressemble à une entrée théâtrale L’extrait est construit sur une chronologie continue (comme le déroulement d’un théâtrale L’extrait est construit sur une chronologie continue (comme le déroulement d’une scène de théâtre), le narrateur écrit à la troisième personne et se trouve être omniscient. car Scarron va jusqu’à intervenir ligne 1, 7, 30,33, pour éclaircir les métaphores ou autres oppositions et personnifications : Ligne 7 « Pour parler simplement….

Arriva dans les halles du Mans » « ligne 32 : Mais j’entends parler des grande tortues qui se rouve dans les Indes. 6-Registre de Langage : soutenu puis parodié, ils se moque du beau parlé « avec une allure de magistrat etc. » Pour donner des images poétiques On situe l’action par rapport au soleil. ( ref à Apollon ; mythologie). Les repères temporels viennent de la personnification du soleil et la métaphore filée du paysage pour introduire le roman. Registre épique : qui a une ref mythologique au char d’Apollon.

Indication temporelle curieuse : Chevaux> char… – registre épique. On est pas dans une vraie épopée. C’est donc bien un contexte arodique dont le but est de faire rire. Ce registre cherche ? provoquer l’admiration et l’enthousiasme du lecteur « Char » /« charrette » : parodie de la charrette ref qql chose de petit ; au début « char » connotation épique, héroïque en opposition avec la connotation comique et petit de la charr char » connotation épique, héroi@ue en opposition avec la connotation comique et petit de la charrette. Moyen de transport populaire, triviale conduit par des et des chevaux (symbole de noblesse). Le char était une course noble dans le ciel, or nous ommes dans les halls du Mans (lieu populaire), encore élément parodique L’incipit a aussi pour fonction de présenter les personnages principaux de l’œuvre L. 12 « une demoiselle » ; « un jeune homme » L. 13;« un vieillard » L27 : article indéfini répété 3 fois. Ils sont désignés de la façon la plus neutre possible.

Cela correspond à un regard extérieur. Le narrateur est externe, pas omniscient ce qui aide à préserver l’anonymat des personnages. Dans leur apparition, « la demolselle » est habillée entre VIIIe antithèse et » jeune homme » est miséreux mais a une bonne ine, « un vieillard » est « vêtu plus régulièrement quoi que très mal ». On a des personnages principaux du théâtre de l’époque (mise en relation immédiate) avec le titre et le thème du chapitre.

Les trois personnages correspondent aux rôles convenus de la comédie. C’est-à-dire un jeune couple amoureux et le vieillard qui s’oppose à leur projet. La description des personnages renseigne bien le lecteur sur leur identité : fonction informative Registre burlesque : impor PAGF personnages renseigne bien le lecteur sur leur identité : fonction nformative Registre burlesque : importance de la description (Nous avons plus de descriptions que d’explications).

Les portraits physiques sont tout en contraste. Le burlesque est caractérisé par l’emploi de termes comiques, familiers voire vulgaires pour évoquer des choses nobles et sérieuses. Le jeune homme : 13 lignes à le décrire. C’est le portrait le plus développé (de haut en bas). Personnage le plus décrit,. Nous avons une énumération de chaque partie du corps qui donne lieu sur les vêtements ou les accessoires.

Vêtements en piteux ?tat, accessoires qui nous renseignent sur ses activités qui ont précédé le début de l’histoire : oiseaux avec fusils à l’épaule, mais on ne chasse pas le pigeon ni de corneilles, et ni avec un fusil —braconnage aussi souligné par ces animaux non nobles. L’emplâtre sur le visage que d’un côté accentue le côté comique, cache des traces de coups, il ne souhaite pas être reconnu, ou trace de maquillage. (Doit attirer attention du lecteur). « Souliers crottés » : il a donc battu la campagne de tous les temps. Tous ses vêtements traduisent l’extrême pauvreté de la petite troupe.