Origine des relations internationales
(ROMANE+ INTRODUCTION)Les relations internationales sont aussi appelées études internationales (en anglais International Studies (IS))I. Sous ces vocables, sont en général désignés l’étude des affalres et des grandes questions du système international : rôle des États, des organisations internationales, des organisations non gouvernementales (ONG) ainsi que des entreprises multinationales. Les relations internationales appartiennent à la fois au domaine académique et au domaine politique.
Elles peuvent être étudiées soit dans une optique positiviste soit dans une optique normative, toutes eux cherchant tant internationales desp s. ors Si les relations intern to View au domaine de la sci mis sur le domaine é les politiques historiquement st de plus en plus anomie politique internationale qui s’est beaucoup d veloppee depuis les années soixante-dix. D’autres champs académiques sont également concernés : le droit international, Iaphilosophie, la géographie (? travers notamment la géopolitique), la sociologie, l’anthropologie, l’étude des cultures.
Concernant plus spécifiquement les sujets étudiés, il est possible de citer : la mondialisation, l’État, l’écologie et e développement durable, le terrorisme et le crime organisé, laprolifération nucléaire, le nationalisme, le développement économique la finance internationale, les droits de l’homme, etc. Histoire[modifier I modifier le En général, la coutume fait débuter l’histoire des Relations internationales, aux traités de Westphalie de 1648 au moment où d’États au sens moderne du terme s’est affirmé.
Antérieurement, l’organisation politique de l’Europe médiévale reposait sur un vague ordre religieux hiérarchisé. Les traités de Westphalie ont institué le concept légal desouveraineté, c’est-à-dire que les égislateurs nationaux sont l’ultime autorité à l’intérieur du territoire national où ils n’ont pas d’égaux parmi leurs concitoyens et pas de supérieurs à l’extérieur. Si dans la Grèce antique ou à Rome l’autorité des cités était proche de celle du système de Westphalie, elles ne connaissaient pas la notion desouveraineté.
Les traités de Westphalie ont poussé à la constitution d’États- Nations indépendants, à l’institutionnalisation de la diplomatie et des armées. Ce système européen a été exporté vers l’Amérique, l’Afrlque et l’Asie à travers notamment la colonisation. Le système actuel résulte des décolonisations durant la guerre froide. Si l’État Nation est considéré comme « moderne » plusieurs États ne l’ont pas encore adopté tandis que d’autres qui ont été au delà peuvent être qualifiés de « post modernes n.
La capacité des Relations internationales modernes à expliquer les relations entre ces différents types d’États est en question. Les « niveaux d’analyse » constituent une façon d’aborder le système international et incluent : un niveau individuel, l’État ; un niveau international, celul des affaires transnationales et ntergouvernementales et un niveau mondial ou global. Ce qui est explicitement reconnu comme la théorie des Relations internationales ne s’est pas développé avant la Première Guerre mondiale comme nous le verrons plus loin.
Toutefois, la théorie des relations internationales s’est longtemps nourrie des apports d’autres disciplines. De nombreux a d’autres disciplines. De nombreux auteurs citent l’histoire des guerres du Péloponnèse deThucydide comme étant le point de départ de la théorie réaliste qui s’est poursuivie avec le livre le Léviathan de Hobbes et Le Prince de Machiavel. De façon similaire, la théorie libérale des relations internationales a été influencée par Emmanuel Kant et Jean-Jacques Rousseau.
Bien que la notion actuelle des droits de l’homme soit considérablement différente de ce qui était envisagé par les tenants de la loi naturelle, Francisco de Vitoria, Hugo Grotius et John Locke témoignent des premiers efforts entrepris pour affirmer certains droits généraux sur la base d’une humanité commune. par allleurs au vingtième siècle, le marxisme a eu une certaine influence sur la fondation de la discipline des Relations Internationales. ?tudes des Relations internationales[modifier modifier le code] (Alvarez + conclusion) Initialement, les Relations internationales vues comme un champ d’études distincts ont été une spécificité britannique. En 1919, la première chaire intitulée chaire Woodrow Wilson, de Relations internationales a été créé à l’université d’Aberystwyth grâce ? un don de David Davies. Elle fut confiée à Sir Alfred Zimmern2. Au début des années vingt une chaire fut également créée ? la London School of Économics à la demande du prix Nobel Noél-Baker.
