Notre pain quotidien
Our daily bread (Unser Tâglich Brot) NOTRE PAIN QUOTIDIEN de Nikolaus Geyrhalter Autriche / sortie : 07/02/2007 De loin le plus beau documentaire de l’année 2007 ! Connaissons-nous la provenance de notre nourriture? D’emblée, nous sommes asphyxiés par les machines et les engrais qui se déversent sur notre planète terre. Claustrophobie et cacophonie du bruit des machines qui travaillent sans relâche pour fabriquer notre « saine » alimentation dans des serres Swipe to nex: page aseptisées. Et l’homme là-dedan or 3 Celui-là, il nous est m tr•: – Sni* to View dans le dos.
La femm mangent leurs tartin ous donne froid ègues à la table son, sans une seule réflexion audible. Cest comme si les gigantesques machines possédaient le Verbe et que nous, les hommes, nous étions mutés en de petits objets silencieux. Des images à couper le souffle, des endroits dont nous sommes loin d’imaginer l’ampleur. Un constat de l’industrie alimentaire dressé dans un silence éloquent; une pure merveille cinématographique pour les spectateurs avertis! A recommander san sans hésitation parce qu’il s’agit de l’un de ces films qui vous force à réfléchir sur notre façon de consommer quotidiennement.
Assez surprenant, au même moment, un second film autrichien sur ce thème de l’industrie agro-alimentaire: WE FEED THE WORLD de Erwin Wagenhofer (Autriche 25/04/2007) Ici on active le pathos ! Certains meurent de faim dans le monde alors que l’homme surproduit et jette, on va vous le démontrer ! Tout y est raconté à travers des exemples précis et des commentaires d’experts, il vous reste à avaler et espérer digérer ! Our daily bread (Unser Tàglich Brot) Autriche / Sortie : 07/02/2007 Et l’homme là-dedans? Celui-là, il nous est montré dans un silence qui nous donne froid dans le dos.
La femme, face caméra et les collègues à la table mangent silence qui nous donne froid dans le dos. La femme, face caméra et les collègues à la table mangent leurs tartines sans un mot, sans un son, sans une seule réflexion audible. C’est comme si les gigantesques machines possédaient le Verbe et que nous, les hommes, nous étions mutés en de petits objets silencieux. LJn constat de l’industrie alimentaire dressé dans un silence A recommander sans hésitation parce qu’il s’agit de l’un de ces films qui vous force à réfléchir sur notre façon de consommer quotidiennement.