Nouvelles 3e
SÉQUENCE 2 « Demandez les nouvelles ! » Lire/écrire des textes complexes. Objectifs Découvrir des récits différents( nouvelles – texte intégral) Reconnaître et pratiquer l’implicite : le texte « piégé Étudier des récits complexes (lecture) Ecrire des récits complexes : changer de point de vue Mieux cerner le problème du narrateur, du point de vue. Reconnaitre et utilise Grammaire : savoir u Conjugaison : imparf Vocabulaire : Connaît spatiaux. de la narration. scr or26 ue parfait emporels et Lecture de l’image : images complexes… our éclaircir la situation : qui est le personnage ? Activité orale . ) Relevez les mots ou groupes de mots qui désignent le personnage principal, et donnez leur nature. « Lucien » (nom propre) « il » (pronom personnel) « le malheureux » (Groupe nominal ) « lui « (pronom personnel) « l’ « le » (pronom personnel) pas de précisions, on ne peut pas deviner qui il est. 2) Dans quel état est le personnage au début du texte (l. 1 à 7) ? Quels mots vous ont aidé à répondre ?
Etat de bien-être (« douillettement « recroquevillé « détendu « heureux », « repos léger « flottait « plénitude » » « bien « heureux « bonheur 3) Quel changement intervient ligne 8 ? Par quel temps verbal se traduit ce changement ? Quel genre de vocabulaire remplace celui du début du texte ? Faites une liste des mots qui montrent le nouvel état du personnage. « douleurs » X3, « mal « écartelalt « écrasé « brlsait « coups de bâtons « douloureuses »,. Vocabulaire de la souffrance physique. Hypothèses : à ce stade, que pensent-ils qu’il arrive au personnage ?
Leur faire copier la fin dans le cadre : « Tout en l’attrapant par les pieds, la sage-femme dit : « C’est un garçon ! Lucien était né. » Trace écrite • La nouvelle « Lucien » a une fin inattendue (une « chute »), car ien ne laissait présager que Lucien était un bébé en train de naitre. Il est tjs désigné par des mots neutres : « il », « Lucien « Le malheureux C’est une des caractéristiques du genre de la nouvelle : elle piège ue avec lui, et avec les PAGF OF caractéristiques du genre de la nouvelle : elle piège le lecteur et joue avec lui, et avec les traditions du récit.
Dans ce texte on a vu que pour créer une atmosphère, on pouvait utillser une technique partlculière : utiliser dans un texte un ensemble de mots (verbes, noms, adjectifs… ) qui se rapportent au même thème, à une même notion. Cet ensemble de mots s’appelle un champ lexical. Exemple : « terreur s, « redouter « effrayant » appartiennent au champ lexical de la peur. Exercice sur le champ lexical : Relever dans l’ensemble de la nouvelle le champ lexical de l’eau. Dans quelle mesure prépare- t-il la fin de la nouvelle ?
Enrichissez le champ lexical de Peau en trouvant des mots construits sur le mot latin « aqua Correction : « flottait « eau 9, « flot « courant « rivage », elle fait référence au fait que le bébé est dans une poche remplie d’eau avant sa naissance, ce qui explique les nombreuses références à l’eau. Aquarium – aquatique – aquaplanning – aquarelle – aqueux… Questions sur « Lucien » : 4) Qui peut-être Lucien ? 5) Recopiez dans le cadre la fin manquante. Quel effet produit- elle ? le cadre la fin manquante. Quel effet produit-elle ?
Exercices — Les champs lexicaux. Exercice 1. a/A quel champ lexical appartient chaque série ? b/Ajoutez 3 autres mots pour enrichir ces cinq champs. 1 /scrutin – alliances, cantonales, sondages, réélire. 2/ souffleur – déclamer – tragédie – didascalies — répéter. 3/ soupir – silence – allegro – noire – portée – dièse. 4/ pistil – corolle – pollen – étamine — tige – nectar. / douillet – moelleux – souple – soyeux – confort. Exercice 2. Il devait être un peu plus de minuit quand mon attention fut attirée par un bruit sourd et continu qui arrivait du dehors.