La première université consacrée entièrement aux Relations internationales fut l’Institut de hautes études internationales fondé en 1927 à Genève par William Rappard. Il avait pour but de former les diplomates associés à la Société des Nations et fut un des premiers à délivrer des doctorats en relations internation la Société des Nations et fut un des premiers à délivrer des doctorats en relations internationales. La Edmund A. Walsh School of Foreign Service de l’université de Georgetown est la plus ancienne faculté dédiée aux Relatlons internationales des États-Unis.
Le Committee on International Relations de l’université de Chicago fut en 1928 la premiere à délivrer des diplômes universitaire dans ce domaine. Parmi les autres écoles nous pouvons citer : laSchool of International Service] de l’American University, la School of International and Public Affairs de l’université Columbia, le Department of War Studies du Kings College de Londres, la Paul H. Nitze School of Advanced International Studies de l’université Johns- Hopkins, la School of Internatlonal Relations de l’université de St Andrews, l’Elliott School of International Affairs de l’université
George Washington, la Fletcher School de l’université Tufts, et la Woodrow Wilson School of Public and International Affairs de l’université de Princeton. Bibliographie[modifier I modifier le code] Norman Angell The Great Illusion 1909 (en) Guy Ankerl, Global communication without universal civilization, Vol. l . Coexisting contemporary civilizations : Arabo- Muslim, Bharati, Chinese, and Western, Genève, INU Press (l re éd. 2000) (ISBN 2-88155-004-5) Raymond Aron Paix et guerre entre les nations Hedley Bull Anarchical Society Barry Buzan Regions and Powers 2003 E. H. Carr Twenty Years Crisis
Rubén Herrero de Castro & RobertJervis La Realidad Inventada Robert Cooper The post-Modern State Daniel Deudney Bounding Power: The Republican Security Theory from the polis to the Global Village Hugo Grotius, Sur les lois de la guerre et de la paix Thomas Hobbes Leviathan PAGF Global Village Robert H. Jackson The Global Covenant 2002 Mary Kaldor New Wars Emmanuel Kant Vers la paix perpétuelle Kautilya Arthast-tastra circa 320 BCE Robert Keohane After Hegemony Dimitri Kitsikis, Propagande et pressions en politique internationale, Paris, Presses universitaires de France, 1 963, 537 pages
Hans Kdchler, Aussenpolitik und Demokratie (de), 1986 (Foreign pollcy and Democracy) Hans Kdchler, Democracy and the International Rule of Law. Vienne/New York: Springer, 1995 Andrew Linklater Men and Citizens in the theory of international relations Niccolò Machiavelli, Le Prince Donald Markwell, John Maynard Keynes and International Relations: Economic Paths to War and Peace, 2006. Donald Markwell, Keynes and International Economic and polltical Relations, Trinity Paper 33, Trinity College, université de Melbourne, 2009. [1] joseph Nye Soft Power: The Means to Success in World Politics, publitAffairs Ltd 2004
Paul Raskin The Great Transition Today: A Report from the Future Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social Google Print Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse Francisco de Vitoria De jure belli Hispanorum in barbaros Kenneth Waltz Man, the State, and War Kenneth Waltz Theory of International politics 1979 Alexander Wendt Social Theory of International Politics 1999 (en) Beate Jahn, 2006, Classical Theory in international Relations, Cambridge Studies in International Relations (fr) Alex Macleod et Dan O’Meara 2007, Théorie des relations nces, Éditions Athéna internationales : contestati