Notes Contexte Social

essay B

Importance de l’entreprise dans son contexte social Le monde des affaires c’est plus que simplement faire un profit L’entreprise touche et est affectée par la société dans laquelle elle opere Pour que les gestionnaires puissent fonctionner efficacement, une compréhension de l’environnement externe est essentielle Triangle de Boulding (socio-économie canadienne-interaction avec le monde externe) Gouvernement-fonction publique, politique, Société civile: bénévolat, communautés, religions, Affaires POURQUOI S’INTÉRESSER À L’ENVIONNEMENT EXTERNE DE L’ENTREPRISE?

L’entreprise est un a onde externe L’entreprise doit ‘dial prenantes que les pa or lao Sni* to View n continue avec le c d’autres parties On s’intéresse donc à la mani re dont les gestionnaires du secteur privé ou public peuvent donner du sens a l’environnement incertain qui entoure leur organisation. Trois caractéristiques de l’environnement: L’environnement recouvre une grande diversité d’influences L’environnement est turbulent L’environnement est complexe 3 caractéristiques de l’environnement: l’environnement recouvre une grande diversité d’influences l’environnement est turbulent il est complexe

Les problèmes et les solutions à ces derniers trouvent leur origine dans leur env. Les principaux acteurs différents groupes d’intérêts et d’organisations ayant des valeurs semblables et parfois des intérêts semblables Définition d’une entreprise = L’entreprise se définit dans toute sa complexité comme un système ouvert sur son environnement auxquels les problèmes (et les solutions à ces problèmes) rencontrés par celles-ci trouvent leur origine dans leur environnement i. e les structures sociétales et d’affaires Macro-environnement Facteurs économiques Structure économique

Facteurs de productivité Concurrence Main d’oeuvre Facteurs démographiques Caractéristiques de la population Vieillissement de la population Immigration Facteurs règlementaires et juridiques Degré d’intervention du gouvernement dans l’économie et par conséquent dans la vie de l’organsatlon (protection du consommateur, transport, énergie) Lois instaurées par le gouvernement se rapportant ? l’organisation (droit du travail) Facteur culturel Groupes humains ayant différentes façons de penser et d’agir spécifiques Facteurs politiques Stabilité gouvernementale polltique fiscal Gouvernement

Commerce extérieur Facteurs écologiques Respect des normes environnementales Groupes écologiques et p et son micro-environnement. RÉSUMÉ ET CONCLUSION L’organisation existe dans un environnement qui l’englobe et qul l’influence. L’organisation ne fonctionne pas dans un système fermé, plutôt dans un système OUVERT.

Pour prendre de bonnes decisions en tant que gestionnaire, à la venue de problèmes dans l’entreprise, celui-ci se doit de bien connaître son environnement pour prendre de bonnes decisions(resolutions de problèmes) Introduction Surpassement des provinces canadiennes quant à la croissance ?conomique en comparant 2012 (résu tats décevants) à 2013 sauf pour deux provinces Alberta Colombie-Britannique Provinces riches en ressources naturelles dominent le classement et ouvrent la voie PIB réel = relié à l’inflation (augmentation des coûts) Il y a une reprise des exportations qui était attendue par les chercheurs (prévisions) Comparaison de toutes les provinces canadiennes L’activité économique interne de la province sera stimulée dans le futur par les produits des ressources naturelles de celle-ci. Prévision = 1,6% du PIB réel en 2013 comparativement à 1. % en 012, ce qui énonce le léger ralentissement économique Solution pour rattraper le ralentissement : augmentation des dépenses d’investissement PIB ? hausse du taux d’exportations de Exportations (marché américain et chinois) • Industrie du bois Minéraux, métaux, machinerie et d’é uipement (demande augmente) résidentiels de 4% Diminution de la création d’emploi L’augmentation des exportations permettra la création d’emplois dans le secteur privé et favorisera la croissance des dépenses de consommation des citoyens. (prévision) La population n’augmente pas et aucune attirance pour les igrants des autres provinces. Prévision : un PIB réel de 4% (essor économique) Secteur pétrolier et gazier – expansion généralisée de 4,2% Incertitude pour le futur causée par Problèmes de production et de livraison de pétrole Hausse rapide de la production d’énergie aux É. -LJ. ?mergence d’un engorgement de gazobucs Bulle du bitume (chute du prix du pétrole de l’Alberta comparativement aux Etats-Unis) Secteur résidentiel et de construction en croissance Mises en chantier qui s’élèvent (40000 unités) Création d’emplois Croissance de la population de 3% depuis l’an 2006 Par contre, secteur manufacturier a stagné Saskatchewan Production agricole Production de potasse (le secteur agricole américain augmente considérablement son recours aux engrais et sa demande de potasse est amplifiée suite au besoin de stimulation des terres (suite à une sécheresse) Hausse de 30% de la production de potasse Cette dernière favorise la production minière en 2012 et 5% en 201 3) Si la température le permet et que les conditions de culture restent stables, on prévoit une croissance stable de 3%.