Je sortis. . ] Le bruit se rapprochait rapidement de moi. Des branches éclataient un peu partout, on entendait frémir des buissons défoncés et le rapide piétinement d’une centaine de sabots. Le long du talus, de distance en distance, s’élèvent des chênes centenaires. Je n’eus que le temps de sauter sur le talus, et de me coller contre un de ces arbres. Dans le lit du torrent déboucha une masse sombre. Cela haletait, grognait, soufflait, arrissait même, avec une sorte de hâte furieuse, d’avidité brutale. 1/ Quel est le champ lexic cet extrait ?
Relevez•le C’était là une position qu’il lui plais de prendre. = vb imparfait = ait. Le malheureux fut réveill Personne ne pouv Ses épaules s’enfon Il se sent attir p. passé. l’aid une nult. = p. passé = é . = 1) imparfait/ 2) infinitif – dans son corps. = imparfait = aient. vers l’inconnu. —1) imparfait / 2) Il n’avait plus la force de boug . infinitif er Trace écrite : Les formes verbales dont la voyelle finale est [é] sont nombreuses. Les plus courantes sont : Forme : -ais/ait truc : peut être remplacé
Verbe à l’imparfait par prenais/t – é / ée/ és /ées truc : peut être remplacé Forme Verbe au participe passé par pris/prise – er truc : peut être remplacé Verbe à l’infinitif par prendre. NB : Notez aussi la possibilité de la terminaison -ez lorsque la forme verbale est : un présent dont le sujet est « vous » : vous prenez les chèques ? un impératif : prenez la po PAGF s OF sont les particularités de cette histoire, en quoi est-elle « différente » des textes habituels ? 2) Le personnage principal Sa description: Comment est-il ?
Que peut-on penser de la description? Son langage? Comment parle-t-il ? Pourquoi selon•vous? Est-il méchant? Que peut-on dire des parents? Sont-ils « simplement » méchants? CR des groupes : Donner poly à la fin (coller) 1) L’auteur du texte est Richard Matheson. Le narrateur est le personnage principal de l’histoire, il dit « je mais on ne sait pas clairement qui il est, du moins au début. La nouvelle adopte le genre littéraire du journal intime, on le voit grâce aux petites croix qui figurent les dates. On voit que le personnage raconte au jour le jour « Aujourd’hui…. ? La nouvelle est piégée : on croit dans toute la première partie du texte que le personnage est juste un enfant maltraité par ses parents. uis, on se rend compte qu’il est en falt monstrueux physiquement. 2) La description : Le personnage ne se décrit pas d’emblée. l’auteur donne des renseignements éclatés dans tout le texte. On apprend peu à peu que le monstre est « grand » et fort. Son sang «coule vert il a plusieurs jambes et ses pieds « s’accrochent ? l’escalier On sait aussi qu’il a huit ans. Le langage : Matheson écrit des phrases très courtes comme pour copier le langage enfantin.
Le monstre décrit son univers à travers des sensations, il ne connaît donc pas le mot soleil, pluie, voiture etc. Il nomme ces objets par des périphrases que le ecteur doit décoder « il fait jaune là-haut » « de l’eau a coulé Il fait OF périphrases que le lecteur doit décoder « il fait jaune là-haut » « de l’eau a coulé Il fait aussi des fautes de grammaire. Il n’est pas méchant : on a plutôt pitié de lui, il tue le chat sans le faire exprès, il aime ses parents et sa petite sœur et voudrait être avec eux.