En 2013, PIB réel de de la production minière 4 reprise du secteur de construction = PIB réel de 3,7% en 014. Manitoba ralenti suite aux inondations, mais si le bulletin météorologique le permet, hausse de 4% de la production(contrairement à 15% en 2012) Secteur minier : va profiter du raffermissement de la production de métaux communs et précieux, mais sera affecté par la diminution de la production pétrolière et gazière (augmentation estimée à 6%, la moitié de 2012) Relais des secteurs manufacturiers et des services publics Raffermissement de l’économie américaine (meilleure situation financière poussant à acheter de nouveaux autobus fabriqués au Manitoba pour les municipalités américaines)

Ralentissement dans la construction résidentielle Les ménages sont préoccupés par la hausse des taux hypothécaires Accroissement de la population au ralentit Baise de mises en chantier (On passerait de 7200 unités à 6700 en 2013 et à 5700 en 2014) Projets de construction non résidentiels tels que le complexe hôtelier et commercial de l’avenue Portage et des nouveaux immeubles locatifs ou en copropriété Ontario Économie alimentée par la construction résidentielle Grande augmentation d’emplois( dans les domaines de construction, soins de santé, d’hébergement et de restauration), e qui favorise les consommateurs à dépenser. Estimation de l’augmentation du PIB réel de 1,7% en 2013 et de en 2014. Hausse des ventes d’automobiles au É. LI. envisageable Plus tard durant l’année, la baisse des ventes de maisons, le recul des mises en chantier et l’achèvement des unités en construction refroidlront le secteur de la construction résidentielle. Québec Reprise de la croissance économique prévue en 2013 PIB réel en 2012 = en 2013= 1,496 Raffermissement du commerce extérieur Marchés d’exportation fav de première (métaux de première transformation, équipement de transport, apier, produits chimiques, machinerie et équipement, produits de plastique et meubles) Aluminium, avions, minerai de fer, produits chimiques, pâle de bois, papier journal et bois d’œuvre résineux.

Hausse des dépenses de consommation Recul des investissements résidentiels Nouveau-Brunswick Forte baisse des secteurs producteurs de biens Stagnation du marché de l’emploi (légèrement en amélioration par la moyenne d’emplois qui a augmenté) Hésitation des ménages à délier les cordons de leur bourse Ventes au détail annuelles qui dlmlnuent POINT POSITIF = exportations de bois d’œuvre provinciales ugmentent grâce à la demande américaine (domaine résidentiel en croissance) Diminution des dépenses d’investissement Nouvelle-Écosse Production industrielle provinciale est stable Recul du secteur de l’énergie Baisse de la production de produits forestiers MAIS = amélioration de la performance dans les secteurs d’exportation (projet Deep Panuke qui va compenser les reculs liés à la maturation du gisement de gaz naturel de l’île de Sable qui avaient fait baisser le nombre d’exportations de gaz naturel. ) Île-du-Prince-Édouard En 2012, gains d’exportations les plus élevés au pays

Dynamisme commence à rendre l’âme peu à peu Défis démographiques Forte diminution des dépenses publiques dans le budget Ralentissement de la productlon des pommes de terre (les pressions sur le prix limitent les exportations) Produits aérospatiaux à l’étranger ont contribué de défier les lois de la gravité Les étrangers aiment le homard ar contre Turbulences dans le secte Terre-Neuve et Labrador 2012= reculs dans les secteurs d’énergie 2013=dépenses d’investissement feront la force permettant (haude de des dépenses en immoblisations, construction de la plateforme pétrolière Hebron) n rebond du moteur de la croissance provinciale (pétrole et gaz) rafermissement des conditions du marché pour le secteur minier Rebond d’embauches (création d’emplois) dans le secteur privé est prévu, ce qui fera des pressions continues à la baisse sur le taux de chômage et encouragera les ménages à accroître leurs achats de B&S Fléchissement de la demande de logements RETOUR EN CLASSE organisation de coopération et de développement économique Résumé L’économie a surmonté la crise économique mondiale grâce ? une réaction opportune de la politique macroéconomique et à la olidité du secteur bancaire.

Profits tirés de l’extraction minière et pétrolière Soutenance des investissements des entreprises Ralentissement des emplois offerts Risque croissant=inflation augmentez prix des logements augmenté et alourdissement des endettements des ménages La politique monétaire reste à juste titre accommodante, étant donné la persistance des tendances défavorables de l’économie mondiale et des risques associés et le retrait des mesures de relance budgétaire, mais les autorités doivent être prêtes à réagir en cas de signes d’une reprise de l’inflation. Tensions sur les prix dans l’immobilier et l’extraction minière Inflation de 2% Solutions = durcir les critères de l’assurance hypothécaire garantie par le gouvernement Diminution des dépenses publiques pour trouver un certain équilibre Encourager l’innovation p croissance de la jamais, et par là même soutenir le niveau de vie.

Peu d’innovations pour les entreprises et les gains de productivité (malgré les efforts de recherches universitaires et des politiques macroéconomiques et structurelles du gouvernement canadien) Il faudrait . Améliorer les flux de connaissances des entreprises Renforcer le processus de commercialisation Aide publique ( R-D doit se concentrer sur les incitations et les performances) Uniformiser les taux de subvention (en baissant celui des petites entreprises canadiennes = ENCOURAGEMENT) L’amélioration de l’enseignement supérieur sera également indispensable pour favoriser une croissance solidaire dans une économie fondée sur le savoir.

Rendre l’accès plus équitable en abaissant les obstacles non financiers en augmentant l’aide financière ciblée sous condition de ressources – financée par une baisse des crédits d’impôt aux étudiants en cas de contraintes budgétaires- enforçant la flexibilité du système Recrutement d’étudiants étrangers Nouveaux programmes pour améliorer et innover les qualifications des diplômés Évolution macroéconomique après la crise économique mondiale 2008-2009 Le Canada s’en ait remis rapidement grâce à : Politques de relance opportunes sur le plan monétaire et budgétaire Système financier solide Prix élevés des produits de base (surtout domaine de l’énergie) Exportations américaines récupèrent 75% de la baisse enregistrée lors de la crise Biens vendus aux pays non membres de l’OCDE représentent e la valeur totale des exportations contre 5% en 2000 Alberta = province la plus pros ère Taux de chômage amplifi accentuée par la demande des exportations Valeur du dollar canadian se tient bien (situations de l’euro et de la fragile reprise économique des É. – u. ) Frein de la croissance de la consommation privée Causé par la création d’emplois Durcissement des conditions de crédit Inflation Taxe TVA en Ontario et en Colombie-Britannique Forte hausse des prix mondiaux de l’alimentation et de l’énergie Politique monétaire et politique à l’égard du secteur financier Banque du Canda maintient un taux directeur de 1 % depuis septembre 2010 Clblage de l’inflation Continution de l’augmentation de la dette publique Perspectives économiques mondiales sont incertaines quant aux pays en difficulté (Europe et É. -IJ. Taux d’intérêt à long terme baissé depuis 2011 Investisseurs institutionnels ont de la difficulté à fournir Bas niveaux pour les régimes de retraite Normes strictes pour les demandes de prêts Croissance notable du prix de Pimmobilier résidentiel SCHL fixe ses tarifs de maniere à genérer un rendement et ? couvrir les défauts de paiement prévus es emprunteurs gèrent leur dette augmentation de la période d’amortisseur maximale (40 à 30 ans) élimination des régimes d’assurances sur les biens immobiliers normes de solvabilité nomes documentations relatives aux prêts (taux variable ou fixe décidé par la garantie d’assurance) l_Jne politique budgétaire à l’appui d’une crossance à long terme vigoureuse et partagée Le fléchissement de l’activité et les mesures de relance qui font suivi (à concurrence d’environ 4 % du PIB au niveau fédéral) ont sensiblement alourdi la dette ubli ue brute et nette. Le solde budgétaire des a publiques, excédentaire PIB en 2007, est devenu négatif, avec un déficit de 4. 5 % du PIB en 2011.

DONC : AUGMENTATION DE LA DETTE PUBLIQUE Dettes causées par le vouloir de financer les prêts hypothécaires de la SCHL assurés garantis par l’État dans le cadre du Programme crachat de prêts hypothécaires assurés; Assainissement budgétaire Réduction du déficit Désir d’un budget équilibré Réductions de dépenses (environ 82 % des 58. 6 milliards CAD d’économies envisagées au total sur une période de sept ans sont concentrés dans les trois derniers budgets) Aucune augmentation d’impôts et transfert aux particuliers et aux dministrations Dépenses directes de programmes devraient être ramenées de du PIB en 2021-2011 à en 2016-2017. Viabilité à long terme des finances publiques et une croissance solidaire Les tendances démographiques à long terme laissent entrevoir une diminution du taux de croissance du PIB par habitant et une augmentation des dépenses au titre de la santé, des services sociaux et du soutien du revenu des personnes âgées.

Les programmes de la Sécurité de la vieillesse (SV) et le Supplément de revenu garanti (SRG) représenteront un plus gros coût dans les futures années. 1,Q pour cent du PIB présentement qui pourrait augmenter à 61/4 pour cent du PIB au cours des prochaines décennies. Le gouvernement décide de relever progressivement à 67 ans rage minimum pour pouvoir prétendre au versement des prestations poussant les gens à travailler plus longtemps et ? épargner davantage pour leur future retraite. Dépenses de santé (grosse partie du PIB et environ la moitié des dépenses des gouvernements provinciaux) TCS(transfert canadien en matière de santé) Les principaux transferts de l’État fédéral aux provinces et aux territoires PAGF 00