Il est juste en colère d’être maltraité. Les parents : Les parents sont d’abord présentés comme des êtres odieux. Ils sont violents. Mais l’auteur ne les ridiculise pas. S’ils deviennent des monstres ? leur tour, ils ne sont pas inhumains. On peut comprendre parfois leur attitude. Trace écrite . Dans le texte de Matheson, le narrateur est le personnage principal de l’histoire, un monstre enfermé dans une cave par ses parents. Il écrit son histoire à la première personne, tout est vu à travers son regard, uniquement son regard.
On a l’impression d’être dans sa tête, de ressentir les mêmes choses que lui en même temps que lui…. On adopte son point de vue sur les choses : c’est le point de vue interne. Ecriture : rédiger le passage lignes 32 à 65 en changeant le point de vue : c’est la mère qui raconte. Séance 4: Orthographe : L’accord du participe passé. Activité : complétez les terminaisons manquantes. – La bête vivante était tout écras et toute rouge sur le charbon. es parents sont descend dans la cave. – La bête a lev ses poils et a cour – J’ai serr la bête viva PAGF 7 OF dans le charbon. ntend m’ont attiré. Formulation orale de la règle. Les participes passés se terminent en -é, en -u, ou en -i (et parfois -s ou -t : éteint, appris) Quand le p. passé est employé à côté du verbe être, le participe passé s’accorde TOUJOURS avec le SUJET du verbe. Ex : la bête était écrasée. Les parents sont descendus. Quand le p. passé est employé à côté du verbe avoir, il ne ‘accorde plus avec le sujet mais avec le COD. A] Quand le COD est placé APRES la forme verbale, le p. passé ne s’accorde pas avec lui Ex : J’ai serré la bête très fort.
La bête a levé ses poils. = PAS D’ACCORD COD B/ Quand le COD est placé AVANT la forme verbale, le p. passé s’accorde avec lui. Ex : Je l’ ai lâchée (l’ la bête) Les bruits que j’ai entendus… COD V Exercices ORTH 3e no 134 et 135 p 74. Dictée Nous sommes restés éveillés jusqu’à onze heures du soir, sur le qui-vive, en vêtements de ville. Et puis, constatant que dehors tout était calme, nous avons décidé de nous mettre au lit, nous ?tions convaincus que cet accès de eur avait été provoqué par de fausses rumeurs. Le le est sorti le premier.
Il est PAGF BOF n’avaient même pas été emportés. Wladyslaw Szpilman, Le Pianiste. CR du travail de groupe du 19/10 1) Le Texte L’auteur du texte est Richard Matheson. Le narrateur est le personnage principal de l’histoire, il dit « je », mais on ne sait pas personnage raconte au jour le jour « Aujourd’hui…. », et il utilise la première personne. La nouvelle est piégée : les informations sont imprécises, il faut réfléchir sur qui peut être le personnage. Le lecteur est bligé de se poser des questions pour comprendre le texte.
Les informations ne viennent que progressivement dans le texte. On croit dans toute la première partie du texte que le personnage est juste un enfant maltraité par ses parents. Puis, on se rend compte qu’il est en fait monstrueux physiquement. La description : Le personnage ne se décrit pas d’emblée. l’auteur donne des renseignements éclatés dans tout le texte. On apprend peu à peu que le monstre est « grand » et fort, car il peut enlever sa chaîne. Son sang «coule vert il a plusieurs jambes et ses pieds « s’accrochent à l’escalier On sait aussi qu’il a huit ans.
PAGF lecteur doit décoder « il fait jaune là-haut » « de l’eau a coulé « la grosse machine qui avale des gens » Il fait aussi des fautes de grammaire. En fait il n’a jamais rien vu en dehors de sa cave, il est totalement coupé du monde. Il n’est pas méchant, mais inconscient de sa force (il tue le chat), et il ne fait que se défendre contre ses parents qui le battent. leur attitude : ils ont honte, mais on voit que la mère a quand même de l’amour pour lui (elle ment pour que son père ne le batte pas). CR du travail de groupe d 19/10 personnage raconte au jour le jour « Aujourd’hui,… et il utilise la croit dans